PAPEETE, le 5 novembre 2018 - L'association Te mana o te moana organise sous l'égide de la délégation territoriale à la recherche et la technologie et en collaboration avec la délégation à la recherche de la Polynésie française la 27e édition de la Fête de la science. Objectif? "Présenter la science au grand public de façon ludique, pédagogique et interactive par les acteurs scientifiques eux-mêmes, qu’ils soient chercheurs, enseignants ou bien acteurs économiques de la vie locale."
Créée en 1991 et pilotée par le ministère de l’enseignement supérieur et de la Recherche, la fête de la Science est un événement national qui favorise les échanges entre la communauté scientifique et le grand public.
Chaque année plus d’un million de visiteurs, 7 000 chercheurs impliqués et des centaines d’animations, d’expositions, de débats et d’initiatives originales, sont recensés partout en France, dans les Collectivités et Territoires de l’Outre-mer français et pour tous les publics.
En Polynésie, pour la 27e année, c'est l'association Te mana o te moana qui mène les opérations sous l'égide de la délégation territoriale à la recherche et la technologie et en collaboration avec la délégation à la recherche de la Polynésie française la 27e édition de la Fête de la science.
Des interventions dans les îles !
Pour cette édition 2018, il n’y aura pas de village des Sciences mais des séances d’animations seront effectuées directement dans les établissements (élémentaire ciblé cycle 3, collèges et lycées), par les instituts de recherche et les animatrices de l'association organisatrice. Et ce, "pour permettre aux îles éloignées de profiter de cet évènement". En effet, pour la première fois, des animations seront faites dans les îles !
Il y aura également une réalisation d’un mini laboratoire itinérant à destination du public scolaire. Une exposition dans les jardins de la mairie de Papeete et des conférences à l'université de la Polynésie française sont prévues
Par ailleurs, l'institut Louis Malardé (ILM) et le centre de recherche insulaire et observatoire pour l'environnement (Criobe) ouvriront leurs portes au public.
Créée en 1991 et pilotée par le ministère de l’enseignement supérieur et de la Recherche, la fête de la Science est un événement national qui favorise les échanges entre la communauté scientifique et le grand public.
Chaque année plus d’un million de visiteurs, 7 000 chercheurs impliqués et des centaines d’animations, d’expositions, de débats et d’initiatives originales, sont recensés partout en France, dans les Collectivités et Territoires de l’Outre-mer français et pour tous les publics.
En Polynésie, pour la 27e année, c'est l'association Te mana o te moana qui mène les opérations sous l'égide de la délégation territoriale à la recherche et la technologie et en collaboration avec la délégation à la recherche de la Polynésie française la 27e édition de la Fête de la science.
Des interventions dans les îles !
Pour cette édition 2018, il n’y aura pas de village des Sciences mais des séances d’animations seront effectuées directement dans les établissements (élémentaire ciblé cycle 3, collèges et lycées), par les instituts de recherche et les animatrices de l'association organisatrice. Et ce, "pour permettre aux îles éloignées de profiter de cet évènement". En effet, pour la première fois, des animations seront faites dans les îles !
Il y aura également une réalisation d’un mini laboratoire itinérant à destination du public scolaire. Une exposition dans les jardins de la mairie de Papeete et des conférences à l'université de la Polynésie française sont prévues
Par ailleurs, l'institut Louis Malardé (ILM) et le centre de recherche insulaire et observatoire pour l'environnement (Criobe) ouvriront leurs portes au public.
Les conférences à l'UPF
Le vendredi 16 novembre de 17h30 à 20h30
Franck Taputuarai : Transmission des savoirs sur le cycle lunaire en rapport avec la pêche et l’agriculture.
Serge Planes : Quel futur pour les récifs coralliens face au changement climatique ?
Fréderic Torrent, Les requins dans la culture polynésienne.
Herehia Helme : La biodiversité des rivières tahitiennes : cas particuliers des anguilles de la Polynésie française.
Éric Clua : Rôle des requins dans les écosystèmes récifs-coralliens.
Pauline Fabre : Le rahui dans la Polynésie ancestrale et aujourd’hui.
Guillaume Nery, Apnéiste : devenir un homme aquatique.
Le vendredi 16 novembre de 17h30 à 20h30
Franck Taputuarai : Transmission des savoirs sur le cycle lunaire en rapport avec la pêche et l’agriculture.
Serge Planes : Quel futur pour les récifs coralliens face au changement climatique ?
