RAIATEA, le 24 août 2020 - Comme chaque année, cinq concessionnaires, trente-cinq marques différentes et 150 véhicules ont attendu les clients de mardi à samedi dernier sur la place Tamatoa à Uturoa, et ce malgré la crise sanitaire. Le chiffre habituel de 100 véhicules vendus a quasiment été atteint.
L’expo des automobiles, en bord de mer face à l’hôpital d’Uturoa, s’est tenue comme chaque année depuis plus de vingt ans sous des chapiteaux individuels. La crise sanitaire a fait déplacer la date, habituellement en mars-avril, en ce mois d’août venteux. Pour la première fois le salon a duré cinq jours - contre quatre habituellement - pour compenser les aléas de la crise sanitaire.
Le mardi de l’inauguration, la foule n’était pas au rendez-vous. En cause, un manque de communication selon certains exposants, la crise sanitaire selon d’autres ; mais la tendance était peu encourageante.
Heureusement au fil des jours, surtout le vendredi après-midi et le samedi matin, les badauds étaient tout de même au rendez-vous malgré une météo mitigée.
C’est la société d’événements "Cyclone" dirigée par Didier Mora qui a repris l'organisation cette année : «Nous avons tous respecté toutes les consignes de sécurité concernant la crise sanitaire et nous représentons tant les marques européennes, américaines et asiatiques, les cross-over, S.U.V., citadines et bien entendu des utilitaires très prisés par la clientèle des îles. »
Si le début du salon était placé sous le signe du Covid Free, il n’en était pas de même les derniers jours, avec le premier cas en la personne du maire de Tumaraa (lire aussi p. 15). Nous saurons bientôt si la vigilance des CAE « Guide sanitaire » présents sur place aura eu l’effet protecteur escompté.
L’expo des automobiles, en bord de mer face à l’hôpital d’Uturoa, s’est tenue comme chaque année depuis plus de vingt ans sous des chapiteaux individuels. La crise sanitaire a fait déplacer la date, habituellement en mars-avril, en ce mois d’août venteux. Pour la première fois le salon a duré cinq jours - contre quatre habituellement - pour compenser les aléas de la crise sanitaire.
Le mardi de l’inauguration, la foule n’était pas au rendez-vous. En cause, un manque de communication selon certains exposants, la crise sanitaire selon d’autres ; mais la tendance était peu encourageante.
Heureusement au fil des jours, surtout le vendredi après-midi et le samedi matin, les badauds étaient tout de même au rendez-vous malgré une météo mitigée.
C’est la société d’événements "Cyclone" dirigée par Didier Mora qui a repris l'organisation cette année : «Nous avons tous respecté toutes les consignes de sécurité concernant la crise sanitaire et nous représentons tant les marques européennes, américaines et asiatiques, les cross-over, S.U.V., citadines et bien entendu des utilitaires très prisés par la clientèle des îles. »
Si le début du salon était placé sous le signe du Covid Free, il n’en était pas de même les derniers jours, avec le premier cas en la personne du maire de Tumaraa (lire aussi p. 15). Nous saurons bientôt si la vigilance des CAE « Guide sanitaire » présents sur place aura eu l’effet protecteur escompté.
Promotions tarifaires
Promotions tarifaires, agences bancaires du territoire sur place avec des stands très professionnels, tout était mis en oeuvre pour séduire la clientèle de Raiatea-Tahaa. Les acquéreurs et les concessionnaires pourront regretter que la prime gouvernementale en faveur des véhicules propres et neufs ne fasse officiellement son retour qu'après ce salon. Les ventes n'en auraient été que meilleures.
Au jour de la fermeture du salon, impossible de donner un chiffre précis des ventes. En effet les concessionnaires sont obligés d’attendre, pour certaines catégories d’acheteurs, des résultats médicaux ou des fins d’engagement de crédits ou encore une évolution salariale annoncée par l'acquéreur. Mais la tendance semble être du même acabit que les autres années, ce qui fait dire que le chiffre de 100 véhicules vendus lors de ce salon sera atteint.
Au moment de plier bagages, les concessionnaires qui venaient de passer entre les gouttes de la fermeture en raison de la situation sanitaire se posaient légitimement des questions quant au salon qui doit se tenir sur Tahiti. Après l'annulation du Salon du tourisme, l'espoir était mince.
Au jour de la fermeture du salon, impossible de donner un chiffre précis des ventes. En effet les concessionnaires sont obligés d’attendre, pour certaines catégories d’acheteurs, des résultats médicaux ou des fins d’engagement de crédits ou encore une évolution salariale annoncée par l'acquéreur. Mais la tendance semble être du même acabit que les autres années, ce qui fait dire que le chiffre de 100 véhicules vendus lors de ce salon sera atteint.
Au moment de plier bagages, les concessionnaires qui venaient de passer entre les gouttes de la fermeture en raison de la situation sanitaire se posaient légitimement des questions quant au salon qui doit se tenir sur Tahiti. Après l'annulation du Salon du tourisme, l'espoir était mince.