PARIS, 14 octobre 2014 (AFP) - L'Assemblée nationale a largement adopté mardi le projet de loi sur la transition énergétique, qui prévoit de réduire à 50% la part du nucléaire en 2025 comme promis par François Hollande.
Le texte de la ministre de l'Ecologie, Ségolène Royal, qu'elle a présenté comme "un moment fort de ce quinquennat", a été voté en première lecture par 314 voix (socialistes, radicaux de gauche, écologistes) contre 219 (UMP et Front de gauche), et 32 abstentions (UDI).
Le Premier ministre, Manuel Valls, resté inhabituellement dans l'hémicycle pour ce scrutin, a salué ce projet de loi qui "fait honneur à notre pays" et "servira de référence partout en Europe et dans le monde".
Se félicitant pour sa part de ce "grand moment parlementaire", Mme Royal a jugé que son texte montrait qu'"on peut réconcilier croissance, écologie et social".
La part du nucléaire dans la production d'électricité devra être réduite de 75% à 50% à l'horizon 2025, et la consommation énergétique diminuer de moitié en 2050 par rapport à 2012. Le projet de loi de "transition énergétique pour la croissance verte", qui doit être examiné maintenant par le Sénat, vise notamment à réduire la facture énergétique de la France et des Français.
reb/mat/ed
Le texte de la ministre de l'Ecologie, Ségolène Royal, qu'elle a présenté comme "un moment fort de ce quinquennat", a été voté en première lecture par 314 voix (socialistes, radicaux de gauche, écologistes) contre 219 (UMP et Front de gauche), et 32 abstentions (UDI).
Le Premier ministre, Manuel Valls, resté inhabituellement dans l'hémicycle pour ce scrutin, a salué ce projet de loi qui "fait honneur à notre pays" et "servira de référence partout en Europe et dans le monde".
Se félicitant pour sa part de ce "grand moment parlementaire", Mme Royal a jugé que son texte montrait qu'"on peut réconcilier croissance, écologie et social".
La part du nucléaire dans la production d'électricité devra être réduite de 75% à 50% à l'horizon 2025, et la consommation énergétique diminuer de moitié en 2050 par rapport à 2012. Le projet de loi de "transition énergétique pour la croissance verte", qui doit être examiné maintenant par le Sénat, vise notamment à réduire la facture énergétique de la France et des Français.
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