Aussitôt, un message PAN aux navigateurs est diffusé toutes les 15 minutes par la station côtière de Mahina Radio. La vedette des douanes ARAFENUA alors au mouillage en baie de Cook appareille à 21h53 pour investiguer la zone. A 22h41 la vedette ARAFENUA entame ses recherches. Après plus
d’une heure sur zone : aucune détection radar, pas de réponse aux appels radio ni aux signaux projecteurs, la vedette ARAFENUA reçoit liberté de manoeuvre.
Ce matin, le remorqueur de la marine nationale REVI en route vers PAPEETE a effectué une patrouille dans la zone.
Le MRCC PAPEETE n’ayant reçu aucun avis d’inquiétude l’alerte est levée à 10h00.
Ce n’est pas la première « fausse » alerte que doit gérer le MRCC Papeete.
L’emploi des fusées rouges est strictement réservé aux détresses. Toute utilisation en dehors de ce contexte constitue un délit dit de « fausse alerte » qui est puni selon l’article 322-14 du Code pénal, par une peine pouvant aller jusqu’à deux ans de prison et 3,6 millions XFP d’amende. Cette infraction est constituée même si elle n’entraîne pas le départ de moyens de sauvetage.
L’action citoyenne des divers témoins qui ont immédiatement alerté le MRCC PAPEETE est à souligner. Il est rappelé que toute inquiétude ou alerte doit être communiquée le plus rapidement au centre de sauvetage en mer (Tel : 46 53 16) afin de favoriser un déroulement rapide et efficace des opérations de recherche et de sauvetage.
d’une heure sur zone : aucune détection radar, pas de réponse aux appels radio ni aux signaux projecteurs, la vedette ARAFENUA reçoit liberté de manoeuvre.
Ce matin, le remorqueur de la marine nationale REVI en route vers PAPEETE a effectué une patrouille dans la zone.
Le MRCC PAPEETE n’ayant reçu aucun avis d’inquiétude l’alerte est levée à 10h00.
Ce n’est pas la première « fausse » alerte que doit gérer le MRCC Papeete.
L’emploi des fusées rouges est strictement réservé aux détresses. Toute utilisation en dehors de ce contexte constitue un délit dit de « fausse alerte » qui est puni selon l’article 322-14 du Code pénal, par une peine pouvant aller jusqu’à deux ans de prison et 3,6 millions XFP d’amende. Cette infraction est constituée même si elle n’entraîne pas le départ de moyens de sauvetage.
L’action citoyenne des divers témoins qui ont immédiatement alerté le MRCC PAPEETE est à souligner. Il est rappelé que toute inquiétude ou alerte doit être communiquée le plus rapidement au centre de sauvetage en mer (Tel : 46 53 16) afin de favoriser un déroulement rapide et efficace des opérations de recherche et de sauvetage.