Séoul, Corée du Sud | AFP | vendredi 25/08/2017 - La Corée du Nord a tiré trois missiles balistiques à courte portée samedi matin en mer du Japon, a affirmé l'armée américaine, confirmant les tirs de "projectiles non identifiés" annoncés quelques minutes plus tôt par le ministère sud-coréen de la Défense.
Aucun des missiles tirés du site nord-coréen de Kittaeryong n'a présenté de menace pour les Etats-Unis ou le territoire américain de Guam, dans le Pacifique, a précisé un porte-parole du commandement de l'armée américaine dans le Pacifique.
"Le premier et le troisième missile ont explosé quasi instantanément", a ajouté le porte-parole, soulignant que les trois tirs se sont étalés sur 30 minutes.
Ces tests ont eu lieu en pleines manoeuvres militaires entre forces américaines et sud-coréennes, a précisé le ministère sud-coréen de la Défense.
Selon ce ministère, les tirs ont commencé à 06h49 locales samedi (21h49 GMT vendredi) et les projectiles ont parcouru environ 250 km.
Le président sud-coréen Moon Jae-in a été immédiatement informé de ces tirs et "les forces armées ont entamé une stricte surveillance du régime nordiste (de Pyongyang) afin de pouvoir répondre à d'autres provocations", a encore indiqué le ministère de la Défense à Séoul.
Ces tests de missiles ou d'autres projectiles par le régime de Pyongyang, et notamment de missiles balistiques intercontinentaux, sont la réponse traditionnelle de la Corée du Nord aux manoeuvres militaires annuelles des forces sud-coréennes et américaines.
Actuellement, des dizaines de milliers de soldats et de personnels militaires des deux pays prennent part à ces manoeuvres, dans le cadre d'un exercice baptisé "Ulchi Freedom Guardian". Ces manoeuvres, largement fondées sur des simulations par ordinateurs, doivent durer deux semaines et ont débuté lundi.
Les deux alliés présentent ces manoeuvres comme défensives, mais aux yeux de Pyongyang, elles sont la répétition provocante de l'invasion de son territoire. Chaque année, la Corée du Nord brandit la menace de représailles militaires.
Aucun des missiles tirés du site nord-coréen de Kittaeryong n'a présenté de menace pour les Etats-Unis ou le territoire américain de Guam, dans le Pacifique, a précisé un porte-parole du commandement de l'armée américaine dans le Pacifique.
"Le premier et le troisième missile ont explosé quasi instantanément", a ajouté le porte-parole, soulignant que les trois tirs se sont étalés sur 30 minutes.
Ces tests ont eu lieu en pleines manoeuvres militaires entre forces américaines et sud-coréennes, a précisé le ministère sud-coréen de la Défense.
Selon ce ministère, les tirs ont commencé à 06h49 locales samedi (21h49 GMT vendredi) et les projectiles ont parcouru environ 250 km.
Le président sud-coréen Moon Jae-in a été immédiatement informé de ces tirs et "les forces armées ont entamé une stricte surveillance du régime nordiste (de Pyongyang) afin de pouvoir répondre à d'autres provocations", a encore indiqué le ministère de la Défense à Séoul.
Ces tests de missiles ou d'autres projectiles par le régime de Pyongyang, et notamment de missiles balistiques intercontinentaux, sont la réponse traditionnelle de la Corée du Nord aux manoeuvres militaires annuelles des forces sud-coréennes et américaines.
Actuellement, des dizaines de milliers de soldats et de personnels militaires des deux pays prennent part à ces manoeuvres, dans le cadre d'un exercice baptisé "Ulchi Freedom Guardian". Ces manoeuvres, largement fondées sur des simulations par ordinateurs, doivent durer deux semaines et ont débuté lundi.
Les deux alliés présentent ces manoeuvres comme défensives, mais aux yeux de Pyongyang, elles sont la répétition provocante de l'invasion de son territoire. Chaque année, la Corée du Nord brandit la menace de représailles militaires.