PAPEETE, le 10 juin 2015. (COMMUNIQUE DE LA PRESIDENCE) La période des examens a débuté depuis le 11 mai avec les sessions du brevet de technicien supérieur (BTS). Depuis le 1er juin, ce sont les épreuves du baccalauréat qui prennent le relais. La session du diplôme national du brevet (DNB) va suivre à compter du 28 juin.
Cette année, 15 419 élèves se présentent à un examen sur l’ensemble du territoire, dont 1067 pour le baccalauréat général, 1002 pour le baccalauréat technologique, 1032 pour les épreuves anticipées de 1ère, séries générales, 940 pour les épreuves anticipées de 1ère, séries technologiques, et 5217 pour le diplôme national du brevet.
Pour que ces sessions se déroulent sans encombre chaque année, une organisation particulièrement rigoureuse doit être mise en place pour la conception des sujets, la réception et la duplication des sujets, la sécurisation de ces sujets dans des enveloppes et des armoires blindées, ou encore l’organisation des jury et des salles d’examen. Un travail considérable dont le coût global est estimé à 28 millions Fcfp.
En effet, le matériel (copies d'examens, brouillons, rames de papier, enveloppes…), mais aussi le déplacement des enseignants (ordres de déplacement et réquisitions), les missions des examinateurs nationaux, l'envoi des copies pour corrections en métropole pour le BTS, le Diplôme de Comptabilité et de Gestion (DCG) et le Diplôme Supérieur de Comptabilité et de Gestion (DSCG) doivent être financés.
C’est le bureau des examens (BEX) de la direction générale de l’éducation et des enseignements (DGEE) qui, en collabobration étroite avec le Vice-rectorat de la Polynésie française, organise chaque année les sessions d’examen dans les établissements scolaires du Pays.
Outre leur investissement dans le cadre de leurs heures de travail officielles, ces agents n’hésitent jamais à se présenter durant les sessions d’examen qui se déroulent la nuit, décalage horaire oblige, comme le BTS qui est lié au calendrier national. Mais aussi pour le DCG et le DSCG.
Cette année, 15 419 élèves se présentent à un examen sur l’ensemble du territoire, dont 1067 pour le baccalauréat général, 1002 pour le baccalauréat technologique, 1032 pour les épreuves anticipées de 1ère, séries générales, 940 pour les épreuves anticipées de 1ère, séries technologiques, et 5217 pour le diplôme national du brevet.
Pour que ces sessions se déroulent sans encombre chaque année, une organisation particulièrement rigoureuse doit être mise en place pour la conception des sujets, la réception et la duplication des sujets, la sécurisation de ces sujets dans des enveloppes et des armoires blindées, ou encore l’organisation des jury et des salles d’examen. Un travail considérable dont le coût global est estimé à 28 millions Fcfp.
En effet, le matériel (copies d'examens, brouillons, rames de papier, enveloppes…), mais aussi le déplacement des enseignants (ordres de déplacement et réquisitions), les missions des examinateurs nationaux, l'envoi des copies pour corrections en métropole pour le BTS, le Diplôme de Comptabilité et de Gestion (DCG) et le Diplôme Supérieur de Comptabilité et de Gestion (DSCG) doivent être financés.
C’est le bureau des examens (BEX) de la direction générale de l’éducation et des enseignements (DGEE) qui, en collabobration étroite avec le Vice-rectorat de la Polynésie française, organise chaque année les sessions d’examen dans les établissements scolaires du Pays.
Outre leur investissement dans le cadre de leurs heures de travail officielles, ces agents n’hésitent jamais à se présenter durant les sessions d’examen qui se déroulent la nuit, décalage horaire oblige, comme le BTS qui est lié au calendrier national. Mais aussi pour le DCG et le DSCG.
