PAPEETE, mardi 26 février 2013 – Le service de pré-plainte en ligne, mis en place par le ministère de l’Intérieur, sera opérationnel à Tahiti à compter de lundi prochain, 4 mars. Ce dispositif s’adresse aux victimes de vol, d’escroquerie, de dégradation et de manière générale aux victimes d’atteinte aux biens, lorsque l’auteur des faits est inconnu. Il permet d’obtenir un rendez-vous auprès de la police afin d’y déposer et d’y signer la plainte.
> La page des pré-plaintes en ligne : ICI
Dans un premier temps, ce service en ligne est rendu disponible pour les ressortissants de la zone DSP, c'est-à-dire des communes de Pirae et de Papeete. Il devrait être élargi à la zone gendarmerie dans le courant de l’année. Mais aucune date n’est précisée.
Ce système a pour vocation d’améliorer les conditions d’accueil du public en supprimant les délais d’attente auxquels les victimes peuvent être confrontées, dans les locaux de la Direction de la sécurité publique à Papeete.
Pour les situations d’urgence, les victimes doivent téléphoner au 17 ou au 112, ou se déplacer directement auprès du commissariat de police.
Expérimenté depuis le 1er novembre 2008, d’abord dans deux départements pilotes de l’hexagone, ce dispositif a ensuite été étendu une première fois en décembre 2011 à la moitié du territoire métropolitain, puis progressivement depuis janvier 2013 à l’ensemble du territoire national incluant les départements d’outre-mer et, à partir du 4 mars, les collectivités ultra-marines comme Wallis et Futuna, la Nouvelle-Calédonie et la Polynésie française (Papeete-Pirae).
Parallèlement, la refonte complète des logiciels de rédaction de procédures de la police et de la gendarmerie nationale (LRPPN et LRPGN) et du logiciel de traitement des procédures judiciaires (TAJ) garantit que les faits de délinquance seront désormais enregistrés là où ils ont été commis et non plus sur le lieu de leur déclaration.
> La page des pré-plaintes en ligne : ICI
Dans un premier temps, ce service en ligne est rendu disponible pour les ressortissants de la zone DSP, c'est-à-dire des communes de Pirae et de Papeete. Il devrait être élargi à la zone gendarmerie dans le courant de l’année. Mais aucune date n’est précisée.
Ce système a pour vocation d’améliorer les conditions d’accueil du public en supprimant les délais d’attente auxquels les victimes peuvent être confrontées, dans les locaux de la Direction de la sécurité publique à Papeete.
Pour les situations d’urgence, les victimes doivent téléphoner au 17 ou au 112, ou se déplacer directement auprès du commissariat de police.
Expérimenté depuis le 1er novembre 2008, d’abord dans deux départements pilotes de l’hexagone, ce dispositif a ensuite été étendu une première fois en décembre 2011 à la moitié du territoire métropolitain, puis progressivement depuis janvier 2013 à l’ensemble du territoire national incluant les départements d’outre-mer et, à partir du 4 mars, les collectivités ultra-marines comme Wallis et Futuna, la Nouvelle-Calédonie et la Polynésie française (Papeete-Pirae).
Parallèlement, la refonte complète des logiciels de rédaction de procédures de la police et de la gendarmerie nationale (LRPPN et LRPGN) et du logiciel de traitement des procédures judiciaires (TAJ) garantit que les faits de délinquance seront désormais enregistrés là où ils ont été commis et non plus sur le lieu de leur déclaration.
