Ce mardi matin, dans le cadre des "Clean 'Up Days", les élèves de l'école Tö'ata ont enfilé les gants pour ramasser les ordures obrdant la rivière de la Tipaeru'i.
Ce matin, les élèves des classes de CP de l’école publique Tö’ata, ont pu découvrir un lieu insoupçonné où l’homme et la nature se côtoient avec respect : la vallée de Tipaeru’i. C’est là également que Ludovic Bardoux et sa fameuse « brigade verte » avaient rencontrés les enfants pour les sensibiliser sur l’importance de protéger dame nature.
L’opération Clean Up Day fait partie de ces actions de sensibilisation qui mettent en exergue la problématique des déchets en mobilisant des acteurs d’horizons divers (bénévoles, scolaires, associations, services techniques de la collectivité et entreprises de la vallée).
Le concept réfléchi par le Mouvement Citoyen pour l’Environnement, consiste à parler de prévention, aux enfants, devant un amoncellement de déchets collectés par eux-mêmes. L’effet est garanti : la sensibilisation passe par l’image et la sensation. Sauf que là, il n’y avait pas d’écran cathodique, mais la réalité du terrain. Les enfants de l’école de Tö’ata, accompagnés de leurs enseignants, avaient mis la main « aux sacs poubelles » pour montrer leur volonté de contribuer à rendre notre « monde polynésien » meilleur et utile.
Ramassage des ordures au fond de la vallée de Tipaeru’i, suivi d’une campagne de plantation au sein de l’association Tipaerui Valley avec la création d’un jardin partagé et la plantation de nombreux arbres en partenariat avec le SDR. Un programme bien chargé. Durant la même matinée, la mairie de Pape’ete avait envoyé un « case » et un camion pour l’enlèvement de carcasses de véhicules abandonnés peu après le pont situé tout au fond de la vallée.
Le petit « village » de Tipaerui Valley est un véritable jardin d’Eden. Ici, bananiers, agrumes, manguiers et « pommes étoiles » entourent des petites maisonnettes construites sur des buttes de terres. Les lieux sont entretenus par les membres de l’association portant le même nom, et les amoureux de la nature qui viennent ici pour échapper aux tumultes citadins.
Point de bruit, hormis le son de la rivière qui s’écoule sans fin, tout au long de l’année. L’un des membres nous livrait simplement : « Vivre ici, c’est se couper du monde, du « bruit ». Il y a tout : nourriture en abondance et une paix incroyable. Au niveau de l’association, nous faisons également participer chaque citoyen qui nous visite, en leur faisant planter un pied de citron ou autre. Ceci représente une forme de continuité. Un jour, lorsqu’ils reviendront, ils pourront ainsi manger les fruits des arbres qu’ils ont, eux-mêmes, plantés quelques années auparavant. »
Ludovic Bardoux, l’animateur de ces journées avait tenu à donner une dimension sociale à ces diverses actions « En effet, puisqu’au-delà du symbole que représente l’acte de planter un arbre fruitier, il s’agit surtout de permettre aux gens de manger ce qu’ils ont planté. Et cela bénéficiera à beaucoup de gens. »
La prochaine action sera la projection « à la belle étoile » du dessin animé Mulan, suivi du film « Planète Océan » réalisé par Yann Arthus Bertrand, une exclusivité à Tahiti. Cela se déroulera ce samedi 8 juin, dans les jardins de la mairie de Tahiti, dans le cadre de la remise du grand prix Natura Fenua à 5 associations. La population est invitée à se rendre sur les lieux à partir de 17h30. N’oubliez pas les pe’ue.
TP
L’opération Clean Up Day fait partie de ces actions de sensibilisation qui mettent en exergue la problématique des déchets en mobilisant des acteurs d’horizons divers (bénévoles, scolaires, associations, services techniques de la collectivité et entreprises de la vallée).
Le concept réfléchi par le Mouvement Citoyen pour l’Environnement, consiste à parler de prévention, aux enfants, devant un amoncellement de déchets collectés par eux-mêmes. L’effet est garanti : la sensibilisation passe par l’image et la sensation. Sauf que là, il n’y avait pas d’écran cathodique, mais la réalité du terrain. Les enfants de l’école de Tö’ata, accompagnés de leurs enseignants, avaient mis la main « aux sacs poubelles » pour montrer leur volonté de contribuer à rendre notre « monde polynésien » meilleur et utile.
Ramassage des ordures au fond de la vallée de Tipaeru’i, suivi d’une campagne de plantation au sein de l’association Tipaerui Valley avec la création d’un jardin partagé et la plantation de nombreux arbres en partenariat avec le SDR. Un programme bien chargé. Durant la même matinée, la mairie de Pape’ete avait envoyé un « case » et un camion pour l’enlèvement de carcasses de véhicules abandonnés peu après le pont situé tout au fond de la vallée.
