Tahiti, le 26 mars 2025 - Un avenant à la convention cadre pour l'innovation publique a été signé ce mardi par les sept institutions partenaires que sont l'État, le Pays, l'assemblée, le Cesec, le Syndicat pour la promotion des communes (SPC-PF), la CPS et le Centre de gestion et de formation (CGF). Objectif : permettre l'association de nouveaux partenaires à ce dispositif. Ce mardi, la Socredo a officiellement fait son entrée et dans un avenir proche, ce sera la CCISM.
C'est dans la salle John French Teariki de l'assemblée que les représentants des sept institutions partenaires de la convention cadre relative au développement de l'innovation publique ont officialisé ce mardi, par la signature d'un avenant, l'entrée de la Socredo dans ce partenariat. “La Socredo, c'est un groupe avec des filiales et l'innovation est une façon de vivre son métier. Ça peut être des nouvelles technologies (...) pour trouver des solutions plus efficaces dans un contexte polynésien où on a des archipels éloignés et des métiers qui nécessitent du face-à-face, donc on doit innover”, explique Régis Chang, directeur de la Socredo qui rejoint donc officiellement cette coopération qui est, selon le président de l'assemblée, Antony Géros, un “relais essentiel pour améliorer la performance du service public”.
Cet avenant pose un cadre clair : les entités composées majoritairement de capitaux publics et contrôlées par l’État, le Pays ou les communes, peuvent désormais être associées à la démarche, sans voix délibérative, mais avec la possibilité de contribuer activement aux actions menées.
Un laboratoire de l'innovation
Comme l'a rappelé ensuite le président du Pays, Moetai Brotherson, c'est en 2021 que “les institutions se sont donné la main pour lancer le mouvement de l'innovation” en signant une première convention cadre. Quatre ans plus tard, et dans une volonté d'ouverture, un premier avenant à cette convention a donc été signé pour acter l'élargissement du partenariat avec deux nouveaux acteurs engagés. “Aujourd'hui la Socredo, avant d'accueillir – je l'espère – la CCISM”, a précisé le haut-commissaire Éric Spitz qui s'est notamment réjoui de la création du diplôme universitaire (DU) “Management et transformation par l'innovation” qui est reconnu au niveau national et qui est l'illustration d'une “collaboration exemplaire entre nos sept partenaires”. La première session 2023-2024 a d'ailleurs rencontré un franc succès et l'université a donc décidé de l'inscrire dans la durée.
“Cette année, on aura de nouvelles formations de facilitateurs, et un laboratoire de l'innovation qui sera installé dans le nouveau bâtiment administratif”, s'est félicité Moetai Brotherson, “ravi” lui aussi d'accueillir un nouveau venu en attendant que de futurs acteurs comme la CCISM rejoignent également ce partenariat.
C'est dans la salle John French Teariki de l'assemblée que les représentants des sept institutions partenaires de la convention cadre relative au développement de l'innovation publique ont officialisé ce mardi, par la signature d'un avenant, l'entrée de la Socredo dans ce partenariat. “La Socredo, c'est un groupe avec des filiales et l'innovation est une façon de vivre son métier. Ça peut être des nouvelles technologies (...) pour trouver des solutions plus efficaces dans un contexte polynésien où on a des archipels éloignés et des métiers qui nécessitent du face-à-face, donc on doit innover”, explique Régis Chang, directeur de la Socredo qui rejoint donc officiellement cette coopération qui est, selon le président de l'assemblée, Antony Géros, un “relais essentiel pour améliorer la performance du service public”.
Cet avenant pose un cadre clair : les entités composées majoritairement de capitaux publics et contrôlées par l’État, le Pays ou les communes, peuvent désormais être associées à la démarche, sans voix délibérative, mais avec la possibilité de contribuer activement aux actions menées.
Un laboratoire de l'innovation
Comme l'a rappelé ensuite le président du Pays, Moetai Brotherson, c'est en 2021 que “les institutions se sont donné la main pour lancer le mouvement de l'innovation” en signant une première convention cadre. Quatre ans plus tard, et dans une volonté d'ouverture, un premier avenant à cette convention a donc été signé pour acter l'élargissement du partenariat avec deux nouveaux acteurs engagés. “Aujourd'hui la Socredo, avant d'accueillir – je l'espère – la CCISM”, a précisé le haut-commissaire Éric Spitz qui s'est notamment réjoui de la création du diplôme universitaire (DU) “Management et transformation par l'innovation” qui est reconnu au niveau national et qui est l'illustration d'une “collaboration exemplaire entre nos sept partenaires”. La première session 2023-2024 a d'ailleurs rencontré un franc succès et l'université a donc décidé de l'inscrire dans la durée.
“Cette année, on aura de nouvelles formations de facilitateurs, et un laboratoire de l'innovation qui sera installé dans le nouveau bâtiment administratif”, s'est félicité Moetai Brotherson, “ravi” lui aussi d'accueillir un nouveau venu en attendant que de futurs acteurs comme la CCISM rejoignent également ce partenariat.
