Tahiti, le 26 mars 2025 - Ce mercredi, l'École de commerce de Tahiti a donné rendez-vous à tous ses futurs étudiants pour une journée portes ouvertes ambiance “Fenua Business Tour”. Un parcours immersif dans l'univers de l'ECT et ses codes : le programme, les compétences requises, les savoir-faire en classe et sur le terrain ou encore les stages en entreprise, qu'ils soient sur le territoire ou à l'étranger.
Ouverte depuis 2010, l'École de commerce de Tahiti (ECT) déniche et forme les entrepreneurs polynésiens de demain. Une fierté construite sur une formation résolument professionnalisante et des apprentissages uniques, très recherchés par les entreprises. Et pour cause, douze mois de stage en entreprise durant les trois années de cursus sont nécessaires pour valider un diplôme. Des stages bien souvent menés à l'international : “Nous ouvrons beaucoup les étudiants vers l'extérieur, la géopolitique, le commerce international”, a expliqué Nathalie Martin, responsable de l'ECT, au micro de nos confrères de Radio 1. “Il s'agit vraiment d'une école pratico-pratique. Ils ne font pas que des cours, ils sont acteurs de leur apprentissage. Ils partent en fin de cursus avec un vrai bagage. À l'issue des trois ans au sein de notre établissement, nous avons un taux d'insertion qui est tout de même de 60%, et les autres 40% poursuivent leurs études en master. Des masters qui peuvent être à Hawaii, au Canada, etc.”
Et l'ECT ne cache pas sa recette secrète pour obtenir de telles statistiques : “Ce qui rend l'ECT si spéciale, ce sont nos formateurs. Ce sont des gens de terrain, des entrepreneurs qui ont le plaisir de transmettre. Nous sommes à la fois dans l'académique et dans le concret.” Une appréciation partagée par les étudiants eux-mêmes : “Avoir des formateurs expérimentés apporte une réelle valeur ajoutée car ils partagent des connaissances concrètes et applicables sur le terrain”, confie Unutea Salmon, étudiante en 3e année à l'ECT. De plus, l'école assume sa volonté de former de petites promotions, de seulement 15 à 20 élèves, afin d'assurer une certaine qualité d'apprentissage ainsi que des accompagnements individuels. “Ici, on les suit vraiment”, souligne Nathalie Martin. “Et contrairement à ce que l'on pourrait croire, l'ECT, c'est très humain. Ce n'est pas parce que l'on fait du commerce, ou du business, qu'il n'y a pas l'humain. Au contraire, l'humain doit être au centre.”
L'admission à l'ECT s'effectue sur concours et concerne uniquement les titulaires du baccalauréat ou d'un diplôme supérieur (bac+2 ou plus). Deux types d'épreuves attendent les candidats : les épreuves écrites (synthèse de documents, QCM d'anglais, QCM de raisonnement logique) et les épreuves orales (présentation de document, entretien avec le jury, échange en anglais). “Comme tous les concours, cela fait un peu peur, mais en fait, il s'agit surtout de voir le niveau pour ensuite pouvoir adapter les prochains cours.”
Ouverte depuis 2010, l'École de commerce de Tahiti (ECT) déniche et forme les entrepreneurs polynésiens de demain. Une fierté construite sur une formation résolument professionnalisante et des apprentissages uniques, très recherchés par les entreprises. Et pour cause, douze mois de stage en entreprise durant les trois années de cursus sont nécessaires pour valider un diplôme. Des stages bien souvent menés à l'international : “Nous ouvrons beaucoup les étudiants vers l'extérieur, la géopolitique, le commerce international”, a expliqué Nathalie Martin, responsable de l'ECT, au micro de nos confrères de Radio 1. “Il s'agit vraiment d'une école pratico-pratique. Ils ne font pas que des cours, ils sont acteurs de leur apprentissage. Ils partent en fin de cursus avec un vrai bagage. À l'issue des trois ans au sein de notre établissement, nous avons un taux d'insertion qui est tout de même de 60%, et les autres 40% poursuivent leurs études en master. Des masters qui peuvent être à Hawaii, au Canada, etc.”
Et l'ECT ne cache pas sa recette secrète pour obtenir de telles statistiques : “Ce qui rend l'ECT si spéciale, ce sont nos formateurs. Ce sont des gens de terrain, des entrepreneurs qui ont le plaisir de transmettre. Nous sommes à la fois dans l'académique et dans le concret.” Une appréciation partagée par les étudiants eux-mêmes : “Avoir des formateurs expérimentés apporte une réelle valeur ajoutée car ils partagent des connaissances concrètes et applicables sur le terrain”, confie Unutea Salmon, étudiante en 3e année à l'ECT. De plus, l'école assume sa volonté de former de petites promotions, de seulement 15 à 20 élèves, afin d'assurer une certaine qualité d'apprentissage ainsi que des accompagnements individuels. “Ici, on les suit vraiment”, souligne Nathalie Martin. “Et contrairement à ce que l'on pourrait croire, l'ECT, c'est très humain. Ce n'est pas parce que l'on fait du commerce, ou du business, qu'il n'y a pas l'humain. Au contraire, l'humain doit être au centre.”
L'admission à l'ECT s'effectue sur concours et concerne uniquement les titulaires du baccalauréat ou d'un diplôme supérieur (bac+2 ou plus). Deux types d'épreuves attendent les candidats : les épreuves écrites (synthèse de documents, QCM d'anglais, QCM de raisonnement logique) et les épreuves orales (présentation de document, entretien avec le jury, échange en anglais). “Comme tous les concours, cela fait un peu peur, mais en fait, il s'agit surtout de voir le niveau pour ensuite pouvoir adapter les prochains cours.”