Pas évident de recueillir des informations sur la manifestation de Paintball qui a eu lieu samedi 19 mai. Ce sport est encore relativement confidentiel et boudé par les médias au regret d’un de ses représentants Laurent LEPEAN, président de la Fédération Polynésienne de Paintball.
C’est à ses propres risques et périls que Tahiti Infos a pénétré l’enceinte de tir, avec des « balles » sifflant à environ 300 km/h. La protection du visage et des oreilles se fait par un masque. La protection du corps est fortement recommandée. Les « balles » d’environ 1 cm de diamètre contiennent de la peinture biodégradable et explosent au contact.
Le sport se joue par équipe et les règles sont précises, les joueurs s’affrontent sous le regard des juges qui arrêtent de temps à autre le jeu pour vérifier si quelqu’un a été touché. Le joueur qui de lui-même sait avoir été touché lève le bras et quitte le jeu.
L’impact est douloureux et laisse parfois des traces, des bleus. Ce sport, car il s’agit bien d’un sport est qualifié de « sport extrême » par rapport à cette dangerosité ainsi qu’a l’adrénaline qu’il procure. Cela se passe dans le « bunker » ou en version « hood » dans la nature dans un cadre approprié.
Ses pratiquants sont le plus souvent issus du monde des jeux vidéo. Contrairement aux idées reçues ils ne sont pas fans de guerre ni d’armes. Beaucoup viennent pour le fun et la journée a été des plus conviviales.
Les spectateurs hurlent les positions des adversaires à leur équipe de choix, suite à un changement de règles qui leur permet désormais de le faire. Avant tout se passait dans le « silence » et un photographe ne pouvait pénétrer l’enceinte pour prendre des photos car il aurait révélé de ce fait la position des joueurs.
Laurent répond aux questions de Tahiti Infos :
« Notre fédé existe depuis deux ans. Nous avons été longtemps affiliés à la fédération de tir avec qui nous avons appris beaucoup. Nous avons pu faire « nos dents » surtout sur l’aspect administratif et la suite logique était que nous puissions voler de nos propres ailes. »
« Notre « bunker » vient des Etats Unis. »
« Nous sommes en cours de validation et sommes désormais affiliés au COPF, le comité olympique de Polynésie française. Notre objectif est de faire nos preuves. »
« Nous sommes peu suivis par les médias par contre le journal de la place ne s’est pas gêné de faire ses gros titres sur l’accident qui s’est passé ».
C’est à ses propres risques et périls que Tahiti Infos a pénétré l’enceinte de tir, avec des « balles » sifflant à environ 300 km/h. La protection du visage et des oreilles se fait par un masque. La protection du corps est fortement recommandée. Les « balles » d’environ 1 cm de diamètre contiennent de la peinture biodégradable et explosent au contact.
Le sport se joue par équipe et les règles sont précises, les joueurs s’affrontent sous le regard des juges qui arrêtent de temps à autre le jeu pour vérifier si quelqu’un a été touché. Le joueur qui de lui-même sait avoir été touché lève le bras et quitte le jeu.
L’impact est douloureux et laisse parfois des traces, des bleus. Ce sport, car il s’agit bien d’un sport est qualifié de « sport extrême » par rapport à cette dangerosité ainsi qu’a l’adrénaline qu’il procure. Cela se passe dans le « bunker » ou en version « hood » dans la nature dans un cadre approprié.
Ses pratiquants sont le plus souvent issus du monde des jeux vidéo. Contrairement aux idées reçues ils ne sont pas fans de guerre ni d’armes. Beaucoup viennent pour le fun et la journée a été des plus conviviales.
Les spectateurs hurlent les positions des adversaires à leur équipe de choix, suite à un changement de règles qui leur permet désormais de le faire. Avant tout se passait dans le « silence » et un photographe ne pouvait pénétrer l’enceinte pour prendre des photos car il aurait révélé de ce fait la position des joueurs.
Laurent répond aux questions de Tahiti Infos :
« Notre fédé existe depuis deux ans. Nous avons été longtemps affiliés à la fédération de tir avec qui nous avons appris beaucoup. Nous avons pu faire « nos dents » surtout sur l’aspect administratif et la suite logique était que nous puissions voler de nos propres ailes. »
« Notre « bunker » vient des Etats Unis. »
« Nous sommes en cours de validation et sommes désormais affiliés au COPF, le comité olympique de Polynésie française. Notre objectif est de faire nos preuves. »
« Nous sommes peu suivis par les médias par contre le journal de la place ne s’est pas gêné de faire ses gros titres sur l’accident qui s’est passé ».