Tokyo, Japon | AFP | mercredi 23/01/2018 - La police japonaise a dû suspendre ses recherches mercredi aux alentours du volcan Kusatsu Shirane après une éruption dans laquelle un soldat a été tué et plusieurs personnes ont été blessées mardi.
Un groupe de 50 policiers et secouristes passaient mercredi matin le mont au peigne fin.
"Mais nous avons arrêté car des secousses volcaniques ont été détectées", a déclaré à l'AFP un responsable de la police. "Nous allons nous entretenir avec les experts afin de déterminer le moment où nous pourrons reprendre nos opérations", a-t-il ajouté.
Aucun disparu n'était signalé après l'éruption de mardi qui a fait dévaler roches et cendres le long des pentes enneigées du volcan en direction d'une station de ski.
Un groupe de 80 personnes qui s'étaient retrouvées bloquées en au sommet ont été secourues mardi. La police et les sauveteurs parcouraient néanmoins la zone au cas où quelqu'un serait toujours égaré.
Un soldat des Forces d'autodéfense a été tué mardi par l'éruption et sept autres ont été blessés ainsi que quatre civils.
Deux des sept soldats ont dû subir des opérations mardi, a indiqué un responsable du ministère de la Défense à l'AFP. "Leur état s'est stabilisé. Ils sont tous encore hospitalisés", a-t-il déclaré.
L'Agence japonaise de météorologie a mis en garde contre la possibilité de nouvelles éruptions. "Il est rare qu'une activité volcanique se limite à un seul incident et nous pensons que cela va se poursuivre pendant un certain temps", a expliqué à l'agence de presse japonaise Jiji le spécialiste des volcans de l'agence météorologique, Kazuya Kokubo.
L'agence météorologique installe actuellement des caméras de surveillance et des sismomètres supplémentaires autour du volcan pour mieux suivre son activité, a précisé un porte-parole du gouvernement.
L'éruption de mardi était la première depuis 1983 pour le Mont Kusatsu Shirane. Le Japon a 111 volcans en activité, selon des responsables de l'agence météorologique.
Un groupe de 50 policiers et secouristes passaient mercredi matin le mont au peigne fin.
"Mais nous avons arrêté car des secousses volcaniques ont été détectées", a déclaré à l'AFP un responsable de la police. "Nous allons nous entretenir avec les experts afin de déterminer le moment où nous pourrons reprendre nos opérations", a-t-il ajouté.
Aucun disparu n'était signalé après l'éruption de mardi qui a fait dévaler roches et cendres le long des pentes enneigées du volcan en direction d'une station de ski.
Un groupe de 80 personnes qui s'étaient retrouvées bloquées en au sommet ont été secourues mardi. La police et les sauveteurs parcouraient néanmoins la zone au cas où quelqu'un serait toujours égaré.
Un soldat des Forces d'autodéfense a été tué mardi par l'éruption et sept autres ont été blessés ainsi que quatre civils.
Deux des sept soldats ont dû subir des opérations mardi, a indiqué un responsable du ministère de la Défense à l'AFP. "Leur état s'est stabilisé. Ils sont tous encore hospitalisés", a-t-il déclaré.
L'Agence japonaise de météorologie a mis en garde contre la possibilité de nouvelles éruptions. "Il est rare qu'une activité volcanique se limite à un seul incident et nous pensons que cela va se poursuivre pendant un certain temps", a expliqué à l'agence de presse japonaise Jiji le spécialiste des volcans de l'agence météorologique, Kazuya Kokubo.
L'agence météorologique installe actuellement des caméras de surveillance et des sismomètres supplémentaires autour du volcan pour mieux suivre son activité, a précisé un porte-parole du gouvernement.
L'éruption de mardi était la première depuis 1983 pour le Mont Kusatsu Shirane. Le Japon a 111 volcans en activité, selon des responsables de l'agence météorologique.