Le petit « village » de Tipaerui Valley est un véritable jardin d’Eden. Ici, bananiers, agrumes, manguiers et « pommes étoiles » entourent des petites maisonnettes construites sur des buttes de terres. Les lieux sont entretenus par les membres de l’association portant le même nom, et les amoureux de la nature qui viennent ici pour échapper aux tumultes citadins.
Point de bruit, hormis le son de la rivière qui s’écoule sans fin, tout au long de l’année. L’un des membres nous livrait simplement : « Vivre ici, c’est se couper du monde, du « bruit ». Il y a tout : nourriture en abondance et une paix incroyable. Au niveau de l’association, nous faisons également participer chaque citoyen qui nous visite, en leur faisant planter un pied de citron ou autre. Ceci représente une forme de continuité. Un jour, lorsqu’ils reviendront, ils pourront ainsi manger les fruits des arbres qu’ils ont, eux-mêmes, plantés quelques années auparavant. »
Ludovic Bardoux, l’animateur de ces journées avait tenu à donner une dimension sociale à ces diverses actions « En effet, puisqu’au-delà du symbole que représente l’acte de planter un arbre fruitier, il s’agit surtout de permettre aux gens de manger ce qu’ils ont planté. Et cela bénéficiera à beaucoup de gens. »
La prochaine action sera la projection « à la belle étoile » du dessin animé Mulan, suivi du film « Planète Océan » réalisé par Yann Arthus Bertrand, une exclusivité à Tahiti. Cela se déroulera ce samedi 8 juin, dans les jardins de la mairie de Tahiti, dans le cadre de la remise du grand prix Natura Fenua à 5 associations. La population est invitée à se rendre sur les lieux à partir de 17h30. N’oubliez pas les pe’ue.
TP
Teie o Ludovic Bardoux täne o të fa'ata'a nei i te mau fa'anahora'a i te mau tamari'i, i te pae 'äivi a'e ra nö Tipaeru'i.
Te mau mahana fa’ahanahanara’a i te heipuni : Tipaeru’i, te hö’ë vähi fa’ahiahia mau
I teie po’ipo’i, piri atu i te hänere tamari’i nö te fare ha’api’ira’a tuatahi nö Tö’ata, o tei haere e mata’ita’i i te peho nö Tipaeru’i a’e ra. Teie te tahi vähi ‘una’una mau o tei ‘ore i mana’o hia. I’ö nei, mea mäniania ‘ore, tupu noa i te mau mä’a huru rau : te ‘änani, te täporo, te vï, te ‘i’ïtä e te vai atu ra. Teie te vähi i mä’iti hia e Ludovic Bardoux täne, nö te färerei i taua mau tamari’i ra. Te fä : fa’a’ite iä rätou i te mau fifi e ti’a ‘ia arai nö te päruru i tä tätou nätura.
‘Ia heheu te mata o te tamari’i, e puta pü ato’a i tö na ‘a’au nö te mea ‘ö na te metua nö ‘ananähi. Teie te fërurira’a a te püpû ta’ata ra pi’i hia Mouvement Citoyen pour l’Environnement. Ma te fa’ahaere mai i teie mau tamari’i i uta roa, i te pae ‘aïvi a’e ra nö Tipaeru’i, ua riro i te reira ‘ei fa’ahiro’ara’a iä rätou i te faufa’a o te nätura.
E räve’a ato’a teie nö te höro’a i te tahi mau pähonora’a i te mau uira’a rau e vai nei i roto i te fërurira’a o te mau tamari’i. Nä mua roa, ‘ua ‘ohi rätou i te mau pehu ma tehiti o te tahora pape nö Tipaeru’i, mai i reira, ta’ahi atu ra rätou i uta fa’ahou, i te pühapara’a o te mau mero nö te tä’atira’a Tipaeru’i Valley. ‘Ua ‘ämui atoa mai te ‘oire nö Pape’ete ma te tono atu i tetahi pere’o’o fa’a’utara’a pehu ‘auri, te mau pere’o’o i fa’aru’e hia, o te vai ‘öta’a noa i te hiti o te ‘äro’a.
I’ö nei, ‘aita e faufa’a e pou roa mai i te fare toa nö te ho’o te tahi mä’a, te pu’e noa nei te mau ma’a hotu ‘e ma’a tupu mai i te mai’a änei, te vï huru rau, te mäniota, te taro. Hö’ë ä nö te ‘ïna’i, te ‘ite hia ra te mämoe , te pua’a ‘e te moa. ‘O te reira te huru orara’a o tä teie mau mero e hïna’aro e ha’aparare, e fa’a’ite. Te fa’a’ite mai ra te tahi : « ‘Ia ora ana’e ‘oe i’ö nei, ‘aita hö’ë a’e fifi. ‘Aita e mäniania, te vai noa ra i te hau faïto ‘ore. E fa’aö atoa nei mätou i te mau feiä e tere öri haere nei nä ‘inei, ma te vaiïho iä rätou e tanu i te tahi tumu rä’au, ma’a hotu änei a ore ra e mä’a tupu. E riro i te reira huru mai te hö’ë räve’a tämau i te ‘ohipa, nö ‘ananähi. ‘Ia ho’i mai rätou i te tahi ¨tau ‘ë, ‘ua tupu atu ra te tumu mä’a o tä rätou i tanu.Te toe noa ïa, ‘ia ‘amu. »
Te fa’anahora’a höpe’a roa, e tupu i te tahi ha’apürorora’a i räpae, i teie mahana mä’a e haere hia atu ana. To’o piti höho’a e tu’u hia : o Mulan, höho’a nä te mau tamari’i, e ‘äpe’e hia mai e « Planète Ocean ». ‘Ua täviri hia i teie höho’a e te ta’ata tu’iro’o ra o Yann Arthus Bertrand täne. E tupu i te reira i te ‘äua nö te fare ‘oire nö Pape’ete, i te hora 15 miniti toe e hora ono ai (17h45). ‘Eiäha e mo’e hia i tä ‘outou mau pe’ue.
TP
I teie po’ipo’i, piri atu i te hänere tamari’i nö te fare ha’api’ira’a tuatahi nö Tö’ata, o tei haere e mata’ita’i i te peho nö Tipaeru’i a’e ra. Teie te tahi vähi ‘una’una mau o tei ‘ore i mana’o hia. I’ö nei, mea mäniania ‘ore, tupu noa i te mau mä’a huru rau : te ‘änani, te täporo, te vï, te ‘i’ïtä e te vai atu ra. Teie te vähi i mä’iti hia e Ludovic Bardoux täne, nö te färerei i taua mau tamari’i ra. Te fä : fa’a’ite iä rätou i te mau fifi e ti’a ‘ia arai nö te päruru i tä tätou nätura.
‘Ia heheu te mata o te tamari’i, e puta pü ato’a i tö na ‘a’au nö te mea ‘ö na te metua nö ‘ananähi. Teie te fërurira’a a te püpû ta’ata ra pi’i hia Mouvement Citoyen pour l’Environnement. Ma te fa’ahaere mai i teie mau tamari’i i uta roa, i te pae ‘aïvi a’e ra nö Tipaeru’i, ua riro i te reira ‘ei fa’ahiro’ara’a iä rätou i te faufa’a o te nätura.
E räve’a ato’a teie nö te höro’a i te tahi mau pähonora’a i te mau uira’a rau e vai nei i roto i te fërurira’a o te mau tamari’i. Nä mua roa, ‘ua ‘ohi rätou i te mau pehu ma tehiti o te tahora pape nö Tipaeru’i, mai i reira, ta’ahi atu ra rätou i uta fa’ahou, i te pühapara’a o te mau mero nö te tä’atira’a Tipaeru’i Valley. ‘Ua ‘ämui atoa mai te ‘oire nö Pape’ete ma te tono atu i tetahi pere’o’o fa’a’utara’a pehu ‘auri, te mau pere’o’o i fa’aru’e hia, o te vai ‘öta’a noa i te hiti o te ‘äro’a.
I’ö nei, ‘aita e faufa’a e pou roa mai i te fare toa nö te ho’o te tahi mä’a, te pu’e noa nei te mau ma’a hotu ‘e ma’a tupu mai i te mai’a änei, te vï huru rau, te mäniota, te taro. Hö’ë ä nö te ‘ïna’i, te ‘ite hia ra te mämoe , te pua’a ‘e te moa. ‘O te reira te huru orara’a o tä teie mau mero e hïna’aro e ha’aparare, e fa’a’ite. Te fa’a’ite mai ra te tahi : « ‘Ia ora ana’e ‘oe i’ö nei, ‘aita hö’ë a’e fifi. ‘Aita e mäniania, te vai noa ra i te hau faïto ‘ore. E fa’aö atoa nei mätou i te mau feiä e tere öri haere nei nä ‘inei, ma te vaiïho iä rätou e tanu i te tahi tumu rä’au, ma’a hotu änei a ore ra e mä’a tupu. E riro i te reira huru mai te hö’ë räve’a tämau i te ‘ohipa, nö ‘ananähi. ‘Ia ho’i mai rätou i te tahi ¨tau ‘ë, ‘ua tupu atu ra te tumu mä’a o tä rätou i tanu.Te toe noa ïa, ‘ia ‘amu. »
Te fa’anahora’a höpe’a roa, e tupu i te tahi ha’apürorora’a i räpae, i teie mahana mä’a e haere hia atu ana. To’o piti höho’a e tu’u hia : o Mulan, höho’a nä te mau tamari’i, e ‘äpe’e hia mai e « Planète Ocean ». ‘Ua täviri hia i teie höho’a e te ta’ata tu’iro’o ra o Yann Arthus Bertrand täne. E tupu i te reira i te ‘äua nö te fare ‘oire nö Pape’ete, i te hora 15 miniti toe e hora ono ai (17h45). ‘Eiäha e mo’e hia i tä ‘outou mau pe’ue.
TP
