« J’ai été ravie et très honorée de rencontrer monsieur le ministre. Nous avons évoqué la question du sport en Polynésie française. La Polynésie compte 44 000 licenciés, c’est donc un grand territoire sportif, qui a des ambitions à développer en matière de cohésion sociale » a déclaré Rama YADE au sortir de l’entretien.
Etude d’impact et schéma directeur
La rencontre a permis de faire le point sur le travail de la mission d’Etat en Polynésie française sous l’autorité du gouvernement du Pays : « nous avons aussi évoqué la convention qui nous lie. Nous avons parlé de la question des équipements, des Fédérations ; de la question de la cohésion sociale, du sport à l’école autant d’enjeux qui intéressent la Polynésie française et nous intéressent nous aussi. Ce sont des chantiers prioritaires pour mon action » a précisé la secrétaire d’Etat.
Des points de convergences «très importants » ont été trouvés. Rama YADE a souligné qu’elle les considérait d’ores et déjà comme « un socle pour des opérations futures ».
L’Etat n’est pas, a priori, opposé à la candidature de la Polynésie à l’organisation des jeux du Pacifique en 2019. Rama YADE a d’ailleurs déclaré que cette aspiration était « très légitime ». Pour autant, dans l’instant, une étude d’impact va être effectuée : « Sur la base de cette étude l’Etat examinera les possibilités d’une candidature » a-t-elle indiqué.
Jean-Pierre BEAURY a remercié l’Etat pour sa contribution dans le cadre de la mission à l’aide technique. Il a fait part à Rama YADE de certaines avancées qu’il espérait en matière d’investissement en vue des Jeux de 2019. Des outils existent déjà et le ministre des sports polynésien a voulu démontrer à son interlocutrice que certains seront bientôt en place, tel un outil informatique « très innovant » qui exploitera Google Earth. « A partir de ces outils nous mettrons en place un schéma directeur pour la rénovation, l’amélioration et la constructions de structures sportives » a-t-il confié. Le but est de répertorier et utiliser les structures existantes, avec l’aide des clubs bâtisseurs, « pour n’avoir à construire que ce dont nous aurons besoin » a insisté le ministre des sports.
La Va’a , l’âme du sport polynésien
Jean-Pierre BEAURY a rappelé que l’aide de l’Etat était en augmentation pour le sport, mais a regretté qu’au niveau de la jeunesse « chaque année cette aide décline. J’espère que cela ne continuera pas car la jeunesse est le vivier du sport. C’est la jeunesse qui fait le sport. Le Pays quant à lui a augmenté l’enveloppe malgré les mesures de restrictions demandées à chaque ministère ».
Le ministre de la jeunesse et des sports a convié Rama Yade en Polynésie à l’occasion du colloque du sport polynésien « au cours duquel nous évoquerons les structures sportives nécessaires à la candidature de 2019 ». Ce colloque aura lieu au mois de novembre, à partir du 10. Une période qui coïncide avec la course de Hawaiki Nui : « J’aimerais qu’elle puisse découvrir ce qu’est le va’a polynésien. C’est l’âme du sport polynésien et j’aimerais partager ce moment avec elle ».
Etude d’impact et schéma directeur
La rencontre a permis de faire le point sur le travail de la mission d’Etat en Polynésie française sous l’autorité du gouvernement du Pays : « nous avons aussi évoqué la convention qui nous lie. Nous avons parlé de la question des équipements, des Fédérations ; de la question de la cohésion sociale, du sport à l’école autant d’enjeux qui intéressent la Polynésie française et nous intéressent nous aussi. Ce sont des chantiers prioritaires pour mon action » a précisé la secrétaire d’Etat.
Des points de convergences «très importants » ont été trouvés. Rama YADE a souligné qu’elle les considérait d’ores et déjà comme « un socle pour des opérations futures ».
L’Etat n’est pas, a priori, opposé à la candidature de la Polynésie à l’organisation des jeux du Pacifique en 2019. Rama YADE a d’ailleurs déclaré que cette aspiration était « très légitime ». Pour autant, dans l’instant, une étude d’impact va être effectuée : « Sur la base de cette étude l’Etat examinera les possibilités d’une candidature » a-t-elle indiqué.
Jean-Pierre BEAURY a remercié l’Etat pour sa contribution dans le cadre de la mission à l’aide technique. Il a fait part à Rama YADE de certaines avancées qu’il espérait en matière d’investissement en vue des Jeux de 2019. Des outils existent déjà et le ministre des sports polynésien a voulu démontrer à son interlocutrice que certains seront bientôt en place, tel un outil informatique « très innovant » qui exploitera Google Earth. « A partir de ces outils nous mettrons en place un schéma directeur pour la rénovation, l’amélioration et la constructions de structures sportives » a-t-il confié. Le but est de répertorier et utiliser les structures existantes, avec l’aide des clubs bâtisseurs, « pour n’avoir à construire que ce dont nous aurons besoin » a insisté le ministre des sports.
La Va’a , l’âme du sport polynésien
Jean-Pierre BEAURY a rappelé que l’aide de l’Etat était en augmentation pour le sport, mais a regretté qu’au niveau de la jeunesse « chaque année cette aide décline. J’espère que cela ne continuera pas car la jeunesse est le vivier du sport. C’est la jeunesse qui fait le sport. Le Pays quant à lui a augmenté l’enveloppe malgré les mesures de restrictions demandées à chaque ministère ».
Le ministre de la jeunesse et des sports a convié Rama Yade en Polynésie à l’occasion du colloque du sport polynésien « au cours duquel nous évoquerons les structures sportives nécessaires à la candidature de 2019 ». Ce colloque aura lieu au mois de novembre, à partir du 10. Une période qui coïncide avec la course de Hawaiki Nui : « J’aimerais qu’elle puisse découvrir ce qu’est le va’a polynésien. C’est l’âme du sport polynésien et j’aimerais partager ce moment avec elle ».
