La Direction de la santé met en place des contrôles d’hygiène afin de surveiller les risques sanitaires, épidémiques et alimentaires durant la compétition de surf des Jeux olympiques. Crédit photo : Archives TI.
Tahiti, le 24 juillet 2024 – La Direction de la santé met en place une surveillance sanitaire, épidémique et alimentaire accrue pour la période Jeux olympiques. Des inspections sanitaires sur les repas servis aux athlètes, aux délégations, et aux équipes techniques sont prévues afin de minimiser les risques. Dans les fan-zones, des inspections sont également à prévoir sur les stands de restauration.
Le Pays, via la Direction de la santé, a annoncé se mobiliser pendant les Jeux olympiques afin de minimiser les risques sanitaires éventuels liés “aux contextes des grands rassemblements de population”. Comme l’annonce la Direction de la santé dans un communiqué, mercredi : “Des recommandations et informations sanitaires visant à prévenir la survenue ou l’introduction de pathologies spécifiques ont été transmises à Paris 2024 à l’intention de l’ensemble des délégations des pays participants.”
Une surveillance renforcée des événements sanitaires et des éventuels phénomènes épidémiques est organisée durant toute la durée de l’événement, en particulier autour des risques liés aux virus de la dengue, du Covid, de la fièvre jaune et de l’oropouche. À ce titre, des opérations de pulvérisation et une campagne d’élimination des gîtes à moustiques ont eu lieu les 10, 11 et 15 juillet derniers à Vairao et Teahupo’o. Une astreinte de médecins de santé publique, en lien avec le poste de commandement opérationnel armé par le haut-commissariat dans les locaux de l’Ifremer, est également instaurée durant cette période. Elle a pour but de répondre au plus tôt à toute menace sanitaire, en lien avec les services de secours et le Centre de santé environnementale (CSE) de la Direction de la santé.
S'armer contre les risques sanitaires alimentaires
Autres risques sanitaires courants : ceux alimentaires. Là encore, la Direction de la santé a annoncé vouloir s'engager dans une campagne de surveillance. Ainsi, pour le public dit “cible prioritaire”, qui comprend les athlètes, délégations, médias, équipes techniques, de sécurité et de secours, ainsi que les salariés et bénévoles intervenant sur les sites, plusieurs prestataires en restauration ont été sélectionnés par les comités organisateurs. Enregistrés auprès du CSE, ils ont fait l’objet d’inspections sanitaires visant à s’assurer que les mesures de maîtrise de la sécurité sanitaire des aliments étaient en place.
Concernant le “grand public”, les actions des équipes de la Direction de la santé vont tout d'abord cibler les fan-zones, à Taiarapu-Ouest, Papara et Papeete. En effet, de nombreux points de vente de restauration rapide ou à emporter ainsi que des stands forains seront installés le temps de la compétition. Là encore, un programme de surveillance sera mis en place afin de vérifier les bonnes conditions d'hygiène et de stockage des aliments.
Le Pays, via la Direction de la santé, a annoncé se mobiliser pendant les Jeux olympiques afin de minimiser les risques sanitaires éventuels liés “aux contextes des grands rassemblements de population”. Comme l’annonce la Direction de la santé dans un communiqué, mercredi : “Des recommandations et informations sanitaires visant à prévenir la survenue ou l’introduction de pathologies spécifiques ont été transmises à Paris 2024 à l’intention de l’ensemble des délégations des pays participants.”
Une surveillance renforcée des événements sanitaires et des éventuels phénomènes épidémiques est organisée durant toute la durée de l’événement, en particulier autour des risques liés aux virus de la dengue, du Covid, de la fièvre jaune et de l’oropouche. À ce titre, des opérations de pulvérisation et une campagne d’élimination des gîtes à moustiques ont eu lieu les 10, 11 et 15 juillet derniers à Vairao et Teahupo’o. Une astreinte de médecins de santé publique, en lien avec le poste de commandement opérationnel armé par le haut-commissariat dans les locaux de l’Ifremer, est également instaurée durant cette période. Elle a pour but de répondre au plus tôt à toute menace sanitaire, en lien avec les services de secours et le Centre de santé environnementale (CSE) de la Direction de la santé.
S'armer contre les risques sanitaires alimentaires
Autres risques sanitaires courants : ceux alimentaires. Là encore, la Direction de la santé a annoncé vouloir s'engager dans une campagne de surveillance. Ainsi, pour le public dit “cible prioritaire”, qui comprend les athlètes, délégations, médias, équipes techniques, de sécurité et de secours, ainsi que les salariés et bénévoles intervenant sur les sites, plusieurs prestataires en restauration ont été sélectionnés par les comités organisateurs. Enregistrés auprès du CSE, ils ont fait l’objet d’inspections sanitaires visant à s’assurer que les mesures de maîtrise de la sécurité sanitaire des aliments étaient en place.
Concernant le “grand public”, les actions des équipes de la Direction de la santé vont tout d'abord cibler les fan-zones, à Taiarapu-Ouest, Papara et Papeete. En effet, de nombreux points de vente de restauration rapide ou à emporter ainsi que des stands forains seront installés le temps de la compétition. Là encore, un programme de surveillance sera mis en place afin de vérifier les bonnes conditions d'hygiène et de stockage des aliments.