PAPEETE, le 12 août 2018 - Le colloque international des plantes aromatiques, médicinales et cosmétopée sera organisé en Polynésie en novembre, du 19 au 23. Il s’agira de la dixième édition de ce rendez-vous proposé tous les deux ans par les régions et territoires de l’outremer française. L’un des objectifs étant de promouvoir et de valoriser les plantes aromatiques et médicinales.
Dans les territoires ultramarins français 3 480 plantes vasculaires et 380 vertébrés endémiques ont été identifiés. C’est exceptionnel. Conscient de l’enjeu commun de valorisation, les régions et territoires de l’outremer ont lancé le Cipam. Un colloque international sur les plantes aromatiques et médicinales. Établi tous les deux ans depuis 2000, il sera organisé en Polynésie.
Une attraction toujours plus forte
Ce rendez-vous se veut une rencontre pour faire le point sur une thématique commune. Au fil des années, le succès a grandi. L’événement attire de plus en plus d’intéressés. Des pays riverains de la région organisatrice s’y déplacent.
L'un des objectifs de cette manifestation est de promouvoir et valoriser les plantes aromatiques et médicinales (Pam). Parmi les grands challenge se trouvait des participants, se trouvait l'inscription des plantes médicinales à la pharmacopée française à l'Afsaps (Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé) pour une reconnaissance de leur médecine traditionnelle.
Dans ce domaine, les départements d’outremer ont été particulièrement actifs. Plus de 70 plantes ont été inscrites. Le travail se poursuit pour préserver et valoriser la biodiversité de l’outremer français associée aux savoirs traditionnels.
5 thèmes
Les cinq thématiques du Cipam & Cos sont : la biodiversité végétale insulaire et ultramarine (potentialités et richesses à valoriser et/ou à préserver, les traditions et usages (les plantes dont les utilisations passées et présentes inspirent des valorisations innovantes en pharmacopée, cosmétopée et alimentation, la plante et son contenu (du gène à la molécule (phytochimie) et leurs expressions génique et moléculaire toxicité, activités biologiques et diverses propriétés intrinsèques), la bioproductions : éco-extractions, biotechnologies, technologies éco-compatibles, nouvelles formulations... et l’économie verte et bleue : structuration de filières économiques durables et équitables (production primaire, exploitation, transformations, commercialisation), réseaux à développer et à intensifier, réglementations dont accès et partage des avantages (APA)...
Celles et ceux qui souhaitent se faire connaître ou en savoir plus sur l’événement peuvent se rapprocher de Tahiti Fa’ahotu, le pôle d’innovation polynésien.
Dans les territoires ultramarins français 3 480 plantes vasculaires et 380 vertébrés endémiques ont été identifiés. C’est exceptionnel. Conscient de l’enjeu commun de valorisation, les régions et territoires de l’outremer ont lancé le Cipam. Un colloque international sur les plantes aromatiques et médicinales. Établi tous les deux ans depuis 2000, il sera organisé en Polynésie.
Une attraction toujours plus forte
Ce rendez-vous se veut une rencontre pour faire le point sur une thématique commune. Au fil des années, le succès a grandi. L’événement attire de plus en plus d’intéressés. Des pays riverains de la région organisatrice s’y déplacent.
L'un des objectifs de cette manifestation est de promouvoir et valoriser les plantes aromatiques et médicinales (Pam). Parmi les grands challenge se trouvait des participants, se trouvait l'inscription des plantes médicinales à la pharmacopée française à l'Afsaps (Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé) pour une reconnaissance de leur médecine traditionnelle.
Dans ce domaine, les départements d’outremer ont été particulièrement actifs. Plus de 70 plantes ont été inscrites. Le travail se poursuit pour préserver et valoriser la biodiversité de l’outremer français associée aux savoirs traditionnels.
5 thèmes
Les cinq thématiques du Cipam & Cos sont : la biodiversité végétale insulaire et ultramarine (potentialités et richesses à valoriser et/ou à préserver, les traditions et usages (les plantes dont les utilisations passées et présentes inspirent des valorisations innovantes en pharmacopée, cosmétopée et alimentation, la plante et son contenu (du gène à la molécule (phytochimie) et leurs expressions génique et moléculaire toxicité, activités biologiques et diverses propriétés intrinsèques), la bioproductions : éco-extractions, biotechnologies, technologies éco-compatibles, nouvelles formulations... et l’économie verte et bleue : structuration de filières économiques durables et équitables (production primaire, exploitation, transformations, commercialisation), réseaux à développer et à intensifier, réglementations dont accès et partage des avantages (APA)...
Celles et ceux qui souhaitent se faire connaître ou en savoir plus sur l’événement peuvent se rapprocher de Tahiti Fa’ahotu, le pôle d’innovation polynésien.