La semaine dernière a été marquée par une forte mobilisation des femmes et des hommes, pour lutter contre toutes formes de violence envers les femmes. A Tahiti comme dans les îles, des actions de toutes formes ont été mises en place par des associations et le Ministère de la Famille en charge de la condition féminine. Porteur de la journée internationale du 25 novembre, ce dernier rend un bilan plus que positif.
C’est dans son discours de clôture, que Madame Chantal Tahiata, Ministre en charge de la condition féminine, fait part du taux de participation important de la journée. Elle a remercié tous les services du Pays, des communes et de l’Etat, ainsi que toutes les associations ayant participé à l’organisation et à la réussite de la journée. En effet, la course, stands d’information et ateliers ont remporté un franc succès auprès des scolaires et du public.
Il existe un véritable échange avec les professionnels, les associations et les bénévoles
Dans la continuité de ces travaux, Madame le Ministre était également présente à Moorea pour célébrer la femme courageuse, la femme d’aujourd’hui et de demain lors de la journée Vahine ito ito, organisée par l’association Vahine Orama.
Parce que c’est un combat quotidien, et non en fonction de la une des quotidiens, une véritable politique de la Femme en concert avec l’ensemble des entités souhaitant œuvrer en ce sens, est de mise. Chaque acteur mérite soutien et reconnaissance. C’est envers eux que le Ministre adresse directement son message, ses projets pour 2012 et son regard critique sur les derniers faits d’actualité qui ont touché toute la Polynésie.
Le Pays a conscience de la réalité, il veut mettre en œuvre les moyens et les dispositions en conséquence
Lors de la journée du 25 novembre, le partenariat Etat-Pays-communes-associations a fait ses preuves. La Délégation à la famille et à la condition féminine (DFCF), la Direction des affaires sociales (DAS), le Centre d’information des droits des femmes et des familles de Polynésie (CIDFF), la Gendarmerie, la Direction de la sécurité publique (DSP), le Centre de consultations spécialisées de protection maternelle et infantile (CCSPMI), la Caisse de prévoyance sociale, l’Association polyvalente d’actions judiciaires (APAJ), le foyer d’hébergement Pu o te hau, les associations Utuafare Mataeinaa, Rauhine, Vahine Orama, Vivre sans drogue, SOS suicide, Tahiti action globe étaient présents pour informer et apporter leurs compétences pour lutter contre le fléau.
Le guide des droits des familles et des femmes, ainsi qu’une carte comportant les numéros d’appels d’urgence et un référentiel sur les pratiques et services fournis pour la lutte contre les violences, mis en place par le Pays et le CIDFF, ont été remis ce jour là, puis le 26 novembre à Moorea.
C’est un premier travail qui n’a pas la prétention de faire changer les choses dans l’immédiat, mais qui est véritablement un premier pas que le Pays engage dans sa politique comprenant l’ensemble des acteurs. Et comme Madame le Ministre le rappelle : « c’est tous les jours que nous nous intéressons à ce problème de société. Nous sommes tous concernés. C’est donc ensemble que nous devons œuvrer sur du long terme ».
Faaitoito tatou pouroa !
En effet, les efforts de tous, que ce soit par la parole, la marche ou la course, ne resteront pas vains. Aussi, le Ministre remercie particulièrement l’ensemble des services du Pays et de l’Etat, les communes de Tahiti, toutes les associations ayant participé aux journées de mobilisation, la Gendarmerie, la police municipale, les secouristes, les confessions religieuses pour leur présence chaleureuse, leurs chants et prières, les scolaires, les 650 coureurs de Tahiti, les marcheurs de Moorea, et tout ceux qui étaient présents. Le rendez-vous est donné pour l’année prochaine !
C’est dans son discours de clôture, que Madame Chantal Tahiata, Ministre en charge de la condition féminine, fait part du taux de participation important de la journée. Elle a remercié tous les services du Pays, des communes et de l’Etat, ainsi que toutes les associations ayant participé à l’organisation et à la réussite de la journée. En effet, la course, stands d’information et ateliers ont remporté un franc succès auprès des scolaires et du public.
Il existe un véritable échange avec les professionnels, les associations et les bénévoles
Dans la continuité de ces travaux, Madame le Ministre était également présente à Moorea pour célébrer la femme courageuse, la femme d’aujourd’hui et de demain lors de la journée Vahine ito ito, organisée par l’association Vahine Orama.
Parce que c’est un combat quotidien, et non en fonction de la une des quotidiens, une véritable politique de la Femme en concert avec l’ensemble des entités souhaitant œuvrer en ce sens, est de mise. Chaque acteur mérite soutien et reconnaissance. C’est envers eux que le Ministre adresse directement son message, ses projets pour 2012 et son regard critique sur les derniers faits d’actualité qui ont touché toute la Polynésie.
Le Pays a conscience de la réalité, il veut mettre en œuvre les moyens et les dispositions en conséquence
Lors de la journée du 25 novembre, le partenariat Etat-Pays-communes-associations a fait ses preuves. La Délégation à la famille et à la condition féminine (DFCF), la Direction des affaires sociales (DAS), le Centre d’information des droits des femmes et des familles de Polynésie (CIDFF), la Gendarmerie, la Direction de la sécurité publique (DSP), le Centre de consultations spécialisées de protection maternelle et infantile (CCSPMI), la Caisse de prévoyance sociale, l’Association polyvalente d’actions judiciaires (APAJ), le foyer d’hébergement Pu o te hau, les associations Utuafare Mataeinaa, Rauhine, Vahine Orama, Vivre sans drogue, SOS suicide, Tahiti action globe étaient présents pour informer et apporter leurs compétences pour lutter contre le fléau.
Le guide des droits des familles et des femmes, ainsi qu’une carte comportant les numéros d’appels d’urgence et un référentiel sur les pratiques et services fournis pour la lutte contre les violences, mis en place par le Pays et le CIDFF, ont été remis ce jour là, puis le 26 novembre à Moorea.
C’est un premier travail qui n’a pas la prétention de faire changer les choses dans l’immédiat, mais qui est véritablement un premier pas que le Pays engage dans sa politique comprenant l’ensemble des acteurs. Et comme Madame le Ministre le rappelle : « c’est tous les jours que nous nous intéressons à ce problème de société. Nous sommes tous concernés. C’est donc ensemble que nous devons œuvrer sur du long terme ».
Faaitoito tatou pouroa !
En effet, les efforts de tous, que ce soit par la parole, la marche ou la course, ne resteront pas vains. Aussi, le Ministre remercie particulièrement l’ensemble des services du Pays et de l’Etat, les communes de Tahiti, toutes les associations ayant participé aux journées de mobilisation, la Gendarmerie, la police municipale, les secouristes, les confessions religieuses pour leur présence chaleureuse, leurs chants et prières, les scolaires, les 650 coureurs de Tahiti, les marcheurs de Moorea, et tout ceux qui étaient présents. Le rendez-vous est donné pour l’année prochaine !
