Michel Ramel se présente avec Emmanuel Golombek pour suppléant sur la 1ère circonscription polynésienne, sous les couleurs du parti Union Populaire républicaine (UPR) de François Asselineau.
Qu’est-ce qui motive votre engagement pour ces législatives ?
Créer une dynamique pour se réapproprier notre démocratie, générer un éveil citoyen afin d’impulser une prise de conscience politique populaire. Remettre dans la conscience du corps électoral, le sens des priorités aux intérêts collectifs communs nationaux/territoriaux au-dessus des intérêts privés/trafics d’influence. Dénoncer le clientélisme sous toutes ses formes, tant par ceux qui le sollicite que ceux qui en profite aux détriments de la Démocratie au sens Noble du terme. Apporter une meilleure mixité sociale au sein des Elus de la Nation, afin de réduire les écarts des inégalités de représentativité des classes sociales, car, par exemple, plus de 80% des députés siégeant actuellement sont issue de professions libérales/intellectuelles/cadres supérieurs, contre seulement à peine 2% de représentant issu des classes populaires/salariés.
Quel est le point clé du programme que vous défendez, pour votre circonscription ?
Réduire les inégalités économiques et sociales, en réduisant les prix des accès aux services de grande consommation tel que les télécommunications Fixe/Mobile/Internet, et de l’électricité, afin qu’ils soient à des niveaux comparables avec les prix pratiqués en Métropole. (...)
Dans le cadre de la réduction des inégalités entre les citoyens français, la solidarité nationale, par le jeu d’une mise à contribution des opérateurs nationaux des secteurs concernés, fera l’objet de l’élaboration d’un projet de loi en vue de cadrer les moyens financements et modalités de dépense/investissement, dans la perspective de la réduction des prix "locaux" au niveau des prix "métropolitains", ainsi que la création des fonds investissements pour le développement des moyens de production/services en adéquation avec les contraintes locales dans leurs environnements spécifiques.
Concrètement, comment défendrez-vous les dossiers polynésiens à l’Assemblée nationale ?
Idéalement, nous avons besoin d’une majorité forte à l’Assemblée nationale afin de mener à bien notre programme sans avoir à nouer des alliances de circonstance. Ainsi pour cela, nous devons rassembler les Français métropolitain, ultra-marin et de l’étranger, en leur demandant de faire preuve de bon sens dans leur choix de vote. Nous entendons par là, un vote de conviction / adhésion faisant suite à une lecture approfondie de notre programme législatif commun à tous nos candidats représentés. L’UPR présentera au total (suppléant inclus), 1148 candidats sur l’ensemble des circonscriptions incluant, la Métropole, l’Outre-mer et les Français de l’étranger pour ces élections législatives de 2017.
Quel groupe parlementaire rejoindrez-vous, si vous êtes élu ?
Dans le meilleurs des cas, nous espérons bien pouvoir créer notre propre groupe parlementaire à l’issue des résultats des législatives. Notre classement politique, par le Ministère de l’intérieur, est de "Divers", au-dessus des clivages gauche-droite, et au-dessus du centre.
Qu’est-ce qui motive votre engagement pour ces législatives ?
Créer une dynamique pour se réapproprier notre démocratie, générer un éveil citoyen afin d’impulser une prise de conscience politique populaire. Remettre dans la conscience du corps électoral, le sens des priorités aux intérêts collectifs communs nationaux/territoriaux au-dessus des intérêts privés/trafics d’influence. Dénoncer le clientélisme sous toutes ses formes, tant par ceux qui le sollicite que ceux qui en profite aux détriments de la Démocratie au sens Noble du terme. Apporter une meilleure mixité sociale au sein des Elus de la Nation, afin de réduire les écarts des inégalités de représentativité des classes sociales, car, par exemple, plus de 80% des députés siégeant actuellement sont issue de professions libérales/intellectuelles/cadres supérieurs, contre seulement à peine 2% de représentant issu des classes populaires/salariés.
Quel est le point clé du programme que vous défendez, pour votre circonscription ?
Réduire les inégalités économiques et sociales, en réduisant les prix des accès aux services de grande consommation tel que les télécommunications Fixe/Mobile/Internet, et de l’électricité, afin qu’ils soient à des niveaux comparables avec les prix pratiqués en Métropole. (...)
Dans le cadre de la réduction des inégalités entre les citoyens français, la solidarité nationale, par le jeu d’une mise à contribution des opérateurs nationaux des secteurs concernés, fera l’objet de l’élaboration d’un projet de loi en vue de cadrer les moyens financements et modalités de dépense/investissement, dans la perspective de la réduction des prix "locaux" au niveau des prix "métropolitains", ainsi que la création des fonds investissements pour le développement des moyens de production/services en adéquation avec les contraintes locales dans leurs environnements spécifiques.
Concrètement, comment défendrez-vous les dossiers polynésiens à l’Assemblée nationale ?
Idéalement, nous avons besoin d’une majorité forte à l’Assemblée nationale afin de mener à bien notre programme sans avoir à nouer des alliances de circonstance. Ainsi pour cela, nous devons rassembler les Français métropolitain, ultra-marin et de l’étranger, en leur demandant de faire preuve de bon sens dans leur choix de vote. Nous entendons par là, un vote de conviction / adhésion faisant suite à une lecture approfondie de notre programme législatif commun à tous nos candidats représentés. L’UPR présentera au total (suppléant inclus), 1148 candidats sur l’ensemble des circonscriptions incluant, la Métropole, l’Outre-mer et les Français de l’étranger pour ces élections législatives de 2017.
Quel groupe parlementaire rejoindrez-vous, si vous êtes élu ?
Dans le meilleurs des cas, nous espérons bien pouvoir créer notre propre groupe parlementaire à l’issue des résultats des législatives. Notre classement politique, par le Ministère de l’intérieur, est de "Divers", au-dessus des clivages gauche-droite, et au-dessus du centre.