Dans le cadre de sa politique sectorielle culturelle, le Ministre de la culture et de l’artisanat, Madame Chantal Tahiata, a poursuivi hier matin, dans les locaux du Ministère, des travaux relatifs à la valorisation du patrimoine polynésien. Les dossiers à l’ordre du jour : le site culturel et naturel d’Opunohu, à Moorea, ainsi que le code du patrimoine matériel.
Un axe, un objectif, un planning de travail
Dès 8h ce jeudi 13 septembre 2012, le Service de la culture et du patrimoine présente le projet d’Opunohu. Un débat constructif s’en est suivi, avec le Ministère et les acteurs associatifs de l’île sœur, maîtrisant à la fois l’aménagement et l’histoire du site.
Le code du patrimoine matériel, dont les premiers textes datent des années 1960, fait également parti intégrante des projets du Ministre, poursuivant ainsi les travaux de ces prédécesseurs, Messieurs Jean Marius Raapoto et Tauhiti Nena.
Dans la même journée donc, une réunion de travail avec le service de la culture et du patrimoine a permis d’actualiser les textes, de les compléter (en fonction notamment du pluralisme culturel du pays) et de l’adapter à la réglementation en vigueur. Ce code du patrimoine actualisé permettra surtout de protéger nos monuments à caractère historiques, légendaires et archéologiques, constitutant un témoignage tangible de notre héritage commun, vecteur de notre identité.
Poursuivi depuis le mois d’avril 2011, ce corpus réglementaire est en cours de consolidation et de modifications suite au retour d’observations de différents services admnistratifs concernés que sont le service de l’urbanisme et la direction de l’environnement.
La valorisation du patrimoine passe aussi par la valorisation de l’artisanat traditionnel
A l’occasion des journées européennes du patrimoine, cette année, Madame le Ministre inaugurera le fare artisanat de Raivavae (archipel des Australes), samedi 15 septembre 2012, en compagnie de la Fédération artisanale Raianavai présidée par Monsieur Terii TIHATA.
Livré après 3 ans de travaux, pour un coût total de 31 660 000F entièrement pris en charge par le Pays, les artisans mais également les habitants de Raivavae pourront désormais compter sur cette construction pour développer à la fois sa culture, son tourisme et son économie.
Un axe, un objectif, un planning de travail
Dès 8h ce jeudi 13 septembre 2012, le Service de la culture et du patrimoine présente le projet d’Opunohu. Un débat constructif s’en est suivi, avec le Ministère et les acteurs associatifs de l’île sœur, maîtrisant à la fois l’aménagement et l’histoire du site.
Le code du patrimoine matériel, dont les premiers textes datent des années 1960, fait également parti intégrante des projets du Ministre, poursuivant ainsi les travaux de ces prédécesseurs, Messieurs Jean Marius Raapoto et Tauhiti Nena.
Dans la même journée donc, une réunion de travail avec le service de la culture et du patrimoine a permis d’actualiser les textes, de les compléter (en fonction notamment du pluralisme culturel du pays) et de l’adapter à la réglementation en vigueur. Ce code du patrimoine actualisé permettra surtout de protéger nos monuments à caractère historiques, légendaires et archéologiques, constitutant un témoignage tangible de notre héritage commun, vecteur de notre identité.
Poursuivi depuis le mois d’avril 2011, ce corpus réglementaire est en cours de consolidation et de modifications suite au retour d’observations de différents services admnistratifs concernés que sont le service de l’urbanisme et la direction de l’environnement.
La valorisation du patrimoine passe aussi par la valorisation de l’artisanat traditionnel
A l’occasion des journées européennes du patrimoine, cette année, Madame le Ministre inaugurera le fare artisanat de Raivavae (archipel des Australes), samedi 15 septembre 2012, en compagnie de la Fédération artisanale Raianavai présidée par Monsieur Terii TIHATA.
Livré après 3 ans de travaux, pour un coût total de 31 660 000F entièrement pris en charge par le Pays, les artisans mais également les habitants de Raivavae pourront désormais compter sur cette construction pour développer à la fois sa culture, son tourisme et son économie.
