Tahiti, le 4 juillet 2024 - Le “vin” d'ananas de Moorea, commercialisé en 2012 par Jean-Michel Monot, part à l'assaut de l'Hexagone.
La tâche est compliquée en métropole, sans doute le territoire le plus exigeant en termes de vin. Mais le “vin” d'ananas de Jean-Michel Monot est en train de séduire petit à petit les palais métropolitains. Une prouesse mise en avant dans le magazine Ça m'intéresse du mois de juillet 2024, dans lequel celui-ci chante l'éloge de cette prise de risque “pinardesque” en contant son histoire. Aujourd'hui, il est possible de se procurer ce “vin” en métropole, via un distributeur installé à Aubagne qui le commercialise en ligne. Selon des bruits de couloir, quelques chefs étoilés auraient même commencé à s'y intéresser. Une aubaine pour la filière d'ananas de Moorea en peine, qui peut désormais songer à l'exportation internationale d'un nouveau produit.
Pour rappel, ce nectar pensé en 2006 par Jean-Michel Monot et commercialisé en 2012, ne peut pas être qualifié de vin, car malgré le même processus de fabrication, il n'utilise pas de raisin.
La tâche est compliquée en métropole, sans doute le territoire le plus exigeant en termes de vin. Mais le “vin” d'ananas de Jean-Michel Monot est en train de séduire petit à petit les palais métropolitains. Une prouesse mise en avant dans le magazine Ça m'intéresse du mois de juillet 2024, dans lequel celui-ci chante l'éloge de cette prise de risque “pinardesque” en contant son histoire. Aujourd'hui, il est possible de se procurer ce “vin” en métropole, via un distributeur installé à Aubagne qui le commercialise en ligne. Selon des bruits de couloir, quelques chefs étoilés auraient même commencé à s'y intéresser. Une aubaine pour la filière d'ananas de Moorea en peine, qui peut désormais songer à l'exportation internationale d'un nouveau produit.
Pour rappel, ce nectar pensé en 2006 par Jean-Michel Monot et commercialisé en 2012, ne peut pas être qualifié de vin, car malgré le même processus de fabrication, il n'utilise pas de raisin.