TAHITI, le 24 août 2022 - La troupe de cirque Le Roux revient à Tahiti avec un nouveau spectacle intitulé La Nuit du cerf. Il est une suite de Elephant in the room présenté en 2016. Le public est invité à cette occasion à découvrir un univers imaginé et animé par six circassiens, virtuoses et touchants.
C’est avec émotion que les fondateurs de la troupe de cirque Le Roux se rappellent leur passage à Tahiti en 2016. Ils étaient quatre : Greg, Lolita, Yannick et Philip. Ils étaient venus présenter Elephant in the room, leur toute première création. Pour eux, c’était la 100e mais elle garde une saveur particulière. “Les gens riaient beaucoup et franchement. Ils nous donnaient envie de rire sur scène. On a vraiment eu le sentiment de partager quelque chose.” Agréablement surpris par l’originalité du spectacle, le public “a très bien réagi”. Une date avait même été ajoutée à la programmation face au succès. “Tout cela avait été très rafraîchissant.”
Voilà donc la troupe d’acrobates de retour pour neuf dates au fenua. Le Roux est une troupe de cirque contemporain, un genre de spectacle vivant qui mêle différentes pratiques. En l’occurrence, des équilibres, de la voltige, des mains à mains, des sauts, des acrobaties, du fil de fer et même… du patin à roulettes. Tout devient alors spectaculaire. Chaque mouvement, mis au service de l’histoire, prend une dimension particulière. “Nous commençons toujours par écrire l’histoire. Nous imaginons ensuite les personnages avant de réfléchir aux acrobaties et à la manière dont elles peuvent s’intégrer et trouver leur place.”
Joyeuses funérailles
La troupe Le Roux compte aujourd’hui six artistes. Les fondateurs ont été rejoints par Mathilde (qui remplace pour la première fois Valérie) et Mason. Ils présenteront du 27 août au 4 septembre leur spectacle La Nuit du cerf qui est une suite de celui joué en 2016, Elephant in the room.
C’est avec émotion que les fondateurs de la troupe de cirque Le Roux se rappellent leur passage à Tahiti en 2016. Ils étaient quatre : Greg, Lolita, Yannick et Philip. Ils étaient venus présenter Elephant in the room, leur toute première création. Pour eux, c’était la 100e mais elle garde une saveur particulière. “Les gens riaient beaucoup et franchement. Ils nous donnaient envie de rire sur scène. On a vraiment eu le sentiment de partager quelque chose.” Agréablement surpris par l’originalité du spectacle, le public “a très bien réagi”. Une date avait même été ajoutée à la programmation face au succès. “Tout cela avait été très rafraîchissant.”
Voilà donc la troupe d’acrobates de retour pour neuf dates au fenua. Le Roux est une troupe de cirque contemporain, un genre de spectacle vivant qui mêle différentes pratiques. En l’occurrence, des équilibres, de la voltige, des mains à mains, des sauts, des acrobaties, du fil de fer et même… du patin à roulettes. Tout devient alors spectaculaire. Chaque mouvement, mis au service de l’histoire, prend une dimension particulière. “Nous commençons toujours par écrire l’histoire. Nous imaginons ensuite les personnages avant de réfléchir aux acrobaties et à la manière dont elles peuvent s’intégrer et trouver leur place.”
Joyeuses funérailles
La troupe Le Roux compte aujourd’hui six artistes. Les fondateurs ont été rejoints par Mathilde (qui remplace pour la première fois Valérie) et Mason. Ils présenteront du 27 août au 4 septembre leur spectacle La Nuit du cerf qui est une suite de celui joué en 2016, Elephant in the room.
Conçu sous la forme d’une intrigue policière, le spectacle met en scène les dérapages et les règlements de compte d’une famille réunie pour les funérailles de la mystérieuse Miss Betty. “Une fratrie et leur conjoints respectifs se retrouve, alors qu’elle ne s’est pas vue depuis longtemps. Surtout, frères et sœurs sont très différents”, précise la troupe. Ils ne vivent pas dans le même pays, ne sont pas issus du même milieu. Comment vont-ils prendre l’arrivée impromptue d’un inconnu lors de ces retrouvailles funèbres ?
Les péripéties ont lieu 35 ans après celles que mettait en scène le précédent spectacle, Elephant in the room. Ce dernier racontait le mariage de Betty. Malgré le sujet, le spectacle est drôle. “En réalité, les funérailles, les retrouvailles, sont des prétextes. Nous avons cherché à créer des situations. On rit et on s’amuse.” Un spectacle tout public.
Le décor, les costumes, la musique et l’éclairage, le texte et les personnages… tout est pensé dans les moindres détails. “On y attache énormément d’importance”, confirme la troupe qui crée à douze mains. La personnalité et la vie des personnages sont fouillées même si tout n’apparaît pas sur scène. Les circassiens endossent des rôles construits, loufoques, extravagants, mais aussi émouvants car riches de toute une panoplie de facettes. Les costumes sont inspirés de coupes, modèles et couleurs des années 1970.
La troupe est très inspirée par le cinéma, et pour La Nuit du cerf, par le cinéma des années 70 : la nouvelle vague, le cinéma indépendant. Elle fait des clins d’œil à des réalisateurs qu’elle affectionne, cherche à faire des focus, des flashbacks.
Pour éclairer le spectateur, le texte a pris de l’importance dans La Nuit du cerf. Un narrateur est là pour expliciter certaines scènes, des vidéos complètent la prise de parole. Le spectacle dure une heure trente. Il ne laisse personne de marbre.
Les péripéties ont lieu 35 ans après celles que mettait en scène le précédent spectacle, Elephant in the room. Ce dernier racontait le mariage de Betty. Malgré le sujet, le spectacle est drôle. “En réalité, les funérailles, les retrouvailles, sont des prétextes. Nous avons cherché à créer des situations. On rit et on s’amuse.” Un spectacle tout public.
Le décor, les costumes, la musique et l’éclairage, le texte et les personnages… tout est pensé dans les moindres détails. “On y attache énormément d’importance”, confirme la troupe qui crée à douze mains. La personnalité et la vie des personnages sont fouillées même si tout n’apparaît pas sur scène. Les circassiens endossent des rôles construits, loufoques, extravagants, mais aussi émouvants car riches de toute une panoplie de facettes. Les costumes sont inspirés de coupes, modèles et couleurs des années 1970.
La troupe est très inspirée par le cinéma, et pour La Nuit du cerf, par le cinéma des années 70 : la nouvelle vague, le cinéma indépendant. Elle fait des clins d’œil à des réalisateurs qu’elle affectionne, cherche à faire des focus, des flashbacks.
Pour éclairer le spectateur, le texte a pris de l’importance dans La Nuit du cerf. Un narrateur est là pour expliciter certaines scènes, des vidéos complètent la prise de parole. Le spectacle dure une heure trente. Il ne laisse personne de marbre.
Pratique
Du 27 au 4 septembre au Grand théâtre de la Maison de la culture.
Les samedis à 19h30, le dimanche à 17 heures.
Tarif entre 2 000 et 7 000 Fcfp.
Billets en vente à Carrefour, radio 1 et en ligne.
Du 27 au 4 septembre au Grand théâtre de la Maison de la culture.
Les samedis à 19h30, le dimanche à 17 heures.
Tarif entre 2 000 et 7 000 Fcfp.
Billets en vente à Carrefour, radio 1 et en ligne.
Contacts
Mail : www.cameleon.pf
Tél. : 87 31 40 40
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