PAPEETE, le 23 mai 2016. La commission de l'énergie, présidée par Tina Cross, a reçu ce lundi des membres du groupe Facebook "Unis pour une électricité juste en Polynésie".
Les internautes polynésiens qui utilisent souvent le réseau social de Mark Zuckerberg ont pour la plupart entendu parler du groupe "Unis pour une électricité juste en Polynésie". Le groupe regroupe aujourd'hui plus de 22 000 membres. Quelques-uns de ses membres ont été reçus par la commission de l'énergie, présidée par Tina Cross. Des représentants de chaque groupe politique étaient présents à cette rencontre. A l'issue de cette réunion, la représente UPLD a annoncé aux membres du groupe "Unis pour une électricité juste en Polynésie" qu'elle allait réunir prochainement sa commission pour parler à nouveau des tarifs de l'électricité. "Je vais demander à la commission de demander au président de l'assemblée de saisir l'autorité de la concurrence et rédiger pour que modifié l'avenant 17 (à la convention de distribution électrique de Tahiti signé le 29 décembre 2015 par le président du Pays, Edouard Fritch et le groupe EDT, ndlr)", a expliqué Tina Cross, qui fait l’objet de trois citations directes en correctionnelle pour "diffamation envers un citoyen en charge d’un mandat public" à la demande de Nuihau Laurey.
Les membres du groupe "Unis pour une électricité juste en Polynésie" sont ressortis satisfaits de cette rencontre. "Vous connaissez les positions de Tina Cross", a souligné Yannick Jehanno, qui représentait ce lundi le groupe. "On croit en l'action qu'elle va faire mener à son groupe." Pendant la réunion, il a longuement insisté sur la nécessité d'une baisse des prix de l'électricité : "Nous allons continuer à être super vigilants et à être derrière vous".
René Temeharo, représentant du groupe Rassemblement pour une majorité autonomiste, a souligné lors de cette entrevue "être conscient de vos revendications" tout en soulignant que la modification du secteur de l'électricité n'allait "pas se faire en seulement six mois ou un an".
Les internautes polynésiens qui utilisent souvent le réseau social de Mark Zuckerberg ont pour la plupart entendu parler du groupe "Unis pour une électricité juste en Polynésie". Le groupe regroupe aujourd'hui plus de 22 000 membres. Quelques-uns de ses membres ont été reçus par la commission de l'énergie, présidée par Tina Cross. Des représentants de chaque groupe politique étaient présents à cette rencontre. A l'issue de cette réunion, la représente UPLD a annoncé aux membres du groupe "Unis pour une électricité juste en Polynésie" qu'elle allait réunir prochainement sa commission pour parler à nouveau des tarifs de l'électricité. "Je vais demander à la commission de demander au président de l'assemblée de saisir l'autorité de la concurrence et rédiger pour que modifié l'avenant 17 (à la convention de distribution électrique de Tahiti signé le 29 décembre 2015 par le président du Pays, Edouard Fritch et le groupe EDT, ndlr)", a expliqué Tina Cross, qui fait l’objet de trois citations directes en correctionnelle pour "diffamation envers un citoyen en charge d’un mandat public" à la demande de Nuihau Laurey.
Les membres du groupe "Unis pour une électricité juste en Polynésie" sont ressortis satisfaits de cette rencontre. "Vous connaissez les positions de Tina Cross", a souligné Yannick Jehanno, qui représentait ce lundi le groupe. "On croit en l'action qu'elle va faire mener à son groupe." Pendant la réunion, il a longuement insisté sur la nécessité d'une baisse des prix de l'électricité : "Nous allons continuer à être super vigilants et à être derrière vous".
René Temeharo, représentant du groupe Rassemblement pour une majorité autonomiste, a souligné lors de cette entrevue "être conscient de vos revendications" tout en soulignant que la modification du secteur de l'électricité n'allait "pas se faire en seulement six mois ou un an".
Inquiétudes pour les vallées
Le débat sur les tarifs de l'électricité est lié aussi aux débats sur les énergies renouvelables. Il a donc été question aussi du projet de barrage hydroélectrique dans la vallée de la Vaiiha. Le projet d'extraction de 8 500 m3 suscite des questions : "Qu'est-ce qu'ils nous préparent une route pour le barrage ?", a interpellé Danny Pittman, de l'association Taatiraa o te mau fatu fenua no te faa no Papeiha Vaiiha Faaone-Hitia'a.
L'étude d'impact environnemental sur ce projet recommande de « limiter voire arrêter les travaux de curage et engager des mesures de surveillance ». Elle est consultable jusqu'au 6 juin à la mairie de Faaone et de Hitia'a, ainsi qu'au service de l'Equipement, à Tipaerui.
L'étude d'impact environnemental sur ce projet recommande de « limiter voire arrêter les travaux de curage et engager des mesures de surveillance ». Elle est consultable jusqu'au 6 juin à la mairie de Faaone et de Hitia'a, ainsi qu'au service de l'Equipement, à Tipaerui.