Fréderic Torrent, Les requins dans la culture polynésienne.
Herehia Helme : La biodiversité des rivières tahitiennes : cas particuliers des anguilles de la Polynésie française.
Éric Clua : Rôle des requins dans les écosystèmes récifs-coralliens.
Pauline Fabre : Le rahui dans la Polynésie ancestrale et aujourd’hui.
Guillaume Nery, Apnéiste : devenir un homme aquatique.
Portes ouvertes des instituts de recherche
Le centre de recherches insulaires et observatoire de l'environnement (Criobe) ouvrira ses portes à Moorea le mercredi 14 novembre de 11 heures à midi.
Ce centre est un laboratoire de recherche français spécialisé dans l’étude des écosystèmes coralliens. Créé en 1971, il est sous la tutelle de PSL-EPHE, du centre national de recherche scientifique (CNRS) et de l'université de Perpignan UPVD. Ses activités s’exercent à travers de multiples disciplines - l'écologie, la génétique, la chimie, la sociologie et l’anthropologie - sur la station de terrain sur l’île de Moorea en Polynésie Française avec des missions scientifiques à travers tout le Pacifique.
L'institut Louis Malardé ouvrira ses portes le mercredi 14 novembre à Papeete de 8 heures à 15 heures.
L'ILM est réparti en plusieurs espaces et travaille sur différents thèmes. Implanté en son sein le laboratoire de recherche sur les biotoxines marines (LRBT) se focalise par exemple sur l’étude de la ciguatéra, une intoxication alimentaire hautement prévalente en Polynésie française à travers une approche intégrée qui s’articule autour des thématiques suivantes surveillance épidémiologique des cas d'intoxication par biotoxines marines : veille technologique concernant les outils de détection des micro-algues et toxines associées présentes dans les réseaux trophiques marins (ciguatoxines et phycotoxines émergentes), évaluation du risque ciguatérique dans les lagons les plus vulnérables, études à visée biomédicale, actions d’éducation et de sensibilisation du grand public, coopération technique.
Par ailleurs, il y a un laboratoire de recherche en entomologie médicale à Paea, un pôle de recherche et de veille sur les maladies infectieuses émergentes ou bien encore un laboratoire d'analyse des eaux et des aliments.
Dans tous ces espaces, des présentations seront proposées, ainsi que des visites de salles et ateliers et des ateliers pratiques comme l'identification à la loupe binoculaire des espèces de moustiques vecteurs de maladies infectieuses !
Le centre de recherches insulaires et observatoire de l'environnement (Criobe) ouvrira ses portes à Moorea le mercredi 14 novembre de 11 heures à midi.
Ce centre est un laboratoire de recherche français spécialisé dans l’étude des écosystèmes coralliens. Créé en 1971, il est sous la tutelle de PSL-EPHE, du centre national de recherche scientifique (CNRS) et de l'université de Perpignan UPVD. Ses activités s’exercent à travers de multiples disciplines - l'écologie, la génétique, la chimie, la sociologie et l’anthropologie - sur la station de terrain sur l’île de Moorea en Polynésie Française avec des missions scientifiques à travers tout le Pacifique.
L'institut Louis Malardé ouvrira ses portes le mercredi 14 novembre à Papeete de 8 heures à 15 heures.
L'ILM est réparti en plusieurs espaces et travaille sur différents thèmes. Implanté en son sein le laboratoire de recherche sur les biotoxines marines (LRBT) se focalise par exemple sur l’étude de la ciguatéra, une intoxication alimentaire hautement prévalente en Polynésie française à travers une approche intégrée qui s’articule autour des thématiques suivantes surveillance épidémiologique des cas d'intoxication par biotoxines marines : veille technologique concernant les outils de détection des micro-algues et toxines associées présentes dans les réseaux trophiques marins (ciguatoxines et phycotoxines émergentes), évaluation du risque ciguatérique dans les lagons les plus vulnérables, études à visée biomédicale, actions d’éducation et de sensibilisation du grand public, coopération technique.
Par ailleurs, il y a un laboratoire de recherche en entomologie médicale à Paea, un pôle de recherche et de veille sur les maladies infectieuses émergentes ou bien encore un laboratoire d'analyse des eaux et des aliments.
Dans tous ces espaces, des présentations seront proposées, ainsi que des visites de salles et ateliers et des ateliers pratiques comme l'identification à la loupe binoculaire des espèces de moustiques vecteurs de maladies infectieuses !