Patrick Howell est investi par le parti majoritaire Tapura Huiraatira sur la 3ème circonscription (Punaauia, Faa'a, îles Sous-le-vent). Sa suppléante est la représentante Teura Tarahu.
Qu’est-ce qui motive votre engagement pour ces législatives ?
Mon engagement, c’est notre peuple. C’est ma carrière politique de plus de 30 ans qui a forgé cet engagement pour notre peuple. Ma légitimité, je l’ai gagné en travaillant dur pendant des années sur le terrain, sans cesse au contact de ceux qui ont en besoin. D’abord en tant que chirurgien dentiste puis en tant que chef de service du service d’hygiène dentaire. Mon expérience me permet aujourd’hui, humblement, de me présenter à ce suffrage de député de la circonscription 3. J’espère pouvoir continuer cet engagement pour les cinq prochaines années.
Quel est le point clé du programme que vous défendez, pour votre circonscription ?
Mes objectifs sont simples : ancien ministre de l’Environnement, je suivrais de très près les dossiers d’indemnisation des victimes et les conséquences environnementales des essais nucléaires sur notre fenua. C’est ma première priorité. Ma deuxième priorité, c’est l’emploi. Je connais bien cette problématique étant ancien ministre du Travail, à la fois d’actualité sur Tahiti et dans nos îles. La création d’emplois passe forcément par la consolidation de notre économie. La croissance revient depuis 2 ans maintenant à des niveaux proches d’avant crise. La prolongation de la défiscalisation à 2025 obtenue par notre majorité Tapura Huira’atira fait partie des actions économiques concrètes et bénéfiques de nos députés et sénateurs, mais nous pouvons faire davantage notamment en facilitant les agréments fiscaux au niveau local. Troisièmement, la croissance économique n’est pas concevable sans progrès social, et donc sans progression de notre système de solidarité. En ramenant plus d’équité de la part de l’Etat dans nos comptes sociaux vis à vis de la France, nous garantissons une meilleure répartition des richesses pour tous, en fonction des besoins de chacun.
Concrètement, comment défendrez-vous les dossiers polynésiens à l’Assemblée nationale ?
Aujourd’hui, nous avons l’assurance que le Président de la République Emmanuel Macron travaillera en bonne entente avec notre gouvernement. Ce travail commencera, et se terminera forcément à l’Assemblée nationale. C’est la raison pour laquelle ce vote est crucial pour l’avenir de notre Pays. L’accord de l’Elysée pour le développement de la Polynésie française ne peut se mettre en place qu’avec cette bonne entente. Or notre équipe est celle qui est le plus en phase avec la majorité parlementaire et ce peu importe son visage après ces élections législatives.
Quel groupe parlementaire rejoindrez-vous, si vous êtes élu ?
Celui de la majorité parlementaire, qui sera dans tous les cas de figure, du même bord politique que le gouvernement central.
Qu’est-ce qui motive votre engagement pour ces législatives ?
Mon engagement, c’est notre peuple. C’est ma carrière politique de plus de 30 ans qui a forgé cet engagement pour notre peuple. Ma légitimité, je l’ai gagné en travaillant dur pendant des années sur le terrain, sans cesse au contact de ceux qui ont en besoin. D’abord en tant que chirurgien dentiste puis en tant que chef de service du service d’hygiène dentaire. Mon expérience me permet aujourd’hui, humblement, de me présenter à ce suffrage de député de la circonscription 3. J’espère pouvoir continuer cet engagement pour les cinq prochaines années.
Quel est le point clé du programme que vous défendez, pour votre circonscription ?
Mes objectifs sont simples : ancien ministre de l’Environnement, je suivrais de très près les dossiers d’indemnisation des victimes et les conséquences environnementales des essais nucléaires sur notre fenua. C’est ma première priorité. Ma deuxième priorité, c’est l’emploi. Je connais bien cette problématique étant ancien ministre du Travail, à la fois d’actualité sur Tahiti et dans nos îles. La création d’emplois passe forcément par la consolidation de notre économie. La croissance revient depuis 2 ans maintenant à des niveaux proches d’avant crise. La prolongation de la défiscalisation à 2025 obtenue par notre majorité Tapura Huira’atira fait partie des actions économiques concrètes et bénéfiques de nos députés et sénateurs, mais nous pouvons faire davantage notamment en facilitant les agréments fiscaux au niveau local. Troisièmement, la croissance économique n’est pas concevable sans progrès social, et donc sans progression de notre système de solidarité. En ramenant plus d’équité de la part de l’Etat dans nos comptes sociaux vis à vis de la France, nous garantissons une meilleure répartition des richesses pour tous, en fonction des besoins de chacun.
Concrètement, comment défendrez-vous les dossiers polynésiens à l’Assemblée nationale ?
Aujourd’hui, nous avons l’assurance que le Président de la République Emmanuel Macron travaillera en bonne entente avec notre gouvernement. Ce travail commencera, et se terminera forcément à l’Assemblée nationale. C’est la raison pour laquelle ce vote est crucial pour l’avenir de notre Pays. L’accord de l’Elysée pour le développement de la Polynésie française ne peut se mettre en place qu’avec cette bonne entente. Or notre équipe est celle qui est le plus en phase avec la majorité parlementaire et ce peu importe son visage après ces élections législatives.
Quel groupe parlementaire rejoindrez-vous, si vous êtes élu ?
Celui de la majorité parlementaire, qui sera dans tous les cas de figure, du même bord politique que le gouvernement central.