Job POMAT, ministre des pêches et de la mer, et Sam BASILE, ministre du Plan et du développement économique, de Papouasie Nouvelle Guinée ont été accueillis au port de pêche de Papeete, par Bruno Ugolini, conseiller technique représentant le ministre des ressources marines en déplacement, Joseph Teanotoga, président du conseil d’administration de Tahiti Nui Rava’ai et Bernard Teriitahi, de la S3P.
Les ministres ont pu assister au débarquement du poisson suivi de la vente à la criée, puis de la visite des boxes dédiés au conditionnement et à la transformation du produit, avant de finir la visite par une dégustation de poisson frais. Le ministre des pêches, Job Pomat envisage de revenir en Polynésie française afin de mieux s’imprégner de l’exemple polynésien, notamment concernant le mode de fonctionnement des infrastructures de pêche. Ce qui fait défaut en Papouasie Nouvelle Guinée, c’est le manque d’infrastructures dédiées à l’exploitation optimale des ressources marines, alors que le développement de la filière pêche constitue une partie importante de l’accord de Nauru.
La délégation de PNG s’est également rendue au centre technique aquacole de Vaia à Vairao, puis dans les locaux de l’IFREMER afin de constater le degré de développement du secteur aquacole en Polynésie française.
Temauri FOSTER, ministre des ressources marines, a tenu à rencontrer la délégation « papou » afin de leur faire part des orientations prises par la Polynésie française en matière de développement de la pêche et de l’aquaculture. Si la vision de la gestion et de l’exploitation des ressources marines divergent sur certains points entre ces deux pays, il y a cependant une préoccupation commune qui les animent, celle d’une gestion et d’un développement durable du secteur primaire.
Les ministres ont pu assister au débarquement du poisson suivi de la vente à la criée, puis de la visite des boxes dédiés au conditionnement et à la transformation du produit, avant de finir la visite par une dégustation de poisson frais. Le ministre des pêches, Job Pomat envisage de revenir en Polynésie française afin de mieux s’imprégner de l’exemple polynésien, notamment concernant le mode de fonctionnement des infrastructures de pêche. Ce qui fait défaut en Papouasie Nouvelle Guinée, c’est le manque d’infrastructures dédiées à l’exploitation optimale des ressources marines, alors que le développement de la filière pêche constitue une partie importante de l’accord de Nauru.
La délégation de PNG s’est également rendue au centre technique aquacole de Vaia à Vairao, puis dans les locaux de l’IFREMER afin de constater le degré de développement du secteur aquacole en Polynésie française.
Temauri FOSTER, ministre des ressources marines, a tenu à rencontrer la délégation « papou » afin de leur faire part des orientations prises par la Polynésie française en matière de développement de la pêche et de l’aquaculture. Si la vision de la gestion et de l’exploitation des ressources marines divergent sur certains points entre ces deux pays, il y a cependant une préoccupation commune qui les animent, celle d’une gestion et d’un développement durable du secteur primaire.
