Jean-Louis Gregori
PAPEETE, le 8 décembre 2014 - Ce lundi matin le tribunal mixte de commerce examinait l'affaire du golf de Temae. Il s'agissait en théorie d'un ultime renvoi dans la phase de redressement judiciaire de la société South Pacific Golf and Resorts Development (SPGRD), qui devait examiner les offres de trois repreneurs potentiels. Mais le tribunal n'a pas pu se prononcer et la période d'observation est prolongée jusqu'au 9 février. Cette date devient le couperet pour présenter un plan de reprise, un plan de cession ou à défaut un plan de liquidation.
Mais ce délai va permettre à un nouveau repreneur potentiel de visiter le golf mi-décembre, assure Jean-Louis Gregori, promoteur et exploitant du Golf de Temae. Deux autres investisseurs chinois, Forbase et Hainan, déjà connus pour leur volonté d'investir dans le marché touristique polynésien, se seraient dits "très intéressés, mais malheureusement ces sociétés n'ont pas encore signé un quelconque accord avec le Territoire. Ils ne peuvent pas prendre de position parce qu'ils ne savent pas encore si leurs projets vont déboucher avec le Territoire. Par contre, il y a M. Cheng Wang qui, lui, a presque la certitude de signer son projet aquacole à Hao, et à ce moment-là, lui qui s'est dit très intéressé par un développement hôtelier aurait des chances de faire affaires avec nous" explique le promoteur.
Jean-Louis Gregori assure que la seule solution pour sauver ce golf est d'y construire un hôtel, "un modèle qui marche très bien dans le monde entier." Et dans cette affaire où de multiples procès se percutent, la solution qu'il préférerait personnellement serait de sortir du golf et de récupérer un morceau du terrain pour y construire un hôtel…
Mais ce délai va permettre à un nouveau repreneur potentiel de visiter le golf mi-décembre, assure Jean-Louis Gregori, promoteur et exploitant du Golf de Temae. Deux autres investisseurs chinois, Forbase et Hainan, déjà connus pour leur volonté d'investir dans le marché touristique polynésien, se seraient dits "très intéressés, mais malheureusement ces sociétés n'ont pas encore signé un quelconque accord avec le Territoire. Ils ne peuvent pas prendre de position parce qu'ils ne savent pas encore si leurs projets vont déboucher avec le Territoire. Par contre, il y a M. Cheng Wang qui, lui, a presque la certitude de signer son projet aquacole à Hao, et à ce moment-là, lui qui s'est dit très intéressé par un développement hôtelier aurait des chances de faire affaires avec nous" explique le promoteur.
Jean-Louis Gregori assure que la seule solution pour sauver ce golf est d'y construire un hôtel, "un modèle qui marche très bien dans le monde entier." Et dans cette affaire où de multiples procès se percutent, la solution qu'il préférerait personnellement serait de sortir du golf et de récupérer un morceau du terrain pour y construire un hôtel…
