Suva (Fidji) – Deux équipes pluridisciplinaires dépêchées par la Communauté du Pacifique (CPS) et composées d’océanographes et de spécialistes de l’évaluation des dégâts embarquent aujourd’hui pour une semaine consacrée à l’évaluation des effets du cyclone tropical Winston sur l’île d’Ovalau et sur la côte sud-est de l’île de Vanua Levu.
Financés par la Banque mondiale et organisés en collaboration avec le bureau national de gestion des catastrophes des Fidji et la Direction fidjienne des ressources minérales, les relevés que réalisera la Division géosciences de la CPS permettront d’évaluer les dégâts causés aux bâtiments, l’état des services d’eau et d’assainissement, et l’étendue des inondations côtières constatées dans ces zones suite au passage dévastateur du cyclone de catégorie 5.
« Les relevés de ce type sont essentiels dans la mesure où ils permettent de prendre des décisions à court comme à long terme », explique Michael Petterson, Directeur de la Division géosciences de la CPS.
« À court terme, nous pouvons aider les pouvoirs publics à déterminer ce qui nécessite d’être remplacé et à estimer le coût de la reconstruction. »
« À plus long terme, ces études nous permettent de mieux comprendre les conséquences d’événements de ce type, d’aider les communautés locales à reconstruire des installations plus sûres et solides, et d’améliorer la planification des futurs aménagements en zones côtières pour limiter ces impacts », poursuit M. Petterson.
Les conclusions de ces relevés seront directement exploitées dans le cadre des réflexions menées par les pouvoirs publics fidjiens et lors de l’élaboration de plans de relève, de reconstruction et de réhabilitation des zones sinistrées.
Les responsables des relevés couvriront le couloir sud de Vanua Levu allant de Nabouwalu à Loa, ainsi que la côte de l’île d’Ovalau située dans l’archipel des Lomaiviti. Ces sites ont été sélectionnés sur la base des premiers clichés post-catastrophe qui montrent l’important impact de la marée de tempête, responsable de la submersion des zones côtières et de nombreux dégâts causés aux infrastructures.
Une fois que le flux d’aide humanitaire aura ralenti, des études du même type devraient pouvoir être menées dans d’autres zones ayant été durement touchées par les inondations, telles que les îles de Koro et de Vanua Balavu. Par ailleurs, les chargés d’étude des services fidjiens sont en ce moment même occupés à la réalisation d’évaluations similaires dans le nord-est de la zone côtière de Viti Levu.
En parallèle, la CPS organisera une formation à l’évaluation des besoins post-catastrophe à l’intention des membres du bureau national de gestion des catastrophes des Fidji, ainsi que du personnel de la CPS, l’objectif étant de leur permettre de mettre à niveau leurs connaissances en vue de la réalisation prochaine d’une évaluation de terrain à l’échelon national.
Communiqué
Financés par la Banque mondiale et organisés en collaboration avec le bureau national de gestion des catastrophes des Fidji et la Direction fidjienne des ressources minérales, les relevés que réalisera la Division géosciences de la CPS permettront d’évaluer les dégâts causés aux bâtiments, l’état des services d’eau et d’assainissement, et l’étendue des inondations côtières constatées dans ces zones suite au passage dévastateur du cyclone de catégorie 5.
« Les relevés de ce type sont essentiels dans la mesure où ils permettent de prendre des décisions à court comme à long terme », explique Michael Petterson, Directeur de la Division géosciences de la CPS.
« À court terme, nous pouvons aider les pouvoirs publics à déterminer ce qui nécessite d’être remplacé et à estimer le coût de la reconstruction. »
« À plus long terme, ces études nous permettent de mieux comprendre les conséquences d’événements de ce type, d’aider les communautés locales à reconstruire des installations plus sûres et solides, et d’améliorer la planification des futurs aménagements en zones côtières pour limiter ces impacts », poursuit M. Petterson.
Les conclusions de ces relevés seront directement exploitées dans le cadre des réflexions menées par les pouvoirs publics fidjiens et lors de l’élaboration de plans de relève, de reconstruction et de réhabilitation des zones sinistrées.
Les responsables des relevés couvriront le couloir sud de Vanua Levu allant de Nabouwalu à Loa, ainsi que la côte de l’île d’Ovalau située dans l’archipel des Lomaiviti. Ces sites ont été sélectionnés sur la base des premiers clichés post-catastrophe qui montrent l’important impact de la marée de tempête, responsable de la submersion des zones côtières et de nombreux dégâts causés aux infrastructures.
Une fois que le flux d’aide humanitaire aura ralenti, des études du même type devraient pouvoir être menées dans d’autres zones ayant été durement touchées par les inondations, telles que les îles de Koro et de Vanua Balavu. Par ailleurs, les chargés d’étude des services fidjiens sont en ce moment même occupés à la réalisation d’évaluations similaires dans le nord-est de la zone côtière de Viti Levu.
En parallèle, la CPS organisera une formation à l’évaluation des besoins post-catastrophe à l’intention des membres du bureau national de gestion des catastrophes des Fidji, ainsi que du personnel de la CPS, l’objectif étant de leur permettre de mettre à niveau leurs connaissances en vue de la réalisation prochaine d’une évaluation de terrain à l’échelon national.
Communiqué