Les Nouvelles ont vivement réagit dans leur édition de ce vendredi aux propos tenus dans le communiqué de Teva Rohfritsch publié hier .
A son tour le Ministre communique en s'adressant cette fois plus directement à Muriel Pontarollo, rédactrice en chef des Nouvelles et signataire de la réponse évoquée plus haut.
Nous retransmettons le communiqué du Ministre:
« Madame Muriel Pontarollo se réveille »
Sortie d’une longue léthargie, Madame Muriel Pontarollo fait un grand honneur au « jeune loup » Teva Rohfritsch.
Vexée, Madame Pontarollo sort ses griffes pour égratigner le ministre de la reconversion économique, n’hésitant pas à le comparer au « vieux lion » – son pôle d’inspiration bien-aimé, son étalon inégalé et inégalable – dont elle admire toujours « la superbe et la finesse politique ».
Toujours péremptoire, Madame Pontarollo tente, s’érigeant à la fois en avocat et en juge, de justifier l’injustifiable cabale qu’elle fait mener par journalistes interposés contre l’Office des Postes et Télécommunications, et avoue une dent mal placée contre M. Teva Rohfritsch depuis plusieurs mois.
Celle qui, à tort et sans jamais le reconnaître, avait annoncé l’illégalité des filiales, et la non obtention des autorisations américaines du câble, sort donc à visage découvert !
Toujours à l’affût d’un scoop, même invérifié, Madame Pontarollo persiste dans ses attaques contre l’OPT.
M. Moana Tatarata, Président du PCA de l’OPT, a pourtant confirmé, dans un communiqué officiel, que le Conseil d’administration n’a jamais été convoqué le 21 janvier. Il ne peut donc pas reporter un Conseil qui n’a pas été convoqué !
Que faut-il donc de plus à Mme Pontarollo pour reconnaître ses erreurs ?
Les comptes du groupe OPT sont, encore une fois, en cours de consolidation.
Si déficit il y a, les chiffres seront de toute façon rendus publics !
Pour le moment, tout ceci reste spéculation… ou fantasme. C’est donc bien FAUX !
Et cela n’a rien de « flossien »… comparons ce qui est comparable chère prêtresse de la presse écrite.
Madame Pontarollo peut toujours s’appliquer à imposer son diktat sur ses journalistes pour tenter de berner les lecteurs.
Le ministère de la reconversion économique ne relève ni des premiers, ni des seconds, et encore moins des desiderata « sensationnels » de Madame le rédacteur en chef.
TEVA ROHFRITSCH
A son tour le Ministre communique en s'adressant cette fois plus directement à Muriel Pontarollo, rédactrice en chef des Nouvelles et signataire de la réponse évoquée plus haut.
Nous retransmettons le communiqué du Ministre:
« Madame Muriel Pontarollo se réveille »
Sortie d’une longue léthargie, Madame Muriel Pontarollo fait un grand honneur au « jeune loup » Teva Rohfritsch.
Vexée, Madame Pontarollo sort ses griffes pour égratigner le ministre de la reconversion économique, n’hésitant pas à le comparer au « vieux lion » – son pôle d’inspiration bien-aimé, son étalon inégalé et inégalable – dont elle admire toujours « la superbe et la finesse politique ».
Toujours péremptoire, Madame Pontarollo tente, s’érigeant à la fois en avocat et en juge, de justifier l’injustifiable cabale qu’elle fait mener par journalistes interposés contre l’Office des Postes et Télécommunications, et avoue une dent mal placée contre M. Teva Rohfritsch depuis plusieurs mois.
Celle qui, à tort et sans jamais le reconnaître, avait annoncé l’illégalité des filiales, et la non obtention des autorisations américaines du câble, sort donc à visage découvert !
Toujours à l’affût d’un scoop, même invérifié, Madame Pontarollo persiste dans ses attaques contre l’OPT.
M. Moana Tatarata, Président du PCA de l’OPT, a pourtant confirmé, dans un communiqué officiel, que le Conseil d’administration n’a jamais été convoqué le 21 janvier. Il ne peut donc pas reporter un Conseil qui n’a pas été convoqué !
Que faut-il donc de plus à Mme Pontarollo pour reconnaître ses erreurs ?
Les comptes du groupe OPT sont, encore une fois, en cours de consolidation.
Si déficit il y a, les chiffres seront de toute façon rendus publics !
Pour le moment, tout ceci reste spéculation… ou fantasme. C’est donc bien FAUX !
Et cela n’a rien de « flossien »… comparons ce qui est comparable chère prêtresse de la presse écrite.
Madame Pontarollo peut toujours s’appliquer à imposer son diktat sur ses journalistes pour tenter de berner les lecteurs.
Le ministère de la reconversion économique ne relève ni des premiers, ni des seconds, et encore moins des desiderata « sensationnels » de Madame le rédacteur en chef.
TEVA ROHFRITSCH
