Paris le 22 janvier 2024. La flamme olympique sera protégée par 100 policiers et gendarmes dans une "bulle" de sécurité lors de son parcours en France, de Marseille à Paris, avant l'ouverture des Jeux, a indiqué lundi Gérald Darmanin.
"Une centaine de policiers et gendarmes accompagneront" la flamme tout au long de ce parcours, dont le GIGN, l'unité d'élite des gendarmes, qui se trouvera "tout le temps" "à proximité", a précisé le ministre de l'Intérieur lors d'une conférence de presse.
Au sein de cette "bulle", "18 policiers et gendarmes en civil" assureront la "protection rapprochée" du relayeur.
Une unité de force mobile, soit environ 100 agents, placés à l'avant et à l'arrière du convoi, sera aussi chargée de lutter contre "toute forme de désordre public", a précisé le ministre, citant d'éventuels "sit-in".
Le principal risque de perturbation émane de collectifs "environnementalistes d'ultra-gauche", selon Gérald Darmanin qui a cité "Saccage 2024", "Dernière Rénovation" et "Les Soulèvements de la Terre". "A ce stade, il n'y a pas de velléités de l'ultra droite", a-t-il encore dit.
Le relais de la flamme olympique commencera à Marseille le 8 mai et se terminera Paris le jour de la cérémonie d'ouverture des Jeux, le 26 juillet.
Le relais doit traverser "100 sites emblématiques", "plus de 400 villes" et 5 territoires ultra-marins. "65 villes étapes clôtureront chaque jour l'étape", a détaillé le ministère dans un dossier de presse. Les territoires sont censés débourser 150.000 euros (hors taxes) pour voir passer la flamme.
La sécurisation du parcours coûtera 1 million d'euros au ministère de l'Intérieur, a poursuivi M. Darmanin.
Pour l'arrivée de la flamme à Marseille où 150.000 personnes sont attendues, 5.000 policiers et gendarmes seront mobilisés.
Le relais de la flamme sera aussi à Paris le 14 et 15 juillet et passera par plusieurs lieux emblématiques de la capitale, comme le Panthéon, le musée du Louvre ou l'Assemblée nationale. Elle passera aussi par le quartier populaire de Belleville.
Pour ce parcours dans Paris, 1.600 policiers et gendarmes seront mobilisés pour sécuriser le relais.
Un total de 12.000 relayeurs et bénévoles gravitant autour du relais de la flamme ont été criblés, c'est-à-dire soumis à une enquête administrative, a par ailleurs précisé le ministre Darmanin. Il y a eu 13 avis négatifs émis, 10 pour des faits de nature judiciaire et 3 sur avis des services de renseignement.
"Une centaine de policiers et gendarmes accompagneront" la flamme tout au long de ce parcours, dont le GIGN, l'unité d'élite des gendarmes, qui se trouvera "tout le temps" "à proximité", a précisé le ministre de l'Intérieur lors d'une conférence de presse.
Au sein de cette "bulle", "18 policiers et gendarmes en civil" assureront la "protection rapprochée" du relayeur.
Une unité de force mobile, soit environ 100 agents, placés à l'avant et à l'arrière du convoi, sera aussi chargée de lutter contre "toute forme de désordre public", a précisé le ministre, citant d'éventuels "sit-in".
Le principal risque de perturbation émane de collectifs "environnementalistes d'ultra-gauche", selon Gérald Darmanin qui a cité "Saccage 2024", "Dernière Rénovation" et "Les Soulèvements de la Terre". "A ce stade, il n'y a pas de velléités de l'ultra droite", a-t-il encore dit.
Le relais de la flamme olympique commencera à Marseille le 8 mai et se terminera Paris le jour de la cérémonie d'ouverture des Jeux, le 26 juillet.
Le relais doit traverser "100 sites emblématiques", "plus de 400 villes" et 5 territoires ultra-marins. "65 villes étapes clôtureront chaque jour l'étape", a détaillé le ministère dans un dossier de presse. Les territoires sont censés débourser 150.000 euros (hors taxes) pour voir passer la flamme.
La sécurisation du parcours coûtera 1 million d'euros au ministère de l'Intérieur, a poursuivi M. Darmanin.
Pour l'arrivée de la flamme à Marseille où 150.000 personnes sont attendues, 5.000 policiers et gendarmes seront mobilisés.
Le relais de la flamme sera aussi à Paris le 14 et 15 juillet et passera par plusieurs lieux emblématiques de la capitale, comme le Panthéon, le musée du Louvre ou l'Assemblée nationale. Elle passera aussi par le quartier populaire de Belleville.
Pour ce parcours dans Paris, 1.600 policiers et gendarmes seront mobilisés pour sécuriser le relais.
Un total de 12.000 relayeurs et bénévoles gravitant autour du relais de la flamme ont été criblés, c'est-à-dire soumis à une enquête administrative, a par ailleurs précisé le ministre Darmanin. Il y a eu 13 avis négatifs émis, 10 pour des faits de nature judiciaire et 3 sur avis des services de renseignement.