Le programme d’insertion sociale par les activités nautiques (Pisan) 2019 s’est terminé ce samedi 3 août par l’évènement « Aito Swimming ». Ce programme, débuté en 2009, destiné à apprendre à nager aux enfants des quartiers défavorisés, fêtait par la même occasion ses dix années d’existence.
Le « Aito Swimming » a été proposé samedi à la piscine Pater par la fédération tahitienne de natation (FTN). Cette évènement est venu clôturer le programme d’insertion sociale par les activités nautiques (Pisan) 2019 qui fêtait par la même occasion ses dix années d’existence.
Ce programme vise à apprendre à nager aux enfants défavorisés en mettant à leur disposition les piscines communales habituellement fermées pendant les périodes de vacances. Des courses de nage libre sur 25 mètres ont été proposées à des jeunes garçons et filles de 8 ans (et moins) à 13 ans (et plus). SB
Le « Aito Swimming » a été proposé samedi à la piscine Pater par la fédération tahitienne de natation (FTN). Cette évènement est venu clôturer le programme d’insertion sociale par les activités nautiques (Pisan) 2019 qui fêtait par la même occasion ses dix années d’existence.
Ce programme vise à apprendre à nager aux enfants défavorisés en mettant à leur disposition les piscines communales habituellement fermées pendant les périodes de vacances. Des courses de nage libre sur 25 mètres ont été proposées à des jeunes garçons et filles de 8 ans (et moins) à 13 ans (et plus). SB
Parole à Michel Sommers, président de la FTN :
Quelques mots sur le Aito Swimming ?
« Le Aito Swimming, c’est la compétition qui clôture l’ensemble des stages du Pisan. 13 stages ont été élaborés en juillet avec énormément de communes qui ont joué le jeu. C’était aussi l’occasion de fêter les dix ans du Pisan, j’ai eu l’honneur d’ouvrir la compétition ce matin avec Jean Suenko et Teiki Tetahiotupa, ancien président et ancien conseiller technique de la FTN, avec qui on avait mis en place ce programme qui permet aux enfants des quartiers défavorisés d’apprendre à nager. Cela nous permet aussi de détecter quelques « pépites ». Il faut se préparer pour les prochains Jeux et nos champions peuvent aussi venir des quartiers défavorisés. »
Teiki Dupont est également présent ?
« Quelques nageurs médaillés des Jeux du Pacifique étaient également sponsors de l’opération. Ils ont accompagné les nageurs pendant les stages et ils viennent aussi pendant la compétition pour nous aider et montrer à ces jeunes quel est objectif à atteindre, même si aujourd’hui, l’essentiel c’est de participer. »
C’est une main tendue vers les quartiers défavorisés ?
« La saga fête ses trente ans je crois, nous, c’est une Saga pour la natation. On est fiers de voir ces jeunes des quartiers avec le sourire. On doit réfléchir pour faire en sorte de les faire venir au sein des clubs. L’objectif est également d’associer les clubs à l’organisation du Pisan pour pouvoir les intégrer directement. »
Quelques mots sur le Aito Swimming ?
« Le Aito Swimming, c’est la compétition qui clôture l’ensemble des stages du Pisan. 13 stages ont été élaborés en juillet avec énormément de communes qui ont joué le jeu. C’était aussi l’occasion de fêter les dix ans du Pisan, j’ai eu l’honneur d’ouvrir la compétition ce matin avec Jean Suenko et Teiki Tetahiotupa, ancien président et ancien conseiller technique de la FTN, avec qui on avait mis en place ce programme qui permet aux enfants des quartiers défavorisés d’apprendre à nager. Cela nous permet aussi de détecter quelques « pépites ». Il faut se préparer pour les prochains Jeux et nos champions peuvent aussi venir des quartiers défavorisés. »
Teiki Dupont est également présent ?
« Quelques nageurs médaillés des Jeux du Pacifique étaient également sponsors de l’opération. Ils ont accompagné les nageurs pendant les stages et ils viennent aussi pendant la compétition pour nous aider et montrer à ces jeunes quel est objectif à atteindre, même si aujourd’hui, l’essentiel c’est de participer. »
C’est une main tendue vers les quartiers défavorisés ?
« La saga fête ses trente ans je crois, nous, c’est une Saga pour la natation. On est fiers de voir ces jeunes des quartiers avec le sourire. On doit réfléchir pour faire en sorte de les faire venir au sein des clubs. L’objectif est également d’associer les clubs à l’organisation du Pisan pour pouvoir les intégrer directement. »