LAUSANNE (Suisse), 02 nov 2012 (AFP) - La direction générale de Nestlé au grand complet a inauguré vendredi à l'Ecole polytechnique fédérale de Lausanne son Institut pour les sciences de la santé (Nestlé Institute of Health Sciences, NIHS), deux ans après le lancement de ce projet.
"Nous avons prévu d'investir 500 millions de francs suisses (400 M euros) dans ce programme, cela montre l'importance que nous lui accordons", a déclaré à cette occasion à la presse Paul Bulcke, directeur général du groupe.
Avec cet institut, Nestlé veut se positionner comme leader dans le secteur des aliments qui servent à prévenir les maladies chroniques, ralentir leur évolution, et "peut-être même en guérir un jour", selon les propos de Luis Cantarell, directeur de la division Health Science et Nutrition de Nestlé.
En lançant cet institut, où travaillent une centaine de scientifiques, le groupe veut "s'engager à accélérer la recherche et le développement" afin de créer de nouveaux produits qui devront répondre aux futurs défis de santé publique, selon M. Bulcke.
Nestlé s'intéresse particulièrement à trois types de maladies, les maladies neurologiques comme Alzheimer, les maladies chroniques comme le diabète et les maladies liées à la gastroentérologie.
A terme, le groupe entend mettre sur le marché des aliments d'une nouvelle génération, qu'il ne veut pas appeler des "alicaments", mais plutôt du "medical food".
"Les alicaments ont une mauvaise image auprès du consommateur", a expliqué un responsable de Nestlé.
Le groupe réalise déjà dans ce secteur "Health Sciences" un chiffre d'affaires d'environ 2 milliards de francs suisses (1,6 milliard d'euros) par an.
mnb/pjt/sb
"Nous avons prévu d'investir 500 millions de francs suisses (400 M euros) dans ce programme, cela montre l'importance que nous lui accordons", a déclaré à cette occasion à la presse Paul Bulcke, directeur général du groupe.
Avec cet institut, Nestlé veut se positionner comme leader dans le secteur des aliments qui servent à prévenir les maladies chroniques, ralentir leur évolution, et "peut-être même en guérir un jour", selon les propos de Luis Cantarell, directeur de la division Health Science et Nutrition de Nestlé.
En lançant cet institut, où travaillent une centaine de scientifiques, le groupe veut "s'engager à accélérer la recherche et le développement" afin de créer de nouveaux produits qui devront répondre aux futurs défis de santé publique, selon M. Bulcke.
Nestlé s'intéresse particulièrement à trois types de maladies, les maladies neurologiques comme Alzheimer, les maladies chroniques comme le diabète et les maladies liées à la gastroentérologie.
A terme, le groupe entend mettre sur le marché des aliments d'une nouvelle génération, qu'il ne veut pas appeler des "alicaments", mais plutôt du "medical food".
"Les alicaments ont une mauvaise image auprès du consommateur", a expliqué un responsable de Nestlé.
Le groupe réalise déjà dans ce secteur "Health Sciences" un chiffre d'affaires d'environ 2 milliards de francs suisses (1,6 milliard d'euros) par an.
mnb/pjt/sb