Les cicatrices, qu’elles soient d’origine chirurgicale, infectieuse ou accidentelle, sont souvent source d’inconfort physique ou de douleur, en plus des conséquences esthétiques parfois gênantes.
De nombreux traitements médicaux et para-médicaux existent déjà, que ce soit des crèmes ou gels en application locale, des séances chez le kiné, etc., voire même des injections de produits corticoïdes, des séances de laser, de radiothérapie ou de chirurgie en dernier recours… Tout dépendra de chaque cas.
Généralement, on considère surtout l’aspect extérieur (au niveau de la peau) et localisé de la cicatrice. Ce qui est souvent mal connu et insuffisamment pris en considération, ce sont les conséquences mécaniques régionales et à distance d’une cicatrisation qui ne s’est pas toujours déroulée aussi bien que l’on pense.
Par exemple, pour une césarienne, une jolie cicatrice fine au-dehors va être considérée comme « bien cicatrisée »… Cependant, si la patiente souffre de douleurs occasionnelles ou d’inconfort au bas ventre, apparus après sa césarienne, on va souvent considérer cela comme « normal »… et si elle souffre de lombalgie (mal au bas du dos), apparue aussi dans la même période, on attribuera généralement cela à d’autres causes.
Pourtant, très souvent, ces symptômes peuvent être dus à des tensions post-chirurgicales ou des adhérences cicatricielles qui peuvent être grandement soulagées par des techniques de thérapie manuelle, dans une approche mécanique globale du corps humain…
Les adhérences cicatricielles, qu’est-ce que c’est ? Pour faire simple, en gros, c’est le processus de cicatrisation qui s’emballe un peu et fait « coller » entre eux des tissus du corps qui ne devraient pas, sur le site ou autour de la zone blessée ou opérée.
En effet, normalement, tout dans le corps doit être relativement capable de bouger, glisser, se mobiliser selon les caractéristiques de chaque tissu, organe ou structure pris en considération… sous peine de créer des troubles fonctionnels et mécaniques si ce n’est plus le cas. En particulier, mais pas seulement, la peau doit être mobile par rapport aux plans sous-jacents (muscles et fascias).
S’il y a des tensions et des adhérences cicatricielles, des techniques de thérapie manuelles très douces sont alors fort utiles pour bien des cas.
Un praticien à l’écoute du patient, ayant une bonne connaissance du corps humain, et surtout une « main » formée à la palpation fine pour pouvoir doser et traiter en douceur les tissus déjà traumatisés, pourra sûrement vous aider.
Ces techniques sont applicables dès que la peau est suffisamment cicatrisée (2 semaines dans les meilleurs des cas), ou plus tard selon l’état de cicatrisation et la nature des tissus concernés. Elles peuvent même être encore très utiles des années plus tard, même si le plus tôt est le mieux pour intervenir…
Ces techniques, si applicables à votre cas, sont une bonne alternative naturelle et non-douloureuse aux traitements conventionnels. Elles ont une visée surtout fonctionnelle (réduction ou guérison des troubles et inconforts mécaniques reliés à la cicatrice), même si parfois on observe aussi une certaine amélioration esthétique. Pratiquées par un thérapeute compétent et expérimenté, le patient ressent déjà plus de confort et de souplesse dès la première séance.
Chaque cas est unique, mais voici quelques signes pour reconnaître si cela peut vous concerner :
- Vous avez une cicatrice dure, inconfortable ou douloureuse malgré le temps qui passe ;
- Une cicatrice qui apparaît comme « aspirée » de l’intérieur ;
- Des tiraillements, sensations de piqûres, lourdeurs, ou douleurs au niveau de la cicatrice ou dans la région adjacente, ou même une sensation de « plaque de carton » ;
- D’autres inconforts ou douleurs dans une zone à distance, mais apparus en même temps ou peu de temps après l’événement qui a causé la cicatrice.
Karine Wong, Chiropracteur
Tél. 40 50 22 25
De nombreux traitements médicaux et para-médicaux existent déjà, que ce soit des crèmes ou gels en application locale, des séances chez le kiné, etc., voire même des injections de produits corticoïdes, des séances de laser, de radiothérapie ou de chirurgie en dernier recours… Tout dépendra de chaque cas.
Généralement, on considère surtout l’aspect extérieur (au niveau de la peau) et localisé de la cicatrice. Ce qui est souvent mal connu et insuffisamment pris en considération, ce sont les conséquences mécaniques régionales et à distance d’une cicatrisation qui ne s’est pas toujours déroulée aussi bien que l’on pense.
Par exemple, pour une césarienne, une jolie cicatrice fine au-dehors va être considérée comme « bien cicatrisée »… Cependant, si la patiente souffre de douleurs occasionnelles ou d’inconfort au bas ventre, apparus après sa césarienne, on va souvent considérer cela comme « normal »… et si elle souffre de lombalgie (mal au bas du dos), apparue aussi dans la même période, on attribuera généralement cela à d’autres causes.
Pourtant, très souvent, ces symptômes peuvent être dus à des tensions post-chirurgicales ou des adhérences cicatricielles qui peuvent être grandement soulagées par des techniques de thérapie manuelle, dans une approche mécanique globale du corps humain…
Les adhérences cicatricielles, qu’est-ce que c’est ? Pour faire simple, en gros, c’est le processus de cicatrisation qui s’emballe un peu et fait « coller » entre eux des tissus du corps qui ne devraient pas, sur le site ou autour de la zone blessée ou opérée.
En effet, normalement, tout dans le corps doit être relativement capable de bouger, glisser, se mobiliser selon les caractéristiques de chaque tissu, organe ou structure pris en considération… sous peine de créer des troubles fonctionnels et mécaniques si ce n’est plus le cas. En particulier, mais pas seulement, la peau doit être mobile par rapport aux plans sous-jacents (muscles et fascias).
S’il y a des tensions et des adhérences cicatricielles, des techniques de thérapie manuelles très douces sont alors fort utiles pour bien des cas.
Un praticien à l’écoute du patient, ayant une bonne connaissance du corps humain, et surtout une « main » formée à la palpation fine pour pouvoir doser et traiter en douceur les tissus déjà traumatisés, pourra sûrement vous aider.
Ces techniques sont applicables dès que la peau est suffisamment cicatrisée (2 semaines dans les meilleurs des cas), ou plus tard selon l’état de cicatrisation et la nature des tissus concernés. Elles peuvent même être encore très utiles des années plus tard, même si le plus tôt est le mieux pour intervenir…
Ces techniques, si applicables à votre cas, sont une bonne alternative naturelle et non-douloureuse aux traitements conventionnels. Elles ont une visée surtout fonctionnelle (réduction ou guérison des troubles et inconforts mécaniques reliés à la cicatrice), même si parfois on observe aussi une certaine amélioration esthétique. Pratiquées par un thérapeute compétent et expérimenté, le patient ressent déjà plus de confort et de souplesse dès la première séance.
Chaque cas est unique, mais voici quelques signes pour reconnaître si cela peut vous concerner :
- Vous avez une cicatrice dure, inconfortable ou douloureuse malgré le temps qui passe ;
- Une cicatrice qui apparaît comme « aspirée » de l’intérieur ;
- Des tiraillements, sensations de piqûres, lourdeurs, ou douleurs au niveau de la cicatrice ou dans la région adjacente, ou même une sensation de « plaque de carton » ;
- D’autres inconforts ou douleurs dans une zone à distance, mais apparus en même temps ou peu de temps après l’événement qui a causé la cicatrice.
Karine Wong, Chiropracteur
Tél. 40 50 22 25