Les députés Edouard Fritch et Jean-Paul Tuaiva, en compagnie du représentant Frédéric Riveta, on reçu mardi matin Madame Linda Te Puni, consule générale de Nouvelle-Zélande en poste à Nouméa.
Au cours de cette rencontre, la diplomate néo-zélandaise s’est intéressée à la situation économique et politique de la Polynésie française, ainsi qu’à la question de la réinscription de la Polynésie française sur la liste des pays à décoloniser.
Répondant à ses questions, Edouard Fritch a fait part de ses inquiétudes pour ce qui concerne la situation économique, notant que le budget 2013 de la Polynésie française n’offrait aucune piste de redressement.
Il a toutefois souligné l’effort de l’Etat qui, malgré la crise budgétaire qui frappe également la France, « continue de soutenir l’activité du Pays ».
La consule générale et ses interlocuteurs ont par ailleurs longuement échangé sur les atouts et les handicaps dans le cadre développement potentiel des secteurs du tourisme, de la pêche et de l’agriculture, ainsi que sur la balance des échanges entre la Polynésie française et la Nouvelle-Zélande.
Enfin, concernant le combat d’Oscar Temaru, Edouard Fritch a estimé qua dans un cadre de paupérisation d’une partie des Polynésiens, le président « n’entend pas les cris de souffrance ». Pour les députés, la démarche de la réinscription sur la liste des pays à décoloniser est une démarche personnelle et « est dommageable car les investisseurs perdent confiance par manque de visibilité sur l’avenir ».
Au cours de cette rencontre, la diplomate néo-zélandaise s’est intéressée à la situation économique et politique de la Polynésie française, ainsi qu’à la question de la réinscription de la Polynésie française sur la liste des pays à décoloniser.
Répondant à ses questions, Edouard Fritch a fait part de ses inquiétudes pour ce qui concerne la situation économique, notant que le budget 2013 de la Polynésie française n’offrait aucune piste de redressement.
Il a toutefois souligné l’effort de l’Etat qui, malgré la crise budgétaire qui frappe également la France, « continue de soutenir l’activité du Pays ».
La consule générale et ses interlocuteurs ont par ailleurs longuement échangé sur les atouts et les handicaps dans le cadre développement potentiel des secteurs du tourisme, de la pêche et de l’agriculture, ainsi que sur la balance des échanges entre la Polynésie française et la Nouvelle-Zélande.
Enfin, concernant le combat d’Oscar Temaru, Edouard Fritch a estimé qua dans un cadre de paupérisation d’une partie des Polynésiens, le président « n’entend pas les cris de souffrance ». Pour les députés, la démarche de la réinscription sur la liste des pays à décoloniser est une démarche personnelle et « est dommageable car les investisseurs perdent confiance par manque de visibilité sur l’avenir ».