PAPEETE, 14 décembre 2017 - Le haut-commissaire de la République a souhaité, cette année encore, mettre à l’honneur l’exemple remarquable d’économie solidaire que constitue le microcrédit.
Jeudi matin, René Bidal a signé avec l’ADIE un avenant à la convention annuelle 2017 qui fixe la participation totale de l’État pour 2017 à 23,8 millions Fcfp. Le représentant de l'Etat s'est en outre engagé avec la convention annuelle 2018 qui prévoit un financement de 17,9 millions Fcfp, susceptible d’être complété en cours d’année prochaine, selon les résultats enregistrés par l’Association pour le droit à l’initiative économique.
Jusqu’alors, cette signature intervenait en août. Pour 2018, le haut-commissaire a obtenu du ministère des Outre-mer que ce partenariat soit renouvelé dès le mois de décembre afin de permettre à l’ADIE de poursuivre son déploiement dès les premiers mois de l’année.
L’ADIE est une association reconnue d’utilité publique construite comme une réponse aux oubliés du financement bancaire conventionnel, des personnes peu solvables ou présentant des projets de trop faible envergure pour être soutenus par une banque.
L'organisme aide ces personnes à créer leur entreprise et donc leur emploi grâce à un micro-crédit ainsi qu’un accompagnement adapté. Outil de cohésion sociale, il permet ainsi aux plus modestes de trouver leur place au sein de la société.
A l’occasion de la signature de ces conventions, le haut-commissaire a tenu à recevoir et à féliciter des chefs d’entreprise ayant bénéficié du soutien de micro-crédits :
• Valérie Defois qui s’est lancée dans l’artisanat ;
• Flore Hani qui a créé sa propre marque de vêtements ;
• Haumanava Tixier qui utilise les peaux de poissons pour confectionner des vêtements et des bijoux ;
• Noebert Domm qui fabrique des pirogues de compétition.
En progression constante depuis près de dix ans, l’ADIE a accordé, au cours du second semestre 2017, 582 micro-crédits et accompagné 372 porteurs de projets. Ce soutien vital constitue la base d’un développement pérenne puisque 77 % des entreprises aidées sont toujours en activité après 2 ans d’existence.
Pour 2018, le haut-commissaire a demandé à l’ADIE de prévoir son installation aux Marquises, pour que tous les archipels bénéficient d’un accès de proximité à ses prestations.
Jeudi matin, René Bidal a signé avec l’ADIE un avenant à la convention annuelle 2017 qui fixe la participation totale de l’État pour 2017 à 23,8 millions Fcfp. Le représentant de l'Etat s'est en outre engagé avec la convention annuelle 2018 qui prévoit un financement de 17,9 millions Fcfp, susceptible d’être complété en cours d’année prochaine, selon les résultats enregistrés par l’Association pour le droit à l’initiative économique.
Jusqu’alors, cette signature intervenait en août. Pour 2018, le haut-commissaire a obtenu du ministère des Outre-mer que ce partenariat soit renouvelé dès le mois de décembre afin de permettre à l’ADIE de poursuivre son déploiement dès les premiers mois de l’année.
L’ADIE est une association reconnue d’utilité publique construite comme une réponse aux oubliés du financement bancaire conventionnel, des personnes peu solvables ou présentant des projets de trop faible envergure pour être soutenus par une banque.
L'organisme aide ces personnes à créer leur entreprise et donc leur emploi grâce à un micro-crédit ainsi qu’un accompagnement adapté. Outil de cohésion sociale, il permet ainsi aux plus modestes de trouver leur place au sein de la société.
A l’occasion de la signature de ces conventions, le haut-commissaire a tenu à recevoir et à féliciter des chefs d’entreprise ayant bénéficié du soutien de micro-crédits :
• Valérie Defois qui s’est lancée dans l’artisanat ;
• Flore Hani qui a créé sa propre marque de vêtements ;
• Haumanava Tixier qui utilise les peaux de poissons pour confectionner des vêtements et des bijoux ;
• Noebert Domm qui fabrique des pirogues de compétition.
En progression constante depuis près de dix ans, l’ADIE a accordé, au cours du second semestre 2017, 582 micro-crédits et accompagné 372 porteurs de projets. Ce soutien vital constitue la base d’un développement pérenne puisque 77 % des entreprises aidées sont toujours en activité après 2 ans d’existence.
Pour 2018, le haut-commissaire a demandé à l’ADIE de prévoir son installation aux Marquises, pour que tous les archipels bénéficient d’un accès de proximité à ses prestations.