Une dizaine de faits leur ont été imputés dont les préjudices varient de 10.000 euros généralement à 60.000 euros dans le meilleur des cas, a précisé cette source, confirmant une information du Parisien/Aujourd'hui.
Ils ont débuté début 2006 quand un Monoprix a été victime d'un de ces vols audacieux et rarement vu dans les annales policières, a précisé cette source, bien que les préjudices soient qualifiés de "faibles".
Le gang pénètre généralement dans le magasin en toute discrétion tôt le matin ou tard le soir. Il profite que le cheminement de l'argent récolté par les caissières se fait par des conduits internes directement vers le coffre-fort de l'établissement. Les espèces sont placées dans des pneumatiques.
Ils percent un trou près du coffre, y placent un aspirateur à proximité et le tour est joué: les pneumatiques sont aspirés, a raconté cette source, précisant que ce système n'est pas en vigueur dans tous les Monoprix. Il "faut savoir quels son ceux qui le font", a dit la source.
Ce mode opératoire artisanal a été utilisé, sans doute par la même équipe, à Paris, en Seine-Saint-Denis et dans le Val-de-Marne, la police judiciaire parisienne étant saisie de l'ensemble des faits.
Le dernier en date est survenu à Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis) lundi au petit matin. Le "gang des aspirateurs" a aspiré plusieurs pneumatiques contenant des espèces, "quelques dizaines de milliers d'euros", toujours selon la source.
rb/ggy/phb
Ils ont débuté début 2006 quand un Monoprix a été victime d'un de ces vols audacieux et rarement vu dans les annales policières, a précisé cette source, bien que les préjudices soient qualifiés de "faibles".
Le gang pénètre généralement dans le magasin en toute discrétion tôt le matin ou tard le soir. Il profite que le cheminement de l'argent récolté par les caissières se fait par des conduits internes directement vers le coffre-fort de l'établissement. Les espèces sont placées dans des pneumatiques.
Ils percent un trou près du coffre, y placent un aspirateur à proximité et le tour est joué: les pneumatiques sont aspirés, a raconté cette source, précisant que ce système n'est pas en vigueur dans tous les Monoprix. Il "faut savoir quels son ceux qui le font", a dit la source.
Ce mode opératoire artisanal a été utilisé, sans doute par la même équipe, à Paris, en Seine-Saint-Denis et dans le Val-de-Marne, la police judiciaire parisienne étant saisie de l'ensemble des faits.
Le dernier en date est survenu à Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis) lundi au petit matin. Le "gang des aspirateurs" a aspiré plusieurs pneumatiques contenant des espèces, "quelques dizaines de milliers d'euros", toujours selon la source.
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