Si M. DROLLET était resté ministre de l’OPT, et que personne ne l’avait arrêté, il aurait confirmé pas moins de 30 milliards de projets pharaoniques sur les fonds de l’OPT.
Des projets qui ont été lancés tous azimuts sans aucune idée de comment les amortir ni les rentabiliser.
M. DROLLET a engagé les deniers publics pour réaliser ses rêves de grandeur au détriment de la pérennité des emplois de l’OPT !
Le couple DROLLET et BARRAL ont pris la décision en novembre 2009 de se marier avec Canal Overseas sans même daigner consulter le Conseil des Ministres, ni l’Assemblée.
A qui M. DROLLET veut-il donner des leçons de démocratie ?
Le ministre en charge de l’économie numérique, Teva ROHFRITSCH, veut solliciter l’avis du Conseil d’Administration de l’OPT sur la conduite à adopter et le mandat à donner à son Président sur les éventuelles discussions et négociations entre le groupe OPT et COS. C’est l’objet du débat qui se tiendra ce vendredi.
M. DROLLET veut renvoyer M. ROHFRITSCH a une école obsolète. A quelle école « obsolète » M. DROLLET fait-il allusion ?
Fait-il allusion à l’école de M. FLOSSE qu’il cantonne au rôle d’instituteur obsolète ? Laissons M. DROLLET s’arranger avec son nouvel ami.
Le ministre tient à réaffirmer que dans notre Pays, le rôle de chaque institution est clairement défini.
Autrement dit :
- le Gouvernement doit gouverner !
- l’Assemblée de Polynésie française doit légiférer et contrôler !
Il n’est pas question pour M. ROHFRITSCH de laisser M. DROLLET et ses amis se substituer au gouvernement pour gérer les affaires du Pays.
Ce genre de débat stérile ne fait avancer ni le Pays, ni le groupe OPT déjà bien affecté par les affaires judiciaires en cours.
Le gouvernement mettra tout en œuvre pour permettre au groupe OPT de relever les défis de l’ouverture à la concurrence et de pérenniser les emplois des centaines de famille OPT.
Des projets qui ont été lancés tous azimuts sans aucune idée de comment les amortir ni les rentabiliser.
M. DROLLET a engagé les deniers publics pour réaliser ses rêves de grandeur au détriment de la pérennité des emplois de l’OPT !
Le couple DROLLET et BARRAL ont pris la décision en novembre 2009 de se marier avec Canal Overseas sans même daigner consulter le Conseil des Ministres, ni l’Assemblée.
A qui M. DROLLET veut-il donner des leçons de démocratie ?
Le ministre en charge de l’économie numérique, Teva ROHFRITSCH, veut solliciter l’avis du Conseil d’Administration de l’OPT sur la conduite à adopter et le mandat à donner à son Président sur les éventuelles discussions et négociations entre le groupe OPT et COS. C’est l’objet du débat qui se tiendra ce vendredi.
M. DROLLET veut renvoyer M. ROHFRITSCH a une école obsolète. A quelle école « obsolète » M. DROLLET fait-il allusion ?
Fait-il allusion à l’école de M. FLOSSE qu’il cantonne au rôle d’instituteur obsolète ? Laissons M. DROLLET s’arranger avec son nouvel ami.
Le ministre tient à réaffirmer que dans notre Pays, le rôle de chaque institution est clairement défini.
Autrement dit :
- le Gouvernement doit gouverner !
- l’Assemblée de Polynésie française doit légiférer et contrôler !
Il n’est pas question pour M. ROHFRITSCH de laisser M. DROLLET et ses amis se substituer au gouvernement pour gérer les affaires du Pays.
Ce genre de débat stérile ne fait avancer ni le Pays, ni le groupe OPT déjà bien affecté par les affaires judiciaires en cours.
Le gouvernement mettra tout en œuvre pour permettre au groupe OPT de relever les défis de l’ouverture à la concurrence et de pérenniser les emplois des centaines de famille OPT.