La maison pourtant modeste de ce résident de Taunoa a été cambriolée de nombreuses fois.
PAPEETE, mercredi 23 janvier 2013. Un sexagénaire de Taunoa, dans la périphérie de Papeete, a été victime de cinq cambriolages entre le 24 septembre et le 17 janvier, dont deux avec des menaces. Avec l’interpellation d’un des auteurs, son calvaire devrait être terminé.
C’est une histoire invraisemblable, une très mauvaise plaisanterie de gamins bien mal intentionnés et qui ont franchi la limite du supportable. Des gamins qui n’en sont cependant pas à leur coup d’essai. Cambriolé à cinq reprises, entre le 24 septembre et le 17 janvier 2012, dans sa maison de Taunoa, ce sexagénaire a vu ses voleurs habituels passer un cran au dessus, lorsque le 17 janvier, il retrouvait chez lui un message, lui réclamant 30 000 Fcfp «à remettre dans une boîte» pour retrouver la tranquillité chez lui. Le message comportait en plus des menaces explicites de mort en cas de tentative de dénonciation. Sans céder pourtant à ce chantage, ce résident a porté plainte et témoigné dans les colonnes de La Dépêche, samedi dernier, de ces cambriolages à répétition et de la montée en puissance de l’agressivité de ses visiteurs. C’est ce même jour qu’un nouveau message de menace est déposé chez lui, exigeant cette fois 10 000 Fcfp pour mettre fin à cette série noire. Samedi, ces cambrioleurs-racketteurs n’ont pris que trois bouteilles de bière dans le frigo. Il est vrai que l’équipement de cet habitant est devenu plus que spartiate au fur et à mesure des cambriolages subis, pour ne pas avoir à souffrir de la perte de ses objets personnels.
Les investigations menées par les policiers de la DSP (direction de la sécurité publique) ont permis ce mardi d’interpeller un de ces cambrioleur/racketteur. Comme la victime le supposait, ce jeune mineur âgé de 15 ans à peine est quasiment un voisin, guettant ses faits et gestes et agissant dans son dos. Défavorablement connu des services de police pour différents cambriolages, ce jeune a reconnu être l’auteur des messages de menaces et avoir participé aux cambriolages. Effectivement deux pantalons dérobés précédemment ont été retrouvés à son domicile. Ses déclarations indiquent clairement qu’il n’était pas le seul caïd du quartier engagé dans cette affaire de racket, mais jusqu’ici il a tenu sa langue. Placé en garde à vue, il sera vraisemblablement déferré au parquet ce jeudi matin.
C’est une histoire invraisemblable, une très mauvaise plaisanterie de gamins bien mal intentionnés et qui ont franchi la limite du supportable. Des gamins qui n’en sont cependant pas à leur coup d’essai. Cambriolé à cinq reprises, entre le 24 septembre et le 17 janvier 2012, dans sa maison de Taunoa, ce sexagénaire a vu ses voleurs habituels passer un cran au dessus, lorsque le 17 janvier, il retrouvait chez lui un message, lui réclamant 30 000 Fcfp «à remettre dans une boîte» pour retrouver la tranquillité chez lui. Le message comportait en plus des menaces explicites de mort en cas de tentative de dénonciation. Sans céder pourtant à ce chantage, ce résident a porté plainte et témoigné dans les colonnes de La Dépêche, samedi dernier, de ces cambriolages à répétition et de la montée en puissance de l’agressivité de ses visiteurs. C’est ce même jour qu’un nouveau message de menace est déposé chez lui, exigeant cette fois 10 000 Fcfp pour mettre fin à cette série noire. Samedi, ces cambrioleurs-racketteurs n’ont pris que trois bouteilles de bière dans le frigo. Il est vrai que l’équipement de cet habitant est devenu plus que spartiate au fur et à mesure des cambriolages subis, pour ne pas avoir à souffrir de la perte de ses objets personnels.
Les investigations menées par les policiers de la DSP (direction de la sécurité publique) ont permis ce mardi d’interpeller un de ces cambrioleur/racketteur. Comme la victime le supposait, ce jeune mineur âgé de 15 ans à peine est quasiment un voisin, guettant ses faits et gestes et agissant dans son dos. Défavorablement connu des services de police pour différents cambriolages, ce jeune a reconnu être l’auteur des messages de menaces et avoir participé aux cambriolages. Effectivement deux pantalons dérobés précédemment ont été retrouvés à son domicile. Ses déclarations indiquent clairement qu’il n’était pas le seul caïd du quartier engagé dans cette affaire de racket, mais jusqu’ici il a tenu sa langue. Placé en garde à vue, il sera vraisemblablement déferré au parquet ce jeudi matin.
