Faa’a le 26 octobre 2012. Une conférence de presse s’est tenue au siège d’EDT en présence des organisateurs, des partenaires et des athlètes récemment arrivés en Polynésie. Cet événement sportif exceptionnel se déroule ce samedi 27 et dimanche 28 octobre.
Il s’agit pour les participants de traverser l’île de Tahiti dans le sens Mataeia-Papenoo par équipe de deux. La discipline se nomme « run& bike » puisque l’équipe de deux se compose d’un coureur et d’un cycliste en vtt qui alterneront les disciplines à souhait.
Cette conférence de presse s’est déroulée en présence de Xavier Dubost Martin directeur de l’EDT. Il a souhaité la bienvenue aux visiteurs et a confirmé son soutien à cet événement visant à mettre en valeur la nature, l’intérieur de l’île de Tahiti et à en faire la promotion à l’étranger. Le GIE Tahiti Tourisme est à ce titre un partenaire privilégié de l’évènement.
Il a rappelé que si l’énergie électrique à Tahiti est fournie à 70% par l’utilisation de fuel lourd, une électricité coûteuse et tirée d’une ressource non renouvelable, 30% est fournie par l’hydro électricité produite dans les barrages réalisés par Marama Nui offrant une énergie propre et renouvelable.
Jean Michel Monot, organisateur de l’évènement s’est exprimé au micro de Tahiti Infos :
« Je tiens à remercier Marama Nui notre principal partenaire, l’hôtel Sofitel ainsi qu’ Air Tahiti Nui, c’est grâce à ces partenaires que tous ces athlètes sont là. »
« C’est une première en Polynésie pour notre discipline d’avoir autant d’athlètes d’un tel niveau. Ils sont habitués à évoluer sur des routes, sur du macadam, ils seront ici dans des situations de raid nature plus complexes et difficiles. Le parcours de ce raid n’est pas aussi dangereux que celui de la Réunion, mais il faudra malgré tout faire attention. »
« Il n’y a pas de danger majeur, c’est une course belle, difficile…attention aux chevilles et aux chutes en descente. Au niveau médical, trois équipes seront présentes. Tout est au point. »
Tony Moulai membre de l’équipe de France de triathlon s’est également exprimé au micro de Tahiti Infos :
« C’était mon premier séjour en mars pour le triathlon du Manava, ça m’a ébloui ce séjour. Avec un regret celui de ne pas être rentré au cœur de l’île, je voyais ces grandes parois et je n’avais pas pu y aller. Un mois après, Jean Michel m’a contacté avec sa volonté d’organiser ce raid, j’étais sous la neige à ce moment là et cela m’a fait sortir de mon entrainement quotidien. »
« Jean Michel a fait en sorte que cela soit en fin de saison, on ne pouvait donc qu’accepter. Je n’ai pas eu de mal à convaincre les collègues, photos à l’appui. L’organisation semblait vraiment carrée. Avec la finale des championnats du monde à Auckland, c’était parfait pour nous pour finir la saison. »
« On est sensible à la problématique des énergies renouvelables. L’EDT est une filiale de Suez, en équipe de France on est sponsorisé par la Lyonnaise des eaux, donc on a eu beaucoup de conférences. Avec le triathlon on fait de la natation dans la mer, l’océan, les fleuves, les lacs. »
« Cette problématique des énergies, elle est inhérente à notre sport. Il faut que l’eau soit assainie, notre sponsor a toujours fait la promotion de l’épuration de l’eau qui est importante, si l’eau est sale on ne peut pas pratiquer. »
Article, Photos ITW SB / Tahiti Infos
Il s’agit pour les participants de traverser l’île de Tahiti dans le sens Mataeia-Papenoo par équipe de deux. La discipline se nomme « run& bike » puisque l’équipe de deux se compose d’un coureur et d’un cycliste en vtt qui alterneront les disciplines à souhait.
Cette conférence de presse s’est déroulée en présence de Xavier Dubost Martin directeur de l’EDT. Il a souhaité la bienvenue aux visiteurs et a confirmé son soutien à cet événement visant à mettre en valeur la nature, l’intérieur de l’île de Tahiti et à en faire la promotion à l’étranger. Le GIE Tahiti Tourisme est à ce titre un partenaire privilégié de l’évènement.
Il a rappelé que si l’énergie électrique à Tahiti est fournie à 70% par l’utilisation de fuel lourd, une électricité coûteuse et tirée d’une ressource non renouvelable, 30% est fournie par l’hydro électricité produite dans les barrages réalisés par Marama Nui offrant une énergie propre et renouvelable.
Jean Michel Monot, organisateur de l’évènement s’est exprimé au micro de Tahiti Infos :
« Je tiens à remercier Marama Nui notre principal partenaire, l’hôtel Sofitel ainsi qu’ Air Tahiti Nui, c’est grâce à ces partenaires que tous ces athlètes sont là. »
« C’est une première en Polynésie pour notre discipline d’avoir autant d’athlètes d’un tel niveau. Ils sont habitués à évoluer sur des routes, sur du macadam, ils seront ici dans des situations de raid nature plus complexes et difficiles. Le parcours de ce raid n’est pas aussi dangereux que celui de la Réunion, mais il faudra malgré tout faire attention. »
« Il n’y a pas de danger majeur, c’est une course belle, difficile…attention aux chevilles et aux chutes en descente. Au niveau médical, trois équipes seront présentes. Tout est au point. »
Tony Moulai membre de l’équipe de France de triathlon s’est également exprimé au micro de Tahiti Infos :
« C’était mon premier séjour en mars pour le triathlon du Manava, ça m’a ébloui ce séjour. Avec un regret celui de ne pas être rentré au cœur de l’île, je voyais ces grandes parois et je n’avais pas pu y aller. Un mois après, Jean Michel m’a contacté avec sa volonté d’organiser ce raid, j’étais sous la neige à ce moment là et cela m’a fait sortir de mon entrainement quotidien. »
« Jean Michel a fait en sorte que cela soit en fin de saison, on ne pouvait donc qu’accepter. Je n’ai pas eu de mal à convaincre les collègues, photos à l’appui. L’organisation semblait vraiment carrée. Avec la finale des championnats du monde à Auckland, c’était parfait pour nous pour finir la saison. »
« On est sensible à la problématique des énergies renouvelables. L’EDT est une filiale de Suez, en équipe de France on est sponsorisé par la Lyonnaise des eaux, donc on a eu beaucoup de conférences. Avec le triathlon on fait de la natation dans la mer, l’océan, les fleuves, les lacs. »
« Cette problématique des énergies, elle est inhérente à notre sport. Il faut que l’eau soit assainie, notre sponsor a toujours fait la promotion de l’épuration de l’eau qui est importante, si l’eau est sale on ne peut pas pratiquer. »
Article, Photos ITW SB / Tahiti Infos
