Valentina Ebb, épouse Cross, est la candidate investie par le parti souverainiste polynésien Tavini Huiraatira sur la 2ème circonscription législative. Son suppléant est Bruno Flores.
Qu’est-ce qui motive votre engagement pour ces législatives ?
Ces fonctions électives de représentante à l’Assemblée de Polynésie depuis 2001, de ministre sous les gouvernements Temaru et Flosse entre 2005 et 2008 avec les portefeuilles de la Famille, de l’Enfance et de la Condition Féminine, de la Solidarité et de la Famille, et de l’Artisanat, mais également de maire de la commune de Teva I Uta et de 1ère vice-présidente du Syndicat pour la Promotion des Communes de Polynésie française (SPCPF) de 2008 à 2014, me donnent cette capacité à assumer, avec efficacité et compétence, ce mandat de député. Mon objectif n’a pas changé : vous défendre, défendre mon peuple et mon Pays.
Quel est le point-clé du programme que vous défendez pour votre circonscription ?
Il est acquis que si les électrices et les électeurs de la deuxième circonscription où je me présente, décidaient le 3 juin prochain de voter pour moi, je serai la députée de tous les Polynésiens sans distinction aucune, comme je l’ai été pour mes administrés lorsque j’étais Tavana de la commune de Teva I Uta.
Concrètement, comment défendrez-vous les dossiers polynésiens à l’Assemblée nationale ?
Pour répondre en trois mots : avec détermination, combativité et sans compromission. Car, au-delà de mon engagement politique pour la souveraineté pleine et entière de mon Pays, mon combat depuis des années pour une électricité juste en Polynésie contre la multinationale ENGIE et sa filiale EDT suffit amplement à me situer sur l’échiquier politique, à savoir que je suis allergique à la corruption et que je n’oublie pas que j’ai été élue à l’Assemblée de Polynésie pour défendre l’intérêt général et le service public.
Quel groupe parlementaire rejoindrez-vous, si vous êtes élue ?
Je n’hésiterai pas un seul instant à rejoindre le groupe parlementaire issu de ces élections législatives de juin prochain, qui reconnaîtrait la réinscription de notre Pays sur la liste des pays à décoloniser de l’ONU et le droit à l’autodétermination du peuple māòhi ; ce qui ne m’empêchera pas d’être toujours respectueuse des institutions de la République et de voter tout projet ou proposition de loi qui irait dans le sens des intérêts de mes compatriotes, comme ce projet de loi sur la moralisation de la vie politique que le nouveau Ministre de la Justice François Bayrou entend déposer sur le bureau de la future Assemblée nationale.
Qu’est-ce qui motive votre engagement pour ces législatives ?
Ces fonctions électives de représentante à l’Assemblée de Polynésie depuis 2001, de ministre sous les gouvernements Temaru et Flosse entre 2005 et 2008 avec les portefeuilles de la Famille, de l’Enfance et de la Condition Féminine, de la Solidarité et de la Famille, et de l’Artisanat, mais également de maire de la commune de Teva I Uta et de 1ère vice-présidente du Syndicat pour la Promotion des Communes de Polynésie française (SPCPF) de 2008 à 2014, me donnent cette capacité à assumer, avec efficacité et compétence, ce mandat de député. Mon objectif n’a pas changé : vous défendre, défendre mon peuple et mon Pays.
Quel est le point-clé du programme que vous défendez pour votre circonscription ?
Il est acquis que si les électrices et les électeurs de la deuxième circonscription où je me présente, décidaient le 3 juin prochain de voter pour moi, je serai la députée de tous les Polynésiens sans distinction aucune, comme je l’ai été pour mes administrés lorsque j’étais Tavana de la commune de Teva I Uta.
Concrètement, comment défendrez-vous les dossiers polynésiens à l’Assemblée nationale ?
Pour répondre en trois mots : avec détermination, combativité et sans compromission. Car, au-delà de mon engagement politique pour la souveraineté pleine et entière de mon Pays, mon combat depuis des années pour une électricité juste en Polynésie contre la multinationale ENGIE et sa filiale EDT suffit amplement à me situer sur l’échiquier politique, à savoir que je suis allergique à la corruption et que je n’oublie pas que j’ai été élue à l’Assemblée de Polynésie pour défendre l’intérêt général et le service public.
Quel groupe parlementaire rejoindrez-vous, si vous êtes élue ?
Je n’hésiterai pas un seul instant à rejoindre le groupe parlementaire issu de ces élections législatives de juin prochain, qui reconnaîtrait la réinscription de notre Pays sur la liste des pays à décoloniser de l’ONU et le droit à l’autodétermination du peuple māòhi ; ce qui ne m’empêchera pas d’être toujours respectueuse des institutions de la République et de voter tout projet ou proposition de loi qui irait dans le sens des intérêts de mes compatriotes, comme ce projet de loi sur la moralisation de la vie politique que le nouveau Ministre de la Justice François Bayrou entend déposer sur le bureau de la future Assemblée nationale.