Paris, France | AFP | jeudi 11/05/2017 - Le secrétaire général du parti d'Emmanuel Macron, Richard Ferrand, a annoncé jeudi l'investiture de 428 candidats de la République en marche pour les législatives, "issus de l'ensemble du spectre politique républicain" dont 52% venant de la société civile.
Sur les "428 candidats" investis sélectionnés à partir de "19.000 dossiers" déposés depuis janvier, il y a "52% de candidates et candidats issus de la société civile au sens qu'ils n'ont jamais exercé de mandat électif", a indiqué M. Ferrand, au cours d'une conférence de presse.
Il a aussi fait état d'une "parité réelle" avec 214 candidats femmes et 214 hommes, précisant que l'âge moyen des candidats pour les scrutins des 11 et 18 juin était "de 46 ans contre 60 ans pour la moyenne des députés sortants", le plus jeune étant âgé de 24 ans.
Alors que beaucoup de socialistes ont été retoqués par le parti du président élu, M. Ferrand -qui a rendu récemment sa carte du PS- a aussi affirmé que les candidats étaient "issus de l'ensemble du spectre politique républicain".
Tous remplissent les "critères de renouvellement voulus par Emmanuel Macron: la parité réelle, la probité, le pluralisme politique et la cohérence", a affirmé le secrétaire général du mouvement.
Reconnaissant qu'il manquait environ 150 candidats alors que 577 circonscriptions seront en jeu en juin, M. Ferrand a dit que les derniers candidats seraient investis d'ici à mercredi prochain, afin que "puisse être maintenu vivant un espace permettant à la recomposition du paysage politique français de se concrétiser encore".
Les 428 candidats investis jusqu'alors seront réunis samedi au musée du quai Branly "pour un séminaire de présentation et de travail", a-t-il ajouté.
L'ancien Premier ministre Manuel Valls, qui avait souhaité être investi par le parti d'Emmanuel Macron dans sa circonscription de l'Essonne, ne le sera pas, a par ailleurs annoncé M. Ferrand.
Il ne remplit pas tous les critères définis par le mouvement pour être investi car "il a déjà fait trois mandats parlementaires", mais "nous n'investirons pas de candidat contre lui" car, "au moment où nous rassemblons, nous estimons qu'on ne claque pas la porte au nez à un ancien Premier ministre", a-t-il dit.
Sur les "428 candidats" investis sélectionnés à partir de "19.000 dossiers" déposés depuis janvier, il y a "52% de candidates et candidats issus de la société civile au sens qu'ils n'ont jamais exercé de mandat électif", a indiqué M. Ferrand, au cours d'une conférence de presse.
Il a aussi fait état d'une "parité réelle" avec 214 candidats femmes et 214 hommes, précisant que l'âge moyen des candidats pour les scrutins des 11 et 18 juin était "de 46 ans contre 60 ans pour la moyenne des députés sortants", le plus jeune étant âgé de 24 ans.
Alors que beaucoup de socialistes ont été retoqués par le parti du président élu, M. Ferrand -qui a rendu récemment sa carte du PS- a aussi affirmé que les candidats étaient "issus de l'ensemble du spectre politique républicain".
Tous remplissent les "critères de renouvellement voulus par Emmanuel Macron: la parité réelle, la probité, le pluralisme politique et la cohérence", a affirmé le secrétaire général du mouvement.
Reconnaissant qu'il manquait environ 150 candidats alors que 577 circonscriptions seront en jeu en juin, M. Ferrand a dit que les derniers candidats seraient investis d'ici à mercredi prochain, afin que "puisse être maintenu vivant un espace permettant à la recomposition du paysage politique français de se concrétiser encore".
Les 428 candidats investis jusqu'alors seront réunis samedi au musée du quai Branly "pour un séminaire de présentation et de travail", a-t-il ajouté.
L'ancien Premier ministre Manuel Valls, qui avait souhaité être investi par le parti d'Emmanuel Macron dans sa circonscription de l'Essonne, ne le sera pas, a par ailleurs annoncé M. Ferrand.
Il ne remplit pas tous les critères définis par le mouvement pour être investi car "il a déjà fait trois mandats parlementaires", mais "nous n'investirons pas de candidat contre lui" car, "au moment où nous rassemblons, nous estimons qu'on ne claque pas la porte au nez à un ancien Premier ministre", a-t-il dit.