Fenua Économie vient de publier sa dixième édition. Cette année encore, Fenua Économie n’a pas peur de mettre des mots sur les maux. Le magazine bouscule, dénonce et forcément va en agacer plus d’un. Mais surtout, en cette période de crise qui s’éternise, la rédaction de Fenua Économie a eu à cœur de mettre l’humain au centre de ses préoccupations à travers de nombreux témoignages. "L’économie", comme le déclare son rédacteur en chef Daniel Pardon, "ce n’est pas qu’une succession de chiffres, c’est aussi une réalité souvent douloureuse mais où l’espoir a toute sa place. "
Les sujets traités :
• « Les Polynésiens doivent-ils partir pour s’en sortir ? Quand la crise pousse à l’émigration » : ceci n’est pas une invitation à l’évasion des Polynésiens, mais une question primordiale que pose Fenua Économie : peut-on avoir un avenir en Polynésie quand le taux de chômage est sans doute supérieur à 20 %, que l’économie est en plein marasme et, qu’à ce jour, nous n’avons pas grand-chose à attendre de nos dirigeants ? Les témoignages de ceux qui sont partis, mais aussi revenus, nous éclairent sur ces migrations souvent forcées.
• « Air Tahiti : un trop coûteux monopole ? » : dans le deuxième dossier du Fenua Économie n°10, la rédaction s’est intéressée à la compagnie aérienne Air Tahiti (et ses filiales) effectuant les vols domestiques en Polynésie française. Une compagnie qui conserve jalousement son monopole alors même qu’elle se plaint, chaque année, d’être contrainte de desservir des lignes non rentables, service public oblige. Pourquoi ne pas partager le gâteau et confier ces dessertes aériennes à d’autres opérateurs ? Fenua Économie vous répond.
• « 2012, l’année de toutes les hausses » : cette année, l’inflation a fait pression sur le porte-monnaie des Polynésiens. De tous les côtés, nous avons été assaillis par les hausses de prix. La faute aux prix de l'énergie, notamment l'essence, qui ont fait flamber les budgets des ménages, nous dit-on, mais pas seulement…
• Chaque année, Air Tahiti Nui est au centre des débats : doit-on garder, coûte que coûte, cette compagnie aérienne ou pas ? Une question qui se pose d’autant plus cette année que le maintien d’Air France en Polynésie reste incertain. Fenua Économie a décidé de laisser le lecteur se faire sa propre opinion et, pourquoi pas, de choisir son camp… Voici sept bonnes raisons d’arrêter l’aventure et sept bonnes raisons de sauver le « soldat » ATN.
• « La défiscalisation sauvée en 2013 » : défiscalisation nationale et fiscale permettent aujourd’hui de financer à plus de 70 % le coût d’un projet d’un opérateur local en Polynésie française. Un système extrêmement cher, tant pour l’État que pour le Pays, pour une efficacité souvent peu pertinente, sans parler des effets pervers qu’il peut engendrer.
• « Le plan de redressement ». Cela va faire trois ans qu’on en parle, trois ans que le politique recule, mais pas forcément pour mieux sauter. Le Pays n’a plus les moyens de mener grand train et pourtant les mesures tardent à arriver pour inverser la tendance. Le dégraissage de la fonction publique en est le parfait exemple, comme vous pourrez le découvrir dans ce numéro de Fenua Économie. Après la multiplication des annonces, il paraît qu’il faudra attendre 2013 pour passer à la diète…
• Page 48, Fenua Économie se penche sur la téléphonie mobile et l’arrivée hypothétique de nouveaux opérateurs. Un sujet qui a déjà été largement suivi dans les précédentes éditions du magazine. Alors, 2013 sera-t-elle la « bonne » année ? Sur le terrain, les prétendants se livrent une guerre des nerfs qui profite aujourd’hui à Tikiphone.
• Treize portraits à lire à partir de la page 51. Fenua Économie s’attache aussi à mettre en avant ces hommes et ces femmes qui ont décidé d’investir malgré tout. En cette année de marasme économique, votre magazine annuel vous fait découvrir des créateurs, des investisseurs prêts à relever tous les défis. Preuve que tout peut repartir.
• Des chiffres-clés, des bilans, des statistiques, tous les secteurs d’activité sont passés au crible par l’équipe du magazine. Faut-il le rappeler, Fenua Économie est aussi un outil de travail pour les étudiants, les chefs d’entreprise, les décideurs, les administrations et tous ceux qui s’intéressent à l’actualité économique du pays.
