PAPEETE, le 27 novembre 2014. La résolution qui avait été déposée par Marcel Tuihani et Isabelle Sachet a été adoptée par les représentants à l'assemblée.
Les élus de Tarahoi ont adopté ce jeudi après-midi la résolution qui avait été déposée par Marcel Tuihani et Isabelle Sachet. Trente-six représentants ont voté pour, 19 ont voté contre et deux représentants se sont abstenus. Parmi les 19 contre, il y avait 11 représentants du groupe Tahoeraa Huiraatira.
Deux amendements ont été adoptés. Ils prévoient qu'une commission chiffre le préjudice exact lié aux essais nucléaires et la reconnaissance par l'Etat du fait nucléaire.
Le projet de résolution demandait une indemnisation de la Polynésie française :
- 90,4 milliards Fcfp pour le «préjudice écologique pur» en raison de «l’atteinte au patrimoine naturel et à la biodiversité (…) préjudice qui ouvre droit à une indemnisation»
- 12,2 milliards Fcfp par an pour «l’occupation et la non rétrocession des deux atolls» à la Collectivité de la Polynésie française. «Cette somme sera réclamée annuellement tant que l’occupation et donc tant que le dommage écologique dureront».
Les élus de Tarahoi ont adopté ce jeudi après-midi la résolution qui avait été déposée par Marcel Tuihani et Isabelle Sachet. Trente-six représentants ont voté pour, 19 ont voté contre et deux représentants se sont abstenus. Parmi les 19 contre, il y avait 11 représentants du groupe Tahoeraa Huiraatira.
Deux amendements ont été adoptés. Ils prévoient qu'une commission chiffre le préjudice exact lié aux essais nucléaires et la reconnaissance par l'Etat du fait nucléaire.
Le projet de résolution demandait une indemnisation de la Polynésie française :
- 90,4 milliards Fcfp pour le «préjudice écologique pur» en raison de «l’atteinte au patrimoine naturel et à la biodiversité (…) préjudice qui ouvre droit à une indemnisation»
- 12,2 milliards Fcfp par an pour «l’occupation et la non rétrocession des deux atolls» à la Collectivité de la Polynésie française. «Cette somme sera réclamée annuellement tant que l’occupation et donc tant que le dommage écologique dureront».
