PAPEETE, le 29 août 2014. Les 16 lauréats de la promotion 2014 de l’ECT ont reçu, ce vendredi, lors d’une cérémonie organisée à la présidence de Polynésie en fin de matinée, les diplômes qui valident leurs trois années d’études supérieures. La grande majorité de ces jeunes diplômés va intégrer directement la vie professionnelle.
Une cérémonie de «graduation», comme à la sortie des grandes universités américaines, avec toge noire, coiffe et la chevalière qui va avec. L’ECT tient à une certaine solennité pour ce moment de remise des diplômes à ses jeunes étudiants. Cette année, ils sont 16 à avoir validé leur parcours de trois ans d’études, une réussite quasi à 100% car un élève n’a pas poursuivi sa scolarité jusqu’à son terme.
Mais, au-delà de ce taux exceptionnel, l’ECT qui en est à sa 2e promotion uniquement, note avec satisfaction que ces jeunes diplômés ont une intégration particulièrement aisée dans le monde du travail polynésien, pourtant réputé ardue. Ainsi 65% d’entre eux ont déjà accepté une proposition de travail, dont l’une à l’international en Australie où elle a effectué un stage. 15 à 20% ont décidé de poursuivre leur scolarité post-bac pour atteindre le niveau Master ; le reste hésitant encore entre ces deux opportunités.
Pour ces jeunes diplômés, c’est une nouvelle vie qui démarre. «Aujourd’hui tous nos efforts portent leurs fruits» soulignait Chloé Talarmeil, 21 ans, major de la promotion 2014. Dès ce début du mois de septembre, l’ECT intègre sa nouvelle sélection d’élèves : ils sont une vingtaine à avoir été triés sur le volet. Au bout du chemin, et après six semestres, ces étudiants renoueront sans doute avec la fierté de ceux qui les ont précédés devant leurs enseignants, leurs parents et les personnalités mobilisés pour cette cérémonie de graduation.
Après trois ans de studieux efforts à l’ECT, la cérémonie de remise de diplômes est aussi un moment de libération du stress. Et ça valait bien un jeté de coiffe !
Une cérémonie de «graduation», comme à la sortie des grandes universités américaines, avec toge noire, coiffe et la chevalière qui va avec. L’ECT tient à une certaine solennité pour ce moment de remise des diplômes à ses jeunes étudiants. Cette année, ils sont 16 à avoir validé leur parcours de trois ans d’études, une réussite quasi à 100% car un élève n’a pas poursuivi sa scolarité jusqu’à son terme.
Mais, au-delà de ce taux exceptionnel, l’ECT qui en est à sa 2e promotion uniquement, note avec satisfaction que ces jeunes diplômés ont une intégration particulièrement aisée dans le monde du travail polynésien, pourtant réputé ardue. Ainsi 65% d’entre eux ont déjà accepté une proposition de travail, dont l’une à l’international en Australie où elle a effectué un stage. 15 à 20% ont décidé de poursuivre leur scolarité post-bac pour atteindre le niveau Master ; le reste hésitant encore entre ces deux opportunités.
Pour ces jeunes diplômés, c’est une nouvelle vie qui démarre. «Aujourd’hui tous nos efforts portent leurs fruits» soulignait Chloé Talarmeil, 21 ans, major de la promotion 2014. Dès ce début du mois de septembre, l’ECT intègre sa nouvelle sélection d’élèves : ils sont une vingtaine à avoir été triés sur le volet. Au bout du chemin, et après six semestres, ces étudiants renoueront sans doute avec la fierté de ceux qui les ont précédés devant leurs enseignants, leurs parents et les personnalités mobilisés pour cette cérémonie de graduation.
Après trois ans de studieux efforts à l’ECT, la cérémonie de remise de diplômes est aussi un moment de libération du stress. Et ça valait bien un jeté de coiffe !