Fenua’Économie 2012-2013 – n°10
Prix de vente : 950 Fcfp
180 pages au format A4+ avec reliure dos carré collé
Les sujets traités :
• « Les Polynésiens doivent-ils partir pour s’en sortir ? Quand la crise pousse à l’émigration » : ceci n’est pas une invitation à l’évasion des Polynésiens, mais une question primordiale que pose Fenua Économie : peut-on avoir un avenir en Polynésie quand le taux de chômage est sans doute supérieur à 20 %, que l’économie est en plein marasme et, qu’à ce jour, nous n’avons pas grand-chose à attendre de nos dirigeants ? Les témoignages de ceux qui sont partis, mais aussi revenus, nous éclairent sur ces migrations souvent forcées.
• « Air Tahiti : un trop coûteux monopole ? » : dans le deuxième dossier du Fenua Économie n°10, la rédaction s’est intéressée à la compagnie aérienne Air Tahiti (et ses filiales) effectuant les vols domestiques en Polynésie française. Une compagnie qui conserve jalousement son monopole alors même qu’elle se plaint, chaque année, d’être contrainte de desservir des lignes non rentables, service public oblige. Pourquoi ne pas partager le gâteau et confier ces dessertes aériennes à d’autres opérateurs ? Fenua Économie vous répond.
• « 2012, l’année de toutes les hausses » : cette année, l’inflation a fait pression sur le porte-monnaie des Polynésiens. De tous les côtés, nous avons été assaillis par les hausses de prix. La faute aux prix de l'énergie, notamment l'essence, qui ont fait flamber les budgets des ménages, nous dit-on, mais pas seulement…
• Chaque année, Air Tahiti Nui est au centre des débats : doit-on garder, coûte que coûte, cette compagnie aérienne ou pas ? Une question qui se pose d’autant plus cette année que le maintien d’Air France en Polynésie reste incertain. Fenua Économie a décidé de laisser le lecteur se faire sa propre opinion et, pourquoi pas, de choisir son camp… Voici sept bonnes raisons d’arrêter l’aventure et sept bonnes raisons de sauver le « soldat » ATN.
• « La défiscalisation sauvée en 2013 » : défiscalisation nationale et fiscale permettent aujourd’hui de financer à plus de 70 % le coût d’un projet d’un opérateur local en Polynésie française. Un système extrêmement cher, tant pour l’État que pour le Pays, pour une efficacité souvent peu pertinente, sans parler des effets pervers qu’il peut engendrer.
• « Le plan de redressement ». Cela va faire trois ans qu’on en parle, trois ans que le politique recule, mais pas forcément pour mieux sauter. Le Pays n’a plus les moyens de mener grand train et pourtant les mesures tardent à arriver pour inverser la tendance. Le dégraissage de la fonction publique en est le parfait exemple, comme vous pourrez le découvrir dans ce numéro de Fenua Économie. Après la multiplication des annonces, il paraît qu’il faudra attendre 2013 pour passer à la diète…
• Page 48, Fenua Économie se penche sur la téléphonie mobile et l’arrivée hypothétique de nouveaux opérateurs. Un sujet qui a déjà été largement suivi dans les précédentes éditions du magazine. Alors, 2013 sera-t-elle la « bonne » année ? Sur le terrain, les prétendants se livrent une guerre des nerfs qui profite aujourd’hui à Tikiphone.
• Treize portraits à lire à partir de la page 51. Fenua Économie s’attache aussi à mettre en avant ces hommes et ces femmes qui ont décidé d’investir malgré tout. En cette année de marasme économique, votre magazine annuel vous fait découvrir des créateurs, des investisseurs prêts à relever tous les défis. Preuve que tout peut repartir.
• Des chiffres-clés, des bilans, des statistiques, tous les secteurs d’activité sont passés au crible par l’équipe du magazine. Faut-il le rappeler, Fenua Économie est aussi un outil de travail pour les étudiants, les chefs d’entreprise, les décideurs, les administrations et tous ceux qui s’intéressent à l’actualité économique du pays.
Fenua’Économie 2012-2013 – n°10
Prix de vente : 950 Fcfp
180 pages au format A4+ avec reliure dos carré collé
