Santa Cruz de la Sierra, Bolivie | AFP | mercredi 29/08/2018 - L'Espagne va s'associer à un projet ferroviaire reliant les océans Pacifique et Atlantique, à travers des ports brésiliens et péruviens, en passant par le territoire bolivien.
"Nous sommes extraordinairement satisfaits de pouvoir apposer notre signature sur un projet, qui sans aucun doute, va beaucoup apporter à cette société, ce sont des opportunités, de l'emploi et du progrès", a affirmé mardi soir le président du gouvernement espagnol, Pedro Sánchez, après avoir signé l'accord avec le président bolivien Evo Morales.
Le document, diffusé par le ministre des Affaires étrangères bolivien, indique que la participation d''entreprises privées et publiques espagnoles pourra être développée dans le cadre de ce projet, que le gouvernement bolivien considère comme stratégique pour l'intégration régionale.
"L'importance qu'accorde le gouvernement espagnol et le pays à ce projet est totale, nous faisons partie des rares pays de l'Union européenne -- il paraît que nous sommes le cinquième -- qui sommes, avec l'Allemagne et la Suisse, en train de conduire ce projet de plusieurs millions", a déclaré Pedro Sanchez, actuellement en tournée dans la région.
La Paz est en négociations avec des entreprises privées suisses et allemandes concernant ce chantier gigantesque qui doit profiter également, selon la Bolivie, au transport de marchandises entre le Paraguay et l'Uruguay.
La Bolivie est particulièrement intéressée par la construction de cette voie ferrée de quelque 3.500 kilomètres unissant les ports de Santos, au Brésil, et de Ilo, au sud du Pérou, en traversant son territoire, d'est en ouest.
Selon Lima, le coût serait de près de 15 milliards de dollars, un montant très inférieur à un projet similaire présenté par la Chine et dont le budget s'élevait à 60 milliards de dollars. Ce projet excluait la Bolivie, passant uniquement par le Pérou et le Brésil.
La route exacte empruntée par la ligne ferroviaire est actuellement à l'étude, tout comme l'obtention de la totalité des financements.
"Nous sommes extraordinairement satisfaits de pouvoir apposer notre signature sur un projet, qui sans aucun doute, va beaucoup apporter à cette société, ce sont des opportunités, de l'emploi et du progrès", a affirmé mardi soir le président du gouvernement espagnol, Pedro Sánchez, après avoir signé l'accord avec le président bolivien Evo Morales.
Le document, diffusé par le ministre des Affaires étrangères bolivien, indique que la participation d''entreprises privées et publiques espagnoles pourra être développée dans le cadre de ce projet, que le gouvernement bolivien considère comme stratégique pour l'intégration régionale.
"L'importance qu'accorde le gouvernement espagnol et le pays à ce projet est totale, nous faisons partie des rares pays de l'Union européenne -- il paraît que nous sommes le cinquième -- qui sommes, avec l'Allemagne et la Suisse, en train de conduire ce projet de plusieurs millions", a déclaré Pedro Sanchez, actuellement en tournée dans la région.
La Paz est en négociations avec des entreprises privées suisses et allemandes concernant ce chantier gigantesque qui doit profiter également, selon la Bolivie, au transport de marchandises entre le Paraguay et l'Uruguay.
La Bolivie est particulièrement intéressée par la construction de cette voie ferrée de quelque 3.500 kilomètres unissant les ports de Santos, au Brésil, et de Ilo, au sud du Pérou, en traversant son territoire, d'est en ouest.
Selon Lima, le coût serait de près de 15 milliards de dollars, un montant très inférieur à un projet similaire présenté par la Chine et dont le budget s'élevait à 60 milliards de dollars. Ce projet excluait la Bolivie, passant uniquement par le Pérou et le Brésil.
La route exacte empruntée par la ligne ferroviaire est actuellement à l'étude, tout comme l'obtention de la totalité des financements.