PAPEETE, jeudi 4 juillet 2013. Retirer de l’argent liquide au distributeur de billet et effacer les écritures de cette opération de son compte bancaire. C’était l’astuce a priori toute simple trouvée par un informaticien de la Banque de Tahiti qui disposait des codes d’accès à distance aux ordinateurs de sa banque. Mais, 45 millions de Fcfp manquants, cela finit par se voir.
A l’occasion de la vérification des comptes annuels de la banque, un commissaire aux comptes a découvert le pot-aux-roses. Le Parquet a été immédiatement informé de cette infraction pénale et une enquête a été ouverte par la DSP. Elle a permis d’identifier rapidement le bénéficiaire de la carte bancaire avec laquelle de l’argent liquide était distribué sans que son compte ne soit débité. L’informaticien maison a remboursé son employeur. La banque indemnisée n’a pas porté plainte. Mais l’escroc devra néanmoins répondre de ses actes devant le tribunal correctionnel.
A l’occasion de la vérification des comptes annuels de la banque, un commissaire aux comptes a découvert le pot-aux-roses. Le Parquet a été immédiatement informé de cette infraction pénale et une enquête a été ouverte par la DSP. Elle a permis d’identifier rapidement le bénéficiaire de la carte bancaire avec laquelle de l’argent liquide était distribué sans que son compte ne soit débité. L’informaticien maison a remboursé son employeur. La banque indemnisée n’a pas porté plainte. Mais l’escroc devra néanmoins répondre de ses actes devant le tribunal correctionnel.