Dans un communiqué intitulé "la motion de la dernière chance" et envoyé aux médias, mardi après-midi, le Tavini Huiraatira, principale composante politique du groupe UPLD à l'assemblée, reconnaît que la "motion de défiance n'a plus la cote", mais se moque des partis qui veulent garder " les mains propres" en boycottant le vote.
Le parti s'insurge contre la politique "prout-prout" des représentants qui ont d'ores et déjà annoncé qu'ils se tiendront à l'écart du débat sur la motion de défiance : c'est le cas pour l'instant de To Tatou Ai'a, et de deux élus non-inscrits : Philip Schyle, Thilda Fuller. "Lorsqu’on a été élu et que le contexte est périlleux, ne pas s’engager c’est fuir", leur assure le Tavini Huiraatira. La formation dénonce aussi les partis autonomistes qui refusent de soutenir la « motion indépendantiste », mais qui était pourtant il y a peu en discussion avec l'UPLD pour le dépôt d'une motion de défiance. "Qu’est-ce qui a pu changer tout d’un coup en quelques jours ? s'interroge le tavini. Dans le passé, nous avons bien travaillé tous ensemble, l’UPLD avait même laissé la présidence du pays à un autonomiste."
"La motion 2011 sera celle de la dernière chance", affirme enfin le Tavini, qui en appelle aux "bonnes volontés".
Le parti s'insurge contre la politique "prout-prout" des représentants qui ont d'ores et déjà annoncé qu'ils se tiendront à l'écart du débat sur la motion de défiance : c'est le cas pour l'instant de To Tatou Ai'a, et de deux élus non-inscrits : Philip Schyle, Thilda Fuller. "Lorsqu’on a été élu et que le contexte est périlleux, ne pas s’engager c’est fuir", leur assure le Tavini Huiraatira. La formation dénonce aussi les partis autonomistes qui refusent de soutenir la « motion indépendantiste », mais qui était pourtant il y a peu en discussion avec l'UPLD pour le dépôt d'une motion de défiance. "Qu’est-ce qui a pu changer tout d’un coup en quelques jours ? s'interroge le tavini. Dans le passé, nous avons bien travaillé tous ensemble, l’UPLD avait même laissé la présidence du pays à un autonomiste."
"La motion 2011 sera celle de la dernière chance", affirme enfin le Tavini, qui en appelle aux "bonnes volontés".
