Tokyo, Japon | AFP | vendredi 01/04/2016 - Un séisme de magnitude 6,0 s'est produit vendredi matin au large de la côte sud-ouest du Japon, selon l'institut d'études géologiques américain USGS, mais il n'y a pas de risque de tsunami, a précisé l'Agence japonaise de météorologie.
La secousse s'est produite à 11H39 locale (02H39 GMT), avec un épicentre situé en mer à quelque 350 km de Tokyo (sur l'île principale de Honshu), à une profondeur sous terre de 10 km, a indiqué l'agence nippone qui a pour sa part évalué la magnitude à 6,1.
Une large partie de l'ouest de l'archipel a été secouée, particulièrement les préfectures de Wakayama, Gifu, Shizuoka et Aichi, mais aucun blessé n'a été rapporté dans l'immédiat.
"Il se peut que le niveau de la mer varie un peu mais il n'y a pas de danger de raz-de-marée", a précisé l'agence.
"Il y a avait eu des séismes importants il y a près de 12 ans dans cette même zone où l'on redoute des secousses en chaîne de grande ampleur", a souligné sur la chaîne publique NHK le professeur Takashi Furumura, sismologue de l'Université de Tokyo.
"Plusieurs tremblements de terre relativement forts s'étaient alors produits et il est possible que l'on revive un tel phénomène. Il faut dès lors être vigilant vis-à-vis des risques de tsunami si les secousses devenaient plus importantes", a-t-il prévenu.
La NHK, qui possède un réseau de caméras se déclenchant immédiatement en cas de séisme, a montré des images de fortes trépidations à Wakayama.
Des trains ont été momentanément arrêtés pour vérification des voies.
Le Japon, situé à la jonction de quatre plaques tectoniques, subit chaque année plus de 20% des séismes les plus forts recensés sur Terre.
Les normes parasismiques, renforcées au fil des années, permettent d'éviter d'importants dégâts même lors de ce type de secousses.
Toutefois, les tsunamis sont redoutés. Tous les Japonais ont en mémoire la tragédie de mars 2011, lorsqu'un tremblement de terre de magnitude 9 au large du nord-est a entraîné un raz-de-marée qui a emporté 18.500 vies et mis en péril la centrale Fukushima Daiichi.
kap/jpa
La secousse s'est produite à 11H39 locale (02H39 GMT), avec un épicentre situé en mer à quelque 350 km de Tokyo (sur l'île principale de Honshu), à une profondeur sous terre de 10 km, a indiqué l'agence nippone qui a pour sa part évalué la magnitude à 6,1.
Une large partie de l'ouest de l'archipel a été secouée, particulièrement les préfectures de Wakayama, Gifu, Shizuoka et Aichi, mais aucun blessé n'a été rapporté dans l'immédiat.
"Il se peut que le niveau de la mer varie un peu mais il n'y a pas de danger de raz-de-marée", a précisé l'agence.
"Il y a avait eu des séismes importants il y a près de 12 ans dans cette même zone où l'on redoute des secousses en chaîne de grande ampleur", a souligné sur la chaîne publique NHK le professeur Takashi Furumura, sismologue de l'Université de Tokyo.
"Plusieurs tremblements de terre relativement forts s'étaient alors produits et il est possible que l'on revive un tel phénomène. Il faut dès lors être vigilant vis-à-vis des risques de tsunami si les secousses devenaient plus importantes", a-t-il prévenu.
La NHK, qui possède un réseau de caméras se déclenchant immédiatement en cas de séisme, a montré des images de fortes trépidations à Wakayama.
Des trains ont été momentanément arrêtés pour vérification des voies.
Le Japon, situé à la jonction de quatre plaques tectoniques, subit chaque année plus de 20% des séismes les plus forts recensés sur Terre.
Les normes parasismiques, renforcées au fil des années, permettent d'éviter d'importants dégâts même lors de ce type de secousses.
Toutefois, les tsunamis sont redoutés. Tous les Japonais ont en mémoire la tragédie de mars 2011, lorsqu'un tremblement de terre de magnitude 9 au large du nord-est a entraîné un raz-de-marée qui a emporté 18.500 vies et mis en péril la centrale Fukushima Daiichi.
kap/jpa