PAPEETE, 31 octobre 2018 - La ministre de la Famille et des solidarités, Isabelle Sachet, a rencontré, mardi, le président de la Mutuelle générale de l’éducation nationale (MGEN), Roland Berthilier, et une délégation venue participer au Festival Digital. Depuis l’adoption de la loi dite "Hamon" relative à l’économie sociale solidaire (ESS), en juillet 2014, ce grand groupe national a été très actif dans la promotion des actions en faveur des entreprises relevant de ce domaine d'activités.
Le président de la MGEN a rappelé que les entreprises sociales et/ou solidaires sont des entreprises qui cherchent à concilier solidarité, performance économique et utilité sociale et appliquent les valeurs de l’économie sociale et solidaire. Ces structures, souvent créées sous la forme d’association, de coopératives ou de mutuelles, ont mieux résisté à la récente crise économique et financière.
Il a, par ailleurs, souligné le rôle important que jouent les ESS en métropole dans le monde économique. Elles participent à hauteur de 10% du PIB et contribuent à 12% de l’emploi privé.
En métropole, le mois de novembre est le mois de l’ESS. Les porteurs de projets peuvent notamment soumettre leurs projets à cette période. Des prix de l’ESS permettent ainsi de distribuer des récompenses aux porteurs de projets soutenant l’innovation sociale. Les projets en incubation seront également examinés. C’est la raison pour laquelle, la semaine dernière, les dirigeants de la MGEN se sont intéressés à PRISM, l’incubateur de la CCISM.
La ministre de la Famille et des solidarités regrettant la fragilisation sociale au travers de la déscolarisation, de la précarisation des conditions de vie, des problèmes d’addiction et de violences intrafamiliales, s’est félicitée de l’implication de plus en plus prégnante des entreprises, notamment au travers de la responsabilité sociétale, de la mobilisation des acteurs de la société civile ainsi que de l’innovation sociale. Elle reconnait la contribution de ces acteurs qui sont, aux côtés des pouvoirs publics, à la recherche de réponses nouvelles face à des besoins sociaux mal satisfaits.
"En plus de préciser le cadre réglementaire qui permettrait la promotion des ESS en Polynésie française, notre rôle doit être également de fédérer tous les acteurs afin de se concerter et de veiller à l’aboutissement de ces projets pour le bien de nos populations et de nos familles", a-t-elle indiqué.
Le président de la MGEN a rappelé que les entreprises sociales et/ou solidaires sont des entreprises qui cherchent à concilier solidarité, performance économique et utilité sociale et appliquent les valeurs de l’économie sociale et solidaire. Ces structures, souvent créées sous la forme d’association, de coopératives ou de mutuelles, ont mieux résisté à la récente crise économique et financière.
Il a, par ailleurs, souligné le rôle important que jouent les ESS en métropole dans le monde économique. Elles participent à hauteur de 10% du PIB et contribuent à 12% de l’emploi privé.
En métropole, le mois de novembre est le mois de l’ESS. Les porteurs de projets peuvent notamment soumettre leurs projets à cette période. Des prix de l’ESS permettent ainsi de distribuer des récompenses aux porteurs de projets soutenant l’innovation sociale. Les projets en incubation seront également examinés. C’est la raison pour laquelle, la semaine dernière, les dirigeants de la MGEN se sont intéressés à PRISM, l’incubateur de la CCISM.
La ministre de la Famille et des solidarités regrettant la fragilisation sociale au travers de la déscolarisation, de la précarisation des conditions de vie, des problèmes d’addiction et de violences intrafamiliales, s’est félicitée de l’implication de plus en plus prégnante des entreprises, notamment au travers de la responsabilité sociétale, de la mobilisation des acteurs de la société civile ainsi que de l’innovation sociale. Elle reconnait la contribution de ces acteurs qui sont, aux côtés des pouvoirs publics, à la recherche de réponses nouvelles face à des besoins sociaux mal satisfaits.
"En plus de préciser le cadre réglementaire qui permettrait la promotion des ESS en Polynésie française, notre rôle doit être également de fédérer tous les acteurs afin de se concerter et de veiller à l’aboutissement de ces projets pour le bien de nos populations et de nos familles", a-t-elle indiqué.