Paris, France | AFP | jeudi 01/10/2020 - L'Agence France-Presse a annoncé jeudi le lancement d'un nouveau programme de fact-checking avec TikTok pour lutter contre la désinformation sur la très populaire application de vidéos.
L'accord prévoit que des équipes de l'AFP vérifient les contenus potentiellement faux ou trompeurs de vidéos postées sur la plateforme dans des pays comme les Philippines, l'Indonésie, le Pakistan, l'Australie et la Nouvelle-Zélande.
Ce travail de vérification permettra à TikTok de lutter contre la désinformation en retirant des contenus problématiques et en en informant ses utilisateurs.
"L'AFP est ravie de mettre son expertise internationale en matière de fact-checking au service de ce projet passionnant avec TikTok", a déclaré le directeur de l'information de l'AFP, Phil Chetwynd.
"Atteindre les nouvelles audiences sur les réseaux sociaux, au travers d'un journalisme basé sur les faits, est une priorité éditoriale majeure de l'AFP".
"Et cet accord va également permettre aux journalistes de l'AFP de mieux couvrir et traquer les tendances en matière de désinformation, à la fois sur nos fils ou sur notre site spécialisé dans le fact-checking, factuel.afp.com", a poursuivi M. Chetwynd.
L'AFP conservera une indépendance éditoriale totale dans le choix des contenus issus de TikTok qui seront vérifiés.
"Chez TikTok, nous travaillons activement à la création d'un environnement sûr et favorable pour nos utilisateurs", a déclaré de son côté Arjun Narayan, directeur de la Confiance et de la Sécurité pour l'Asie-Pacifique au sein de TikTok. "Nous continuerons de tenir les contenus et comptes trompeurs à l'écart de notre plateforme au travers de notre programme de fact-checking."
Depuis sa création en 2017, le service de fact-checking de l'AFP s'est développé pour former le plus important réseau au monde de journalistes dédiés à cette mission. L'AFP compte désormais plus de 90 journalistes dans 38 bureaux enquêtant sur les contenus circulant en ligne dans 80 pays et produisant en 16 langues, parmi lesquelles le français, l'anglais, l'arabe, le birman ou le tchèque.
L’AFP participe déjà au "Third party fact-checking", un programme de vérification par des médias développé par Facebook, qui rémunère une soixantaine de médias à travers le monde, généralistes ou spécialisés, pour l'utilisation de leurs "fact-checks" sur sa plateforme et sur Instagram.
L'accord prévoit que des équipes de l'AFP vérifient les contenus potentiellement faux ou trompeurs de vidéos postées sur la plateforme dans des pays comme les Philippines, l'Indonésie, le Pakistan, l'Australie et la Nouvelle-Zélande.
Ce travail de vérification permettra à TikTok de lutter contre la désinformation en retirant des contenus problématiques et en en informant ses utilisateurs.
"L'AFP est ravie de mettre son expertise internationale en matière de fact-checking au service de ce projet passionnant avec TikTok", a déclaré le directeur de l'information de l'AFP, Phil Chetwynd.
"Atteindre les nouvelles audiences sur les réseaux sociaux, au travers d'un journalisme basé sur les faits, est une priorité éditoriale majeure de l'AFP".
"Et cet accord va également permettre aux journalistes de l'AFP de mieux couvrir et traquer les tendances en matière de désinformation, à la fois sur nos fils ou sur notre site spécialisé dans le fact-checking, factuel.afp.com", a poursuivi M. Chetwynd.
L'AFP conservera une indépendance éditoriale totale dans le choix des contenus issus de TikTok qui seront vérifiés.
"Chez TikTok, nous travaillons activement à la création d'un environnement sûr et favorable pour nos utilisateurs", a déclaré de son côté Arjun Narayan, directeur de la Confiance et de la Sécurité pour l'Asie-Pacifique au sein de TikTok. "Nous continuerons de tenir les contenus et comptes trompeurs à l'écart de notre plateforme au travers de notre programme de fact-checking."
Depuis sa création en 2017, le service de fact-checking de l'AFP s'est développé pour former le plus important réseau au monde de journalistes dédiés à cette mission. L'AFP compte désormais plus de 90 journalistes dans 38 bureaux enquêtant sur les contenus circulant en ligne dans 80 pays et produisant en 16 langues, parmi lesquelles le français, l'anglais, l'arabe, le birman ou le tchèque.
L’AFP participe déjà au "Third party fact-checking", un programme de vérification par des médias développé par Facebook, qui rémunère une soixantaine de médias à travers le monde, généralistes ou spécialisés, pour l'utilisation de leurs "fact-checks" sur sa plateforme et sur Instagram.