PAPEETE, jeudi 20 septembre 2012 (Flash d’Océanie) – Le gouvernement de la Polynésie française a confirmé, jeudi (mercredi heure de Tahiti, GMT-10), que son dossier de candidature était toujours sur les rails en vue d’accueillir les Jeux du Pacifique 2019.
Le dossier a été évoqué, sous forme de point, lors du conseil des ministres du gouvernement de cette collectivité français.
Dans le compte rendu de cette réunion du cabinet, il est précisé que le dossier initial de candidature a été transmis en avril 2012.
Après cela, le Conseil des Jeux du Pacifique, organisme qui régit la tenue et l’organisation de cet événement océanien, a effectué sur place une visite, en juin 2012.
À l’issue de cette visite, le Conseil a émis des recommandations concernant le format de cette candidature et a demandé un « dossier annexe ».
La même démarche a été effectuée auprès de l’autre candidat connu, lui aussi polynésien : le Royaume de Tonga.
« Tonga et Tahiti ont été invitées à leur transmettre un dossier annexe avant le mardi 18 septembre », a précisé devant le Conseil le ministre des sports de Polynésie française, Tauhiti Nena.
« Le ministre a souhaité rappeler l’importance d’une synergie de l’ensemble des acteurs locaux et nationaux impliqués dans ce projet d’envergure (…) Le vote afin de désigner qui de Tonga ou Tahiti accueillera les Jeux du Pacifique Sud 2019 se fera à Wallis le 19 octobre », précise le compte-rendu.
Tonga d’ores et déjà manifesté sa volonté d’accueillir les Jeux 2019.
Le royaume avait auparavant accueilli, une fois, les Mini-jeu du Pacifique, en 1989.
En mai 2012, il évoquait un budget prévisionnel, dans son dossier de candidature, de l’ordre de 70 millions de dollars US, avec une aide de la Chine pour la construction d’un stade supplémentaire.
Les prochains mini-Jeux du Pacifique, ceux de 2013, devraient avoir lieu à Wallis-et-Futuna, avec un appui logistique important venu de la Nouvelle-Calédonie voisine et forte de l’expérience de 2011.
Jeux du Pacifique 2015 : la Papouasie-Nouvelle-Guinée recrute une pointure
Fin août 2012, la Papouasie-Nouvelle-Guinée a recruté un responsable d’envergue afin de superviser l’organisation des Jeux du Pacifique 2015, en la personne de l’Australien Peter Stewart.
Ce dernier, qui a déjà participé à l’organisation d’autres manifestations internationales d’envergue (comme de précédents Jeux Olympiques -Sydney 2000- ou des Jeux du Commonwealth -Melbourne 2006 et Delhi 2010-), a d’ores et déjà promis que les jeux du Pacifique version 2015 et papoue seraient « meilleurs encore » que ceux organisés en 2011 par la Nouvelle-Calédonie.
Lors d’une récente visite en Papouasie-Nouvelle-Guinée, le Conseil des Jeux du Pacifique avait estimé en substance que l’organisation de l’édition 2015 était sur les rails, après avoir exprimé de « sérieuses réserves », trois mois auparavant, quant à certains des aspects financiers.
Mais l’idée de délocaliser les Jeux 2015 dans un pays alternatif n’a jusqu’ici pas été poursuivie, malgré des inquiétudes persistantes concernant le calendrier et le respect des échéances.
Le Fidjien Vidya Lakhan, Président du Conseil des Jeux, s’était auparavant exprimé en termes peu élogieux vis-à-vis des organisateurs de ces Jeux 2015.
Depuis, les organisateurs auraient fourni des assurances.
Selon les projets, la construction du Village des Jeux (d’une capacité de six mille lits), à Port-Moresby, devait commencer courant septembre 2012, pour un coût annoncé de quelque six cent millions de Kina (225 millions d’euros).
Le pays organisateur a évoqué, pour cers Jeux 2015, un budget total d’environ 400 millions d’euros.
pad
Le dossier a été évoqué, sous forme de point, lors du conseil des ministres du gouvernement de cette collectivité français.
Dans le compte rendu de cette réunion du cabinet, il est précisé que le dossier initial de candidature a été transmis en avril 2012.
Après cela, le Conseil des Jeux du Pacifique, organisme qui régit la tenue et l’organisation de cet événement océanien, a effectué sur place une visite, en juin 2012.
À l’issue de cette visite, le Conseil a émis des recommandations concernant le format de cette candidature et a demandé un « dossier annexe ».
La même démarche a été effectuée auprès de l’autre candidat connu, lui aussi polynésien : le Royaume de Tonga.
« Tonga et Tahiti ont été invitées à leur transmettre un dossier annexe avant le mardi 18 septembre », a précisé devant le Conseil le ministre des sports de Polynésie française, Tauhiti Nena.
« Le ministre a souhaité rappeler l’importance d’une synergie de l’ensemble des acteurs locaux et nationaux impliqués dans ce projet d’envergure (…) Le vote afin de désigner qui de Tonga ou Tahiti accueillera les Jeux du Pacifique Sud 2019 se fera à Wallis le 19 octobre », précise le compte-rendu.
Tonga d’ores et déjà manifesté sa volonté d’accueillir les Jeux 2019.
Le royaume avait auparavant accueilli, une fois, les Mini-jeu du Pacifique, en 1989.
En mai 2012, il évoquait un budget prévisionnel, dans son dossier de candidature, de l’ordre de 70 millions de dollars US, avec une aide de la Chine pour la construction d’un stade supplémentaire.
Les prochains mini-Jeux du Pacifique, ceux de 2013, devraient avoir lieu à Wallis-et-Futuna, avec un appui logistique important venu de la Nouvelle-Calédonie voisine et forte de l’expérience de 2011.
Jeux du Pacifique 2015 : la Papouasie-Nouvelle-Guinée recrute une pointure
Fin août 2012, la Papouasie-Nouvelle-Guinée a recruté un responsable d’envergue afin de superviser l’organisation des Jeux du Pacifique 2015, en la personne de l’Australien Peter Stewart.
Ce dernier, qui a déjà participé à l’organisation d’autres manifestations internationales d’envergue (comme de précédents Jeux Olympiques -Sydney 2000- ou des Jeux du Commonwealth -Melbourne 2006 et Delhi 2010-), a d’ores et déjà promis que les jeux du Pacifique version 2015 et papoue seraient « meilleurs encore » que ceux organisés en 2011 par la Nouvelle-Calédonie.
Lors d’une récente visite en Papouasie-Nouvelle-Guinée, le Conseil des Jeux du Pacifique avait estimé en substance que l’organisation de l’édition 2015 était sur les rails, après avoir exprimé de « sérieuses réserves », trois mois auparavant, quant à certains des aspects financiers.
Mais l’idée de délocaliser les Jeux 2015 dans un pays alternatif n’a jusqu’ici pas été poursuivie, malgré des inquiétudes persistantes concernant le calendrier et le respect des échéances.
Le Fidjien Vidya Lakhan, Président du Conseil des Jeux, s’était auparavant exprimé en termes peu élogieux vis-à-vis des organisateurs de ces Jeux 2015.
Depuis, les organisateurs auraient fourni des assurances.
Selon les projets, la construction du Village des Jeux (d’une capacité de six mille lits), à Port-Moresby, devait commencer courant septembre 2012, pour un coût annoncé de quelque six cent millions de Kina (225 millions d’euros).
Le pays organisateur a évoqué, pour cers Jeux 2015, un budget total d’environ 400 millions d’euros.
pad