Encore un succès pour Henir Burns
Ce week-end, notre champion Henri Burns portait fièrement les couleurs de la Polynésie française à 18.000km de Tahiti, au Paris International Open 2017, dans la Salle Charpy du Stade Charléty.
Un peu stressé car c’était sa première compétition en ceinture mauve, le guerrier de Moorea est resté concentré sur son objectif : la victoire. « Malgré le stress, je me suis dit que peu importe la couleur de la ceinture, je me suis bien préparé » confiait Henri. Il n’aura laissé aucune chance à ses adversaires, que ce soit avec ou sans kimono. Il revient ainsi à Tahiti avec deux médailles d’or - de plus - autour du cou. TM / Sport Tahiti
Un peu stressé car c’était sa première compétition en ceinture mauve, le guerrier de Moorea est resté concentré sur son objectif : la victoire. « Malgré le stress, je me suis dit que peu importe la couleur de la ceinture, je me suis bien préparé » confiait Henri. Il n’aura laissé aucune chance à ses adversaires, que ce soit avec ou sans kimono. Il revient ainsi à Tahiti avec deux médailles d’or - de plus - autour du cou. TM / Sport Tahiti
Deux nouveaux titres à ajouter à son palmarès
Parole à Henri Burns :
Quelques mots sur la compétition ?
« Le plus difficile dans cette compétition aura été l’attente entre les combats, c’était chiant ! (sourire) Après, arrivé en Finale, je suis tombé contre un Suisse vraiment coriace, il a été dur à amener au sol, et une fois au sol, il a été encore plus dur à passer ! Du coup, je suis vraiment content de l’avoir battu. Ce que j’ai aimé, c’était la compétition en no gi (ndlr sans kimono), j’aime vraiment cette discipline ! »
Un dernier mot, un remerciement ?
« Merci Seigneur pour ces deux médailles d’Or. Heureusement que j’avais mes amis sur place avec moi pour me soutenir. Grand merci à tous, et surtout à la meilleure guide de Paris, ma grande cousine Vaïte Burns, ma petite sœur Salomé Sirotet, surtout mon coach Malik Adigard, sans lui j’aurai perdu ! Merci fréro. »
« Enfin merci à toute la Polynésie, toutes les personnes qui me suivent depuis le début, ma famille, mes sponsors sans qui je ne pourrais rien faire, en particulier Air Tahiti Nui. Mauruuru à tous ! »
Quelques mots sur la compétition ?
« Le plus difficile dans cette compétition aura été l’attente entre les combats, c’était chiant ! (sourire) Après, arrivé en Finale, je suis tombé contre un Suisse vraiment coriace, il a été dur à amener au sol, et une fois au sol, il a été encore plus dur à passer ! Du coup, je suis vraiment content de l’avoir battu. Ce que j’ai aimé, c’était la compétition en no gi (ndlr sans kimono), j’aime vraiment cette discipline ! »
Un dernier mot, un remerciement ?
« Merci Seigneur pour ces deux médailles d’Or. Heureusement que j’avais mes amis sur place avec moi pour me soutenir. Grand merci à tous, et surtout à la meilleure guide de Paris, ma grande cousine Vaïte Burns, ma petite sœur Salomé Sirotet, surtout mon coach Malik Adigard, sans lui j’aurai perdu ! Merci fréro. »
« Enfin merci à toute la Polynésie, toutes les personnes qui me suivent depuis le début, ma famille, mes sponsors sans qui je ne pourrais rien faire, en particulier Air Tahiti Nui. Mauruuru à tous ! »