SUVA, vendredi 30 mars 2012 (Flash d’Océanie) – Les dessertes aériennes internationales à destination de Nadi ont été fortement perturbées vendredi en raison de l’annulation de plusieurs vols de la compagnie Air Pacific.
Ces annulations ont notamment concernés une demi-douzaine de vols en partance d’Australie (Brisbane, Melbourne, Sydney), de Nouvelle-Zélande (Auckland) et de la côte Ouest des États-Unis (Los Angeles), a annoncé vendredi la compagnie, qui a invoqué les inondations qui touchent une nouvelle fois la proche région de Nadi (Ouest de l’île principale de Fidji, Viti Levu), où se trouve l’aéroport international de l’archipel.
Plusieurs autres vols au départ de Nadi ont aussi dû être annulés.
Toute la partie Nord et Ouest de l’île principale de Fidji, Viti Levu, se trouvait vendredi une nouvelle fois sous plusieurs mètres d’eau, en raison des pluies torrentielles qui se sont abattues dans ces régions au cours des vingt quatre dernières heures, du fait de la présence d’une dépression tropicale.
Vendredi matin (GMT+12), les autorités dans les villes de Nadi, Lautoka, Ba et Raki-raki avaient mis en place des centres d’évacuation destinés à accueillir les personnes déplacées par les inondations.
Ces annulations ont notamment concernés une demi-douzaine de vols en partance d’Australie (Brisbane, Melbourne, Sydney), de Nouvelle-Zélande (Auckland) et de la côte Ouest des États-Unis (Los Angeles), a annoncé vendredi la compagnie, qui a invoqué les inondations qui touchent une nouvelle fois la proche région de Nadi (Ouest de l’île principale de Fidji, Viti Levu), où se trouve l’aéroport international de l’archipel.
Plusieurs autres vols au départ de Nadi ont aussi dû être annulés.
Toute la partie Nord et Ouest de l’île principale de Fidji, Viti Levu, se trouvait vendredi une nouvelle fois sous plusieurs mètres d’eau, en raison des pluies torrentielles qui se sont abattues dans ces régions au cours des vingt quatre dernières heures, du fait de la présence d’une dépression tropicale.
Vendredi matin (GMT+12), les autorités dans les villes de Nadi, Lautoka, Ba et Raki-raki avaient mis en place des centres d’évacuation destinés à accueillir les personnes déplacées par les inondations.
Tout au long de la journée de vendredi, le niveau des eaux dans les zones affectées n’a cessé de grimper, atteignant parfois des cotes de plus de sept mètres cinquante notamment à Nadi, ville construite dans une cuvette.
Une alerte aux inondations a été mise en place dès vendredi, en raison des fortes intempéries qui ont déjà rendu plusieurs axes routiers impraticables, notamment sur la grande route de ceinture qui relie la capitale Suva à Nadi (où se trouve l’aéroport international).
Vendredi en fin d’après-midi, une douzaine de routes primaires et secondaires était toujours fermée à la circulation.
L’avis au public souligne une nouvelle fois la nécessité d’observer la plus grande prudence et de se tenir à l’écart des cours d’eau et des creeks, afin de minimiser les risques d’accidents.
Les écoles dans les zones les plus touchées ont été fermées.
L’armée a été mise en situation de veille, afin d’être en mesure de monter rapidement une opération de secours, au besoin.
Fin janvier 2012, une précédente vague d’inondations avait fait près d’une dizaine de victimes, ainsi que plusieurs milliers de déplacés, dans les mêmes régions de Viti Levu.
Cette récente vague d’inondations avait aussi suscité de vives inquiétudes quant à une recrudescence de maladies liées à la présence de grandes quantités d’eaux stagnantes, comme la typhoïde, la leptospirose, la dengue ou encore la dysenterie.
Les autorités sanitaires, vendredi, renouvelaient les consignes d’hygiène préventive destinées à la population.
Par ailleurs, une autre zone de dépression se trouvait vendredi plus au Nord-ouest de l’archipel fidjien, faisant ainsi mine de prendre la suite de la dépression actuelle (TD17F) qui ne devrait pas se transformer en cyclone.
Une alerte aux inondations a été mise en place dès vendredi, en raison des fortes intempéries qui ont déjà rendu plusieurs axes routiers impraticables, notamment sur la grande route de ceinture qui relie la capitale Suva à Nadi (où se trouve l’aéroport international).
Vendredi en fin d’après-midi, une douzaine de routes primaires et secondaires était toujours fermée à la circulation.
L’avis au public souligne une nouvelle fois la nécessité d’observer la plus grande prudence et de se tenir à l’écart des cours d’eau et des creeks, afin de minimiser les risques d’accidents.
Les écoles dans les zones les plus touchées ont été fermées.
L’armée a été mise en situation de veille, afin d’être en mesure de monter rapidement une opération de secours, au besoin.
Fin janvier 2012, une précédente vague d’inondations avait fait près d’une dizaine de victimes, ainsi que plusieurs milliers de déplacés, dans les mêmes régions de Viti Levu.
Cette récente vague d’inondations avait aussi suscité de vives inquiétudes quant à une recrudescence de maladies liées à la présence de grandes quantités d’eaux stagnantes, comme la typhoïde, la leptospirose, la dengue ou encore la dysenterie.
Les autorités sanitaires, vendredi, renouvelaient les consignes d’hygiène préventive destinées à la population.
Par ailleurs, une autre zone de dépression se trouvait vendredi plus au Nord-ouest de l’archipel fidjien, faisant ainsi mine de prendre la suite de la dépression actuelle (TD17F) qui ne devrait pas se transformer en cyclone.